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La saison des amours tome 1 sur 2
EAN : 978B084P1JXLZ
326 pages
Reines-Beaux (22/04/2020)
3.5/5   8 notes
Résumé :
Il a le béguin pour son prof.

Tristan Holt, star de la LNH, a beau être au sommet de sa forme, il préfère avoir un tour d'avance. Suivre les cours pendant la saison morte lui permettra d’obtenir un diplôme de commerce sur lequel il pourra compter lorsque le moment sera venu pour lui de raccrocher ses patins.

Mais son plan pourtant si simple est mis à mal par son attirance indéniable pour son professeur de sociologie, le sexy Sebastian C... >Voir plus
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Que lire après La saison des amours, tome 1 : Loin de la glace, près du coeurVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Cela faisait un petit moment que ce roman traînait dans ma PAL et je me suis dit qu'il était temps que je me plonge dedans, d'autant plus que le synopsis me plaisait plutôt bien. Je ne connaissais aucune de ces deux autrices et je me suis donc dis que c'était l'occasion parfaite de découvrir de nouvelles plumes. Cela n'a pas été une mauvaise découverte mais ce n'est pas non plus une lecture que j'ai adoré. Je suis un peu mitigée sur ce roman. J'apprécie le point de départ de l'histoire où on retrouve Tristan, un jeune joueur de hockey professionnel qui veut assurer son avenir en poursuivant ses études tout en jouant pour l'équipe des Atlanta Venom. Cela lui permet d'avoir un plan de secours le jour où il devra prendre sa retraite – ou dans le pire des cas si une blessure le force à raccrocher ses patins. Mais même s'il est réfléchi et prévoyant il y a une chose à laquelle il ne s'attendait pas: son attraction pour son professeur de sociologie, Sebastian Holt. Bien évidemment une relation professeur-élève n'est pas appropriée d'autant plus que Sebastian veut absolument être titularisé. Mais une fois les cours d'été terminé, ils sont libres de faire ce qu'ils veulent. Enfin presque. Sebastian ne cache pas son homosexualité et en est plutôt fier. Mais c'est plus compliqué pour Tristan qui ne tient pas vraiment à être le premier joueur de hockey professionnel à faire son coming-out…
Si j'ai bien aimé le personnage de Tristan que j'ai trouvé assez touchant j'ai eu beaucoup plus de mal avec Sebastian. Il se targue d'être un sociologue ouvert d'esprit et pourtant il a beaucoup de cliché en tête, notamment quand Tristan est concerné. C'est aussi quelqu'un de très borné et assez centré sur lui-même. Il ne cache pas son homosexualité malgré que cela soit mal vu dans sa culture puisqu'il a grandi dans une famille portoricaine très traditionaliste et conservatrice. Il a dû se battre pour se faire accepter et ce n'est pas encore facile pour certaines personnes de son entourage et pour cela je le trouve courageux et intéressant. Mais ce que je ne comprends, c'est puisqu'il est passé par là, il ne comprend pas les réticences de Tristan à faire son coming-out à son équipe et au reste de la NHL, devenant ainsi le premier joueur a faire son coming-out, ce qui est loin d'être évident, surtout connaissant la mentalité dans le domaine du sport qui n'est pas toujours très ouverte à ce sujet, même si les choses commencent à évoluer un peu. J'ai aussi eu du mal avec la relation entre Sebastian et Tristan. Je trouve qu'il y a un manque de tendresse. J'ai eu l'impression que cela tournait beaucoup autour du sexe et de la domination de Sebastian qui est très peu démonstratif en matière de gestes tendres. le côté romance/ romantique manquait vraiment pour moi.
Cependant cela n'est pas une totale déception car j'ai bien aimé le personnage de Tristan qui est assez réfléchi et loin d'être aussi naïf qu'on pourrait le croire. J'ai aussi beaucoup apprécié la question de la diversité abordé dans ce roman que ce soit au niveau de la sexualité ou des différentes cultures mentionnées dans ce roman. Et la question de l'homosexualité dans le domaine du sport professionnel est très intéressante et abordé de façon intelligente. C'est une question très actuelle et qui amène à réfléchir. Pour suivre un peu l'actualité du hockey, je sais que certaines équipes et organisations tentent de faire bouger les choses, ce qui n'est pas facile au vu de certaines mentalités propre au sport professionnel, surtout des sports « virils » comme le hockey ou le football professionnel. C'est pour cela que je comprenais très bien le point de vue de Tristan et que je me suis beaucoup attachée à lui, parce que son dilemme est quelque chose de réel, auquel d'autres sportifs doivent faire face (et certainement beaucoup plus qu'on ne le pense). C'est pour cela que je ne suis pas complètement déçue par cette lecture et que je pense laisser une chance au second tome qui porte sur Ryu, un ami et coéquipier de Tristan. Ce prochain tome restera dans la même thématique et c'est pour cela que je pense le lire, peut-être pas dans l'immédiat, mais je le lirai prochainement c'est certain.
Ce roman est paru en français sous le titre « La Saison des amours, tome 1: Loin de la glace, près du coeur » pour celles et ceux qui seraient intéressé.e.s et voudraient se faire leur propre avis sur ce livre.
Lien : https://kingdomofwordsblog.w..
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Tristan a toujours été gay et dans le placard, maintenant il a 23 ans et reprend ses études pendant l'été afin d'obtenir son diplôme de commerce international, pas facile alors qu'il doit mener en plus sa carrière de joueur de hockey professionnel.
Sebastian est professeur de sociologie, il est très ouvertement gay, et ne laisse pas Tristan indifférent, ce qui semble être réciproque. Dès que les diplômes sont remis les barrières tombent et le côté dominateur de Sebastian convient parfaitement à notre hockeyeur baraqué, mais leur relation évolue et Tristan va devoir penser à faire son coming out à sa famille, et peut-être son équipe, mais l'homosexualité n'est pas très bien perçu dans le sport professionnel et ça pourrait être catastrophique …


