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Saga tome 6 sur 11
EAN : 9782365778640
152 pages
Urban Comics Editions (07/10/2016)
4.35/5   209 notes
Résumé :
Réunis pour finalement voir leur fille kidnappée par des membres de la Dernière Révolution, Marko et Alana sont sous le choc. Ils ignorent tout de leurs intentions envers Hazel et du lieu où est elle se trouve actuellement. Le Testament, de son côté, se remet progressivement sur pied grâce aux efforts conjoints de Gwendoline et Sophie, non sans pleurer la mort de sa soeur La Marque. En somme, une « résurrection » dont le mercenaire se serait bien passé...
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Critiques, Analyses et Avis (20) Voir plus Ajouter une critique
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Ce tome fait suite à Saga, tome 5 (épisodes 25 à 30) qu'il faut avoir lu avant. Il contient les épisodes 31 à 36, initialement parus en 2015/2016, écrits par Brian K. Vaughan, dessinés, encrés et mis en couleurs par Fiona Staples.

Hazel a maintenant presque 4 ans et est détenue dans un centre sur la planète Landfall. Ce jour, Noreen, la maîtresse, a demandé aux enfants, la plupart mutilés de guerre, de dessiner quelque chose de triste. Les trois premiers présentent des dessins évoquant des traumatismes générés par la perte de leur famille ou des morts violentes ; celui d'Hazel montre une créature en forme de pied humain, en train de lâcher de violents gaz. Tous les enfants trouvent ça très drôle, la maîtresse moins car elle ne voit pas en quoi c'est triste. Hazel explique qu'elle est triste pour Tooty car il sent vraiment mauvais. Noreen lui demande de rester, alors que les autres enfants s'en vont en courant au son de la cloche. Une fois la tranquillité revenue, elle offre un livre à Hazel : Leave me be. Cela la fait pleurer pour la première fois depuis des années. La fois précédente, c'était quand elle avait égaré son deuxième parent. Elle était à bord d'un vaisseau spatial de modèle Hoof, avec sa grand-mère Klara, et deux membres du groupe terroriste La Révolution. Ils étaient sous la menace d'un énorme vaisseau de la garde royale des Robots. Profitant d'un coup de semonce, Klara s'était emparé de l'arme de Zizz et lui avait fracassé le crâne sous le regard de Hazel. Lexis, l'autre terroriste, s'était rendue à Klara, sans discuter.

Klara avait concocté une explication à l'attention des robots : elles étaient des civiles qui avaient été enlevées pour devenir des esclaves. Elles avaient fini dans le centre de détention et de rééducation de Landfall, où elles avaient échappé à un examen médical approfondi et humiliant grâce à l'intervention d'Izabel, la nounou de Hazel. Lexis restait très inquiète du risque que leurs geôliers découvrent la véritable nature de Hazel, fille d'une habitante de Landfall et d'un habitant de la lune Wreath. le jour des 4 ans de Hazel, la maîtresse Loreen lui offre un petit gâteau avec une bougie, et lui dit qu'elle pourra participer à sa classe l'année suivante en tant qu'exploratrice. Hazel court pour aller annoncer la bonne nouvelle à sa grand-mère. Elle croise Lexis dans un couloir, entourée par 3 autres détenues visiblement pas commodes : Lexis lui indique la direction où trouver Klara : vers les douches communes. Hazel y pénètre d'une traite, et se retrouve face à Petrichor en train de se laver. Hazel est assez surprise par ce qui se trouve entre les jambes de cette dame. Sa grand-mère survient, enrobée dans une serviette de bain qui laisse apparaître de nombreux tatouages sur le haut de sa poitrine et ses bras. de retour au moment où Noreen lui offre un livre, Hazel lui demande ce qu'elle pense des habitants de Landfall, puis elle retire son teeshirt et lui montre ce qu'il y a sous ses bandages.

