Et démuseler le bonheur...

Qu'est-ce qui peut vous pousser à ouvrir un roman dont le titre résonne à vos oreilles comme celui d'un téléfilm de Noël sur M6 ? dont la couverture - sur laquelle deux pissenlits encagés s'apprêtent vraisemblablement à s'évader de leur prison par la porte laissée ouverte pendant que les graines d'un troisième profitent d'un vent favorable pour s'échapper à travers les barreaux – dont la couverture, disais-je, ne vous évoque rien sinon peut-être l'illustration d'une chanson enfantine à la Pierre Perret ? dont l'autrice et la maison d'édition vous sont totalement inconnues pour la bonne raison que c'est un premier roman et qu'il est auto-édité ? Réponse : l'amitié. Sortez les violons. Quand un ami ne tarit pas d'éloges sur un roman qui semble l'avoir bouleversé, forcément ça intrigue. Alors, comme la croyance populaire veut que boire dans le verre de quelqu'un vous fait connaître ses pensées, je me dis que peut-être lire le coup de coeur littéraire d'un ami pourra m'en faire découvrir davantage sur lui.
Ainsi faisais-je la connaissance d'Adama, Tobias et Erin, les trois voix qui se partagent la narration du roman de Créoline de Venfré et me retrouvais-je rapidement accro à leur quête de bonheur. Dis comme ça, on pourrait sentir poindre à l'horizon des 500 pages ce bon vieux « cucul-la-praline » un peu mièvre qui aboutit souvent à la conclusion gnagnasse d'un conte de fée : « ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants ». Absolument rien de tout ça chez Créoline de Venfré.
Adama est un grand noir baraqué que les chaines de la culpabilité retiennent au chevet de son petit frère, Tobias, tombé dans le coma à la suite d'un accident. Depuis le drame, il se condamne à l'attente, à l'espoir et, du coffre de sa tristesse, il extrait une foi de secours dont il attend un miracle. Son Dieu devient la béquille qu'il manie avec une maladresse, sincère et touchante, un peu comme l'est sa colère quand le médecin tente de lui faire comprendre qu'il n'y a guère d'espoir et qu'il faudra peut-être songer à débrancher son petit frère. Tobias, lui, étudiant en droit, se réveille dans les souvenirs embrumés de ses concours d'éloquence qui le passionne. Mais si la conscience se réactive, le corps, lui, ne répond plus. Tobias souffre du Locked-In Syndrom, le voilà esprit sain captif d'une geôle de chair. Alors qu'auprès de lui son frère s'agite, Tobias cogite, rêve de calme, de tranquillité, de phrases bien tournées.
Et Erin dans tout ça ? Elle est une jeune hôtesse de l'air qui au fur et à mesure qu'elle s'imagine un avenir dans l'humanitaire voit surgir des réminiscences d'un passé qu'elle avait soigneusement effacé de sa mémoire. La violence des souvenirs d'enfance vient se heurter à la volonté de repartir à zéro qui l'a fait quitter son fiancé. C'est par le hasard d'un appartement à louer qu'Adama et elle vont faire connaissance et qu'entre eux va se tisser le lien qui mêlera leur destin, leur envie d'ailleurs, leur soif de meilleur.
Créoline de Venfré a indéniablement une vraie plume. Elle fait traverser à ses personnages de vraies épreuves, sans jamais tomber dans le pathos, au contraire. Si je peux regretter la volonté de ne créer le décalage social et culturel entre Erin, décrite comme une petite bourgeoise pudibonde, et les deux garçons que par une série de jurons surannés (on frôle le cliché), il n'en reste pas moins que les personnages, même secondaires, sont touchants, vrais, capables de vous faire sourire, autant que de vous émouvoir. Il y a de la sensibilité dans l'écriture de Créoline, mais pas de sensiblerie. On espère avec les trois protagonistes, on prie, on s'agace, on s'épouvante, on apprend avec eux. L'autrice joue avec leur destin, avec nos émotions comme elle joue avec les typographies, donnant à l'ensemble une touche supplémentaire de réalisme. L'intrigue est forte, rythmée, les personnages nuancés, l'écriture moderne et la lecture fluide. C'est un vrai bon premier roman qui fait la part belle à l'émotion.
Oui, ils m'auront ému tous autant qu'ils sont, de la force d'Erin pour se relever d'un passé traumatisant, à la volonté de Tobias pour tenter de s'extraire de l'inextricable, en passant par le courage d'Adama dont le lien très fort avec son frère est à la fois sa force et sa faiblesse. Ce sont des personnages qui, une fois le livre refermé, ne vous quittent jamais vraiment. Et vous revoyez cette couverture, ce titre, cette cage, ces pissenlits, avec l'oeil de celui qui, maintenant, sait.

Il y a des rencontres qui ne s'expliquent pas, qui s'imposent à nous parce qu'elles devaient survenir. C'est vraiment par hasard, au détour de suggestions sur mon fil d'actualité Instagram que ma route a croisé celle de cette auteure pour laquelle je me suis dit « si l'histoire est aussi belle que la couverture, ça doit être du haut niveau ». Et j'étais bien loin de la vérité puisque ce roman me sort de mes lectures habituelles et qu'est-ce que ça fait du bien.

C'est par le coeur et par les tripes que Créoline DE VENFRE nous prend dès les premières lignes de son premier roman auto-édité "Et démuseler le bonheur". La couverture magnifique et le résumé d'une telle force laissaient déjà présager quelque chose de poignant mais là j'étais bien loin de tout ce que je pouvais imaginer. Bienvenue dans une lecture qui ne peut laisser personne indemne sous la plume d'une auteure pas comme les autres !