Rien de bien original, ce sujet a souvent été traité, l'écriture est fluide et agréable, cependant des longueurs apparaissent lors des relations sexuelles à répétition à partir du tiers du livre et les personnages assez stéréotypés manquent un peu de profondeur, de plus le côté "dominant", même s'il reste léger ne m'emballe pas, comme la manière d'employer un langage vulgaire dès qu'il est question de leurs rapports au lit. Ceci dit on ne tombe pas dans le mélo, tout passe comme une lettre à la poste.
Au final un livre qui n'a vraiment rien de marquant mais qui plaira certainement à certains lecteurs …



PS : On peut remarquer que ce livre vendu 2,02€ pour l'e-book en anglais passe à 5,99€ en français, le triple ! le nombre de pages passe de 240 à 326 pages et personne ne s'est donné la peine de compléter les XXX pour les noms d'autrices, le titre original, etc …
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Deux auteures que j'aime beaucoup, une romance dans le monde du sport, une dynamique de professeur et élève. Un mélange que j'affectionne énormément, mais ma lecture reste mitigée.

Tristan est un joueur de LNH qui retourne sur les bancs de l'université pour valider un diplôme dans le cas où… C'est ainsi qu'il fait la rencontre de Sebastian, son professeur. Sera-t-il l'homme qui arrivera à le satisfaire à tous les niveaux ? Mais ce dernier acceptera-t-il le placard du jeune homme ?

Tristan est un héros jeune, un garçon de ferme devenu joueur professionnel. Un homme dans le placard pour réaliser son rêve et par peur de perdre les personnes qu'il aime. Il est très touchant et sort des clichés habituels. Il veut qu'on s'occupe de lui pour diminuer la pression sur ses épaules, mais ses attentes sont inattendues.

Sebastian est le dominant du couple. Il a une aura assez sombre, hautain : le professeur supérieur, qui rigole peu, qui aime défendre ses droits. Il n'est pas un dominant au sens strict de la définition, mais plutôt un homme qui aime le contrôle et autoritaire de nature.

Un duo qui va s'installer de chapitre en chapitre. Dès le résumé, nous avons conscience de la dynamique prof/élève, mais c'est très court et finalement pas très mis en avant donc je suis restée sur ma faim de ce côté. Je les ai autant aimés, que moins. Je les trouve attachants, drôles et l'amour qu'ils se portent est très beau. Mais vous me connaissez, les relations dom/soumis ne sont pas pour moi. Et même si c'est bien traité, nous sommes plus dans l'aspect humiliation qui est une de mes limites. de plus les répétitions des mots Monsieur et Professeur ont fait que j'avais hâte de finir les scènes intimes.