Arrivé à ce moment du récit, le lecteur sait qu'il ne vient plus trop pour l'intrigue : Brian K. Vaughan mène son récit comme bon lui semble, vraisemblablement sur le long terme et le lecteur lui fait confiance. Ça lui fait plaisir de retrouver les principaux personnages : Alana, Marko, Hazel. Ça lui fait tout autant plaisir de retrouver certains personnages secondaires : Klara la grand-mère de Hazel, Ghüs le mignon phoque anthropomorphe, Prince Robot IV et son écran fêlé en lieu de visage, Doff & Upsher le sympathique couple de reporters, The Will le chasseur de primes sévère accompagné de son chien Sweet Boy et du spectre de sa défunte soeur The Stalk. le lecteur ne prête pas forcément attention à l'apparence hétéroclite et très savoureuse de chacun de ces personnages : du phoque anthropomorphe aux individus avec les oreilles en pointe et des couleurs de peau étranges, en passant par un personnel soignant avec une apparence d'ourse avec une belle blouse rose. Fiona Staples dessine tout ça avec un naturel qui rend chaque personnage évident et normal, avec une aisance qui leur permet de coexister sans hiatus. Izabel a toujours une partie de ses intestins qui pendouillent en dehors de son corps sectionné au niveau de la taille et auquel il manque la partie inférieure. le sourire de Marko est toujours aussi doux le regard de Klara est toujours aussi sévère. Ginny est toujours aussi expressive et enjouée, un vrai plaisir de la retrouver le temps de 4 pages. le lecteur se prend immédiatement d'affection pour Noreen malgré sa forme arachnoïde. Petrichor est un mystère, et il espère bien qu'elle bénéficiera d'un rôle plus important par la suite. La diversité des personnages est l'opposé d'une ménagerie grâce à la sensibilité graphique de l'artiste.

Le lecteur retrouve également les éléments de comédie de situation et les interactions savoureuses entre les personnages. Les auteurs ne se cachent pas derrière leur petit doigt concernant la sexualité. Ça commence avec Petrichor sous la douche avec un dessin de face qui ne cache rien. Ça continue avec Alana et Marko qui se détendent après un casse à haut risque, avec à nouveau une représentation des corps dénudés de face, dans le moment d'apaisement après l'acte sexuel. Enfin le lecteur assiste également à un moment d'intimité sexuelle entre les amants Doff & Upsher. Il ne s'agit pas de séquences pornographiques : il n'y a pas de représentation de pénétration en gros plan, ou même en plan éloigné, ni même de moments érotiques car la représentation est très pragmatique et met plus l'accent sur l'affection que sur l'acte physique en lui-même. Comme dans les tomes précédents, les auteurs placent plus leur récit dans le registre de la comédie de situation que dans le drame. Cela peut paraître étonnant car il est question d'une enfant séparée de ses parents, de rééducation d'une minorité, de détention, avec deux ou trois séquences violentes occasionnant une blessure grave ou une mort. Dans le même temps, les personnages ne se morfondent pas dans un marasme inextricable, ne se lamentent pas sur leur sort, et continuent d'apprécier la vie. Hazel a conservé la joie de l'enfance. Klara retrouve une raison de vivre même en prison. Doff & Upsher continuent de dialoguer sur un mode goguenard, alors même qu'ils sont à la merci de The Will, et que Doff est blessé à l'épaule gauche. Alors qu'il semble sous l'emprise de sévères hallucinations, The Will conserve une part de lucidité qui le retient de devenir un tueur hors de contrôle. Les auteurs épatent le lecteur avec leur dosage en équilibre : un récit dramatique sans être plombé, une forme de capacité à apprécier la vie sans pour autant neutraliser la tension dramatique.

Le lecteur replonge avec délice dans cette hybridation entre une télénovela et une aventure de science-fiction. Effectivement, il ne se sent pas très investi dans le fait de savoir si Hazel va retrouver ses parents (ou plutôt l'inverse), ou si Prince Robot IV retrouvera son statut royal, ou encore si The Will va surmonter le traumatisme de la mort de The Stalk. Mais dans le même temps, il ressent une forte empathie pour chaque personnage, de Hazel à Noreen, en passant par The Will. Il retrouve cet habile mélange d'éléments prosaïques contemporains comme une salle de classe, un gâteau d'anniversaire, une salle d'archives, une promenade le long de la falaise, et d'éléments relevant de la littérature de l'imaginaire, comme ces personnages à l'apparence hétéroclite, mais aussi le vaisseau spatial de l'armée royale à la forme si caractéristique, la lance-fouet de The Will, un champ de mines spatiales avec une conscience collective (très beau jeu de mots en anglais, Mind Field). Fiona Staples anime un univers visuel où ces différents éléments s'entremêlent de manière harmonieuse, ajoutant à l'ambiance fantaisiste et débridée de la narration. le lecteur se rend compte qu'elle sait se montrer facétieuse de manière très subtile quand une sorte de monstre sous-marin surgit de dessous la glace, et qu'il se rend compte que ce surgissement évoque fortement une érection masculine.

Il faut peut-être un peu de temps au lecteur pour avoir assez de recul et prendre conscience des thèmes charriés dans cette narration populaire et visuellement exubérantes. Hazel est charmante en petite fille, avec la candeur de cet âge. D'un point de vue ethnique, elle reste une abomination, l'incarnation de l'union de deux peuples que tout oppose. À l'opposé d'une dramatisation facile, Brian K. Vaughan montre plutôt comment son existence pousse les adultes dans leurs retranchements, et les contraint à changer d'attitude. Ils ne peuvent pas réduire Hazel à une idée : lorsqu'ils la côtoient, ils voient une enfant intelligente et adorable. du coup, ils l'acceptent en tant que personne, reléguant leurs principes au rebut, et agissant dans son intérêt. Avec cette idée en tête, le lecteur se dit que ces individus qui rencontrent Hazel contribuent de manière positive à sa vie, ce qui lui rappelle les commentaires de Hazel sur les relations de ses parents qui s'avéraient préjudiciables. Cela le conduit à regarder les autres personnages et à s'interroger sur ce qui fait qu'ils sont plutôt contents dans la vie, ou pas. Il apparaît alors une autre thématique sur les facteurs qui contribuent à l'épanouissement de certains, ou dont l'absence plombe la vie d'autres.

Il est impossible de ne pas aimer cette série. Les auteurs racontent une histoire mêlent comédie sentimentale et science-fiction avec une rare élégance dans le dosage des ingrédients. Ils font preuve d'une belle inventivité dépourvue d'hypocrisie, et le lecteur éprouve la sensation de se lier d'amitié avec tous les personnages, principaux comme secondaires.
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Et ça y est, le sixième volume de Saga est enfin arrivé ! Brian K. Vaughan au scénario et Fiona Staples au dessin poursuivent cette large fiction qui, définitivement, a vocation à ne pas se terminer avant un bon moment, tant mieux car c'est très agréable à suivre !

La saga de space opera qui avait débuté sur un couple et son « bébé-miracle » s'est définitivement métamorphosé en bien d'autres choses tant les aspects militaires, politiques et sociétaux se multiplient à l'infini désormais. Il y avait déjà énormément de protagonistes possibles dans cette histoire, tous plutôt pris dans l'ensemble à une juste et égale valeur, mais là chaque épisode nous apporte d'un coup de nouveaux personnages encore une fois intéressants car ils ne viennent pas sans leur contexte personnel. de journalistes d'investigation qui se retrouvent embarqués dans une aventure qui les dépasse complètement à une prisonnière transgenre qui prend en pitié la petite Hazel, il y a de quoi aimer découvrir de nouveaux personnages et surtout de quoi s'attendre à en retrouver une bonne part dans les prochains numéros.
Clairement, le couple Alana-Marko est terriblement plus attachant quand tout fonctionne bien entre eux. Comme dans toute relation de couple, il y a des hauts et des bas, et Brian Vaughan a bien fait de leur faire subir un forte passage à vide, notamment dans le quatrième tome, mais cela n'empêche pas qu'ils retrouvent ici une très bonne dynamique quand ils ont un but commun : retrouver leur enfant, Hazel. Que Brian K. Vaughan, là encore, se soit inspiré ou non de sa propre expérience de père n'est pas si important, ce qui l'est c'est que les relations amoureuses sont une fois de plus très bien transcrites dans leur diversité et dans leur évolution.