L'intrigue est multiple, mais tourne principalement autour de la romance. Comment vont-ils faire perdurer leurs relations ? Auront-ils un avenir ? D'un côté, la peur pour la titularisation de Sebastian, et de l'autre, l'homophobie sportive. de ce côté, même si on reste dans du léger, j'étais contente. C'était plus ouvert avec bien sûr des gens moins bienveillants, mais toujours dans l'amitié et la famille.

Par contre, j'ai vraiment aimé le début avec les cours et les aspects de sociologique qui découlent de ce roman. Que ce soit au niveau de la pauvreté ou des autres différences. C'est un sujet qui de base m'intéresse et j'aurais aimé encore plus de développement, mais c'est mon côté première de la classe.

J'aime ses deux auteures donc ce fut une bonne lecture, fluide, facile à dévorer et cela m'a fait passer un bon moment. Je ne suis juste pas adepte de la dynamique dom/soumis et même si quelques fois j'en relis, celle développée ici est ma limite. Donc je ne sais pas si je continuerais. Pourtant le personnage de Riu attise ma curiosité et encore plus celui de Bellzie. En tout cas, si je me lance ce sera en numérique.

Ma première lecture de ce challenge. Je recommande cette lecture à mes copines adeptes des romances érotiques MM avec ce type de relation. Je connais déjà pas mal de noms qui seront totalement satisfaites de cette saga et j'espère qu'elles se lanceront.
Lien : https://www.la-bibliophilie-..
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En ce moment, j'aime me faire plaisir et découvrir de nouvelles plumes. Je pioche un peu partout et je me suis dit que cette fois, j'irai voir Avon Gale (et Piper Vaughn du coup) du côté de chez Reines-Beaux.
En plus, j'apprécie énormément les sagas sportives et encore plus dans le monde du hockey (ma favorite étant celle de Helena Hunting, what else ?). Donc ni une ni deux, c'est parti.

Et honnêtement j'ai beaucoup aimé, le rapport prof/élève, la différence d'âge qui ne gène pas du tout, le côté passionné du joueur de hockey qui partage sa passion.

Sebastian est professeur en sociologie. Il est sportif, plutôt classique dans son genre et a un petit côté fermé et bougon qu'on apprécie. Il se pourrait aussi qu'il ait le jugement facile, mais comme ça va se retourner contre lui, on lui pardonne ce faux pas. Par contre, s'il est parfois maladroit, il lui arrive d'être intransigeant et il se pourrait que ça lui coûte beaucoup.

A contrario, Tristan est un bon vivant. le jeune hockeyeur a envie que tout lui réussisse. S'il a bien l'intention de faire carrière dans ce sport qu'il aime temps, cependant il pense aussi à assurer ses arrières en ayant son diplôme universitaire même si toute son équipe ne comprend pas ce choix. Il a une détermination incroyable et se donne les moyens pour réussir. Par contre, il ne peut pas se permettre de faire son coming-out. Il n'est pas prêt.
Malgré tout, il se pourrait que ce fameux professeur change la donne.

J'ai pris beaucoup de plaisir à les suivre : pendant les cours, pendant leurs petits apartés et surtout à la fin du trimestre d'été. J'ai aimé leurs échanges, la manière dont ils se sont draguer. Sachez que leurs paroles sont parfois un peu crues. Personnellement, ça ne m'a pas choqué. Pas cet aspect là, en tout cas. Car, il y en a un autre que je n'avais pas vu venir et il m'a un peu refroidi : dans l'intimité du couple, ils s'avèrent qu'ils ont un penchant pour le jeu du dominé/dominant, passant par l'humiliation voir la violence gratuite.
Autant dire que lorsqu'il y a un certain nombre de scènes érotiques, cela revient assez souvent et j'avoue être passée vite fait sur certaines scènes (même si elles sont consenties et sans réelle méchanceté derrière, ça reste une envie de domination douce si je puis dire). Bref, ça m'a pris par surprise et c'est dommage parce que j'ai adoré presque tout le reste. Qui sait, j'adhérerais peut-être plus au second tome, on verra. J'ai bien envie de faire la connaissance des autres joueurs.
Lien : https://sweetyhoneyaddiction..
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Tristan 23 ans est joueur de hockey pro, il reprend ses études et son professeur est le beau Sebastian qui est plus âgé que lui.