Finalement, en tant que lecteur, nous parcourons une immense saga montrant l'intolérance de tout un chacun dans un univers qui montre pourtant une variété d'espèces, une diversité incroyable. le traditionnel « chacun est l'étranger d'un autre » fonctionne à merveille et lecteur se prend au jeu.
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Qu'il est bon de suivre cette Saga qui semble bien devoir s'inscrire dans la durée...

Je me dis de plus en plus que ce comic est structuré comme une série TV, avec ces cliffhangers à chaque fin de chapitre, cet art de développer des personnages dans la longueur, de les rendre crédibles et de les faire évoluer, bref de nous les rendre familiers pour mieux qu'on en soit accro...

Donc, bravo à Brian Vaughan qui sait allier la puissance d'un imaginaire visuel débridé avec une narration moderne, et des personnages bien en phase avec certaines préoccupations de notre monde réel (je pense à tous ce qui touche à la parentalité, mais aussi les addictions, les problèmes de couple...) ce qui renforce la proximité avec les héros de son "soap-opéra" au long cours.

Dans ce tome 6, des personnages de second ordre déjà entraperçus sont amenés sur le devant de la scène (encore un procédé typique des séries TV). Il s'agit d'un couple gay de reporters d'investigation, bien décidé à démêler tout ce mic-mac. Un autre personnage plus central fait son retour (le Testament), et un petit nouveau apparaît (un prisonnier transsexuel de Continent). Grande nouveauté, également, la petite Hazel est désormais en age de parler réellement, et n'est plus cantonné à la voix off, qui raconte les faits a posteriori...voix off qui est d'ailleurs une des grande force de cette série et qui est bien souvent l'occasion de placer quelques réflexions bien senties...On appréciera aussi dans ce tome l'évolution du Prince Robot IV^^

Bref, j'attends avec impatience la suite des aventures d'Alana, Marko et leur fille Hazel, dans cet univers en proie à la guerre et à la barbarie.
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« Saga », cela fait maintenant six tomes que ça tourne, et la mécanique est désormais bien rodée. Des personnages attachants, des planètes surprenantes à explorer, des intrigues qui se croisent et s'entrecroisent, des dialogues percutants, une petite dose d'humour : la recette a fait ses preuves et ce sixième album vient donc sans grande surprise s'ajouter à la liste des publications de cette année à ne pas rater. On y suit toujours les mêmes personnages bien que ceux-ci aient la fâcheuse tendance à se retrouver de plus en plus éparpillés. Il a d'abord évidemment notre narratrice, la petite Hazel, forcée de cacher sa véritable nature et d'évoluer dans un environnement hostile. Il y a ensuite ses parents, Alana et Marko, toujours en quête de leur fille et prêts à prendre tous les risques pour la récupérer. Et puis il y a le couple de reporters déterminé à s'offrir le plus grand scoop du moment, le chasseur de prime hanté par le fantôme de sa défunte amante, sans oublier le prince robot en cavale accompagné de son fils, une demi baby-sitter fantôme, et bien sûr un énorme morse mené par son adorable petit acolyte. On est d'accord, ça commence à faire du monde, ce qui explique d'ailleurs que certains personnages développés dans les précédents tomes passent ici complètement à la trappe... sans doute pour mieux nous surprendre dans le prochain album.

Pour ce qui est de l'intrigue générale, il faut bien admettre que l'on piétine un peu : la guerre entre Couronne et Continent fait toujours rage mais la naissance de la petite Hazel, seule et unique fruit du croisement entre les deux espèces, n'a pour le moment eu aucun impact sur le cours des événements. Une partie des intrigues secondaires avancent en revanche un peu plus si bien que certaines situations problématiques depuis plusieurs tomes se débloquent enfin. L'action est donc bel et bien au rendez-vous, de même que l'humour qui naît dans la majorité des cas du franc-parler un peu cru de certains personnages (notamment féminins) et de son décalage avec les situations souvent tendues auxquelles ils se retrouvent confrontés. Les graphismes, eux, sont toujours aussi convaincants et inventifs, que ce soit au niveau des expressions faciales des personnages que du bestiaire ou des décors. Vaughan trouve d'ailleurs encore le moyen de nous surprendre en imaginant des planètes ou des personnages issus de croisements inattendus qui rajoutent encore à la diversité de cet univers pourtant déjà remarquablement riche. On peut également saluer le beau travail de colorisation de Fiona Staples qui n'hésitent pas à adopter des tons très variés et assez vifs sans pour autant tomber dans le criard ou dans l'excès.

Un sixième tome qui s'inscrit dans la continuité de ses prédécesseurs et qui, bien qu'il ne fasse guère avancer l'intrigue principale, se révèle aussi divertissant et amusant à découvrir. Vaughan et Staples nous réservent de toute évidence encore de belle surprises pour la suite qui devrait paraître d'ici quelques mois et que je me ferais un plaisir de découvrir.
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La petite Hazel grandit et c'est une chouette enfant. Enfermée dans un centre avec sa grand mère, elle semble tout de même s'épanouir. Pendant ce temps ses parents la cherchent...Le testament apparait de nouveau dans ce tome, bien changé ! Autant physiquement que mentalement, son séjour à l'hôpital laisse des traces . A la recherche du prince robot, il se retrouve encore une fois sur les traces de Marko et Alana.
C'est toujours aussi bien et j'ai hâte de lire la suite car pour une fois on a une fin réjouissante. Mais le danger est toujours proche de la famille d'Hazel alors qui sait ?
Challenge BD 2021
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critiques presse (3)
SciFiUniverse
25 juillet 2019
Le tome 6 de Saga apporte une conclusion intelligente à cet arc, avec une réflexion riche sur notre société actuelle et notre rapport à la différence – la nôtre propre et celle de ceux qui nous entourent.
Lire la critique sur le site : SciFiUniverse
BoDoi
19 janvier 2017
Un sens du récit et du découpage consommé et une envie de rafraîchir des thèmes classiques, le tout sur fond de guerre interstellaire. Ou comment anoblir le soap-opera.
Lire la critique sur le site : BoDoi
BDGest
03 novembre 2016
Miroir de nos sociétés, Saga est aussi un merveilleux divertissement traversé de rôles secondaires puissants consciencieusement bâtis.
Lire la critique sur le site : BDGest
Citations et extraits (19) Voir plus Ajouter une citation
- Comment diable es-tu née ?
- Eh bien, ma maman est de cette planète et mon papa est de la lune et il l’aimait tellement qu’il a mis son pénis dans elle et puis je suis arrivée dans le ventre de Maman et elle était contente sauf que maintenant elle peut plus aller dans les châteaux gonflables parce que ça lui fait faire un peu pipi.
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Peu importe la liberté qu'on leur laisse, la plupart des enfants ne sont que des objets précieux, précautionneusement déplacés d'un lieu sûr à un autre. Nous ne sommes pas des enfants, nous sommes des oeufs. Mais tôt ou tard, la coquille de ces oeufs commencent à se fendiller.
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Ne vous inquiétez pas, rien ne fait plus vite grandir un enfant que la guerre.

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Quiconque pense qu'un seul livre peut contenir toutes les réponses n'en a pas lu suffisamment.
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J'ai découvert que les chocs de culture surviennent pour les mêmes raisons que les chocs de personnes. Ça n'est pas parce que nous sommes complètement différents les uns des autres... mais parce que nous sommes sacrément pareils.
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Paper Girls - Bande-annonce officielle I Prime Video
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