J'ai déjà lu les deux auteurs, ce n'est donc pas une découverte, l'écriture est fluide... (même si pour quelques phrases les mots ne sont pas dans l'ordre) mais je n'ai pas trop apprécié le coté dominant/soumis, ce n'est pas trop ma tasse de thé... à part ce point noir, le reste est plaisant, à voir si les tomes suivants seront dans la même optique.
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Il voulait – non, il avait besoin de – casser le stéréotype du grand sportif musclé complètement débile. La société reconnaissait rarement les montagnes de discipline et de dévouement qu’il fallait pour s’impliquer dans un sport au niveau professionnel. Tristan bossait d’arrache-pied pour garder un corps comme le sien et développer ses capacités pendant la saison régulière, et il poursuivait ces mêmes routines tout au long de la pause estivale. Il ne pouvait pas se relâcher juste parce qu’ils ne jouaient pas quotidiennement, et nombre de ses pairs se donnaient tout autant de mal que lui. Toutefois, les athlètes étaient si souvent ridiculisés, traités comme des brutes stupides et surpayées, qui ne méritaient pas leurs contrats ou leurs récompenses et incapables de penser à autre chose qu’à frapper le palet avec leur crosse ou à marquer des touchdowns.
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Non pas parce qu’il n’aimait pas faire la fête avec ses coéquipiers. C’étaient de chouettes gars. Ils formaient une famille, même, au bout de trois saisons. Mais comme Tristan était l’un des rares célibataires des Venom, ils s’attendaient à ce qu’il soit constamment en train de courir les jupons. Ils ne se rendaient pas compte qu’il ne s’intéressait pas aux femmes. Pas sexuellement, en tout cas. Il savait qu’il était gay depuis l’âge de treize ans – et il savait qu’il devait le cacher s’il voulait assurer son avenir dans le monde du hockey. Les choses s’amélioraient lentement, mais comme pouvait en témoigner la courte carrière de Michael Sam dans la NFL, il y avait une bonne raison pour expliquer le manque d’athlètes ouvertement gay dans le sport professionnel.
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En dehors des cours, il passait de longues heures – bien plus qu’il n’était bon pour la santé – à s’abandonner à ses rêveries obscènes entre un étudiant et son professeur guindé. Tristan s’interrogeait sur le goût du sperme du Pr Cruz, sur l’odeur qu’avait sa peau de près. Il imaginait cette voix basse et rauque lui donner des ordres. Putain. L’autre jour, il avait même trébuché et avait failli se casser le nez en s’écrasant face la première sur le tapis de course quand il avait laissé son esprit vagabonder, et que celui-ci avait dérivé tout droit vers son fantasme du Pr Cruz lui souriant et lui demandant des choses du genre « Tu veux t’étouffer avec ma bite ? » avant d’enfoncer ladite bite tout au fond de la gorge de Tristan.
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Il avait toujours été attiré par les hommes autoritaires. Il aimait les dominateurs actifs, et à en juger par ce qu’il avait vu du Pr Cruz, Tristan ne pouvait l’imaginer autrement qu’exigeant au lit. Bien sûr, le fait que le professeur ait le genre de corps qui remplissait les rêves cochons de Tristan ne faisait pas de mal non plus.

Et si ce dernier avait quitté le campus le mardi précédent et était rentré se masturber au rythme de son fantasme d’être baisé sans retenue sur le bureau du Pr Cruz, eh bien, personne d’autre n’avait besoin de le savoir. Et s’il l’avait refait le lendemain matin avant d’aller retrouver Ryu, ça ne regardait que lui et sa main droite.
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Le Pr Cruz avait assurément gagné le respect de Tristan par sa franchise. Et sa bravoure. Même s’il était de ceux qui passaient chaque week-end à arborer des drapeaux arc-en-ciel dans la rue, il ne devait pas être facile de partager cet aspect de sa vie personnelle, et de s’exposer ainsi potentiellement à la critique ou au fanatisme. Tristan admirait toujours le courage que cela demandait alors que lui ruminait sur sa place dans le monde du hockey et l’homophobie qui régnait encore dans ce sport, surtout au sein des divisions junior.

Personne ne s’était présenté devant la Ligue pour déclarer fièrement son homosexualité au monde entier.
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