Je serais tentée de vous dire : ce livre ne s'explique pas, il se lit tout simplement. J'irai même plus loin : il ne se lit pas, il se vit. Car lorsqu'on écrit des chroniques, il y a ces livres qui sont simples à chroniquer et il y a ceux pour lesquels c'est beaucoup plus complexe. Et oui, lorsqu'une auteure telle que Créoline offre à ses lectrices de tels parcours de vie que ceux de ses trois personnages, Adama, Tobias et Erin, la tache est loin d'être simple.

Intriguée par ce titre qui dégage un soupçon de mystère, et avec un résumé plus qu'énigmatique, j'ai débuté cette lecture en ne sachant pas trop à quoi m'attendre. Mais une fois plongée dedans, j'ai eu beaucoup de mal à m'arrêter tellement j'étais prise par le contexte, par les sentiments qu'elle faisait naître en moi et par l'intensité de tout ce qui la compose. C'est juste hallucinant !

C'est sur plusieurs thèmes assez forts que repose cette histoire qui nous permet de rencontrer Adama, chauffeur-livreur de 28 ans qui a un rêve, qui lui paraît inaccessible : devenir chef cuisinier. Sauf que depuis plusieurs mois, la vie d'Adama se trouve mise en suspens après la plongée dans un coma profond de son frère aîné, Tobias, 32 ans. Pour ce futur avocat, victime d'un terrible accident, les avis médicaux sont plus que pessimistes mais Adama, ne peut concevoir sa vie sans celui dont il se sent entièrement responsable de l'état.

En parallèle, on rencontre Erin, hôtesse de l'air de 26 ans, installée dans une vie routinière, autant personnelle que professionnelle, dans laquelle elle ne s'épanouit plus. Elle la petite fille fragilisée par un passé douloureux, devenue une jeune femme en quête d'identité, aimerait s'envoler vers d'autres projets qui lui correspondent plus.

Dans la vie, il suffit d'un instant, d'une rencontre pour qu'envisager de démuseler le bonheur devienne bel et bien un but réalisable et non plus seulement un rêve utopique.

Ça m'ennuie vraiment de parler de ce roman en le désignant comme un simple livre ; car on est bien loin de la simplicité littéraire. A mes yeux, c'est vraiment une oeuvre littéraire atypique, moderne et percutante sans faux-semblants. Sous les thèmes abordés, il serait tentant de dire qu'une notion de feel good se dessine. C'est difficile à expliquer car de tels messages sont véhiculés et tant de positivité en ressort que c'est presque contradictoire avec un certain aspect de l'histoire.

Dans ces 500 pages que compte cette oeuvre, Créoline nous décrit à merveille cette relation fraternelle si durement mise à l'épreuve et la manière dont elle perdure grâce à un seul protagoniste qui s'accroche à ses espoirs de pouvoir inverser la tendance à force de persévérance. C'est avec beaucoup de justesse, de pudeur et en toute simplicité qu'elle nous offre la vie de ces deux frères et qu'elle nous immerge, tour à tour, dans leurs émotions, dans leur bataille, dans leurs espoirs et dans leurs désillusions.

L'auteure nous immerge aussi dans le quotidien d'Erin, actrice par facilité dans ce qui s'apparente plus à un mauvais rôle dans un mauvais film qu'à une comédie romantique et qui subit sa vie plus qu'elle ne la vit pleinement. Il ne lui manque peut-être que cette petite étincelle qui pourrait changer la donne et une dose de courage pour devenir enfin maîtresse de sa vie et de ses choix.

C'est avec une approche assez peu coutumière que Créoline nous décrit la notion du bonheur dans sa plus simple pureté à travers le regard de personnages que tout oppose en apparence. Mais à bien y regarder et au fil des chapitres, lorsque l'histoire se tisse, fil par fil, l'évidence saute aux yeux et on se dit que cette rencontre était forcément écrite quelque part. Qu'il ne pouvait pas en être autrement. Les enchaînements, les connexions et les échanges sont magistralement bien imaginés et présentés de manière tellement réaliste.

Je ne vais pas vous dire que j'ai pleuré ; ce serait mentir. Mais une intense émotion m'a accompagnée, d'un bout à l'autre, évoluant en même tant que la progression des relations et de ces vies. L'auteure nous donne un accès libre à l'âme et au coeur de chacun de ses personnages. Elle a su me transporter pour les accompagner dans leurs émotions, dans leurs joies comme dans leurs craintes, dans leurs victoires comme dans leurs échecs et dans cette volonté commune d'en ressortir grandi et plus fort pour atteindre le bonheur tel que chacun le conçoit.

C'est un fort potentiel psychologique que renferme cette oeuvre dans laquelle rien n'est laissé au hasard. Et quand je dis rien, c'est vraiment rien. le contenu est d'une qualité assez rare et tellement riche qu'on ne peut qu'être admirative de ce que Créoline a pu accomplir. Je n'ose même pas imaginer le temps, les recherches et la patience qu'un tel écrit a nécessité mais une chose est sûre, c'est que l'amour et l'attachement qu'elle a pour ses personnages se ressent dans la douceur de sa plume. C'est incroyablement touchant et clairement ça apporte un autre sens à cette lecture.

A travers de cette histoire, c'est aussi à ses lectrices/lecteurs qu'elle apporte une attention toute particulière en insérant une multitude de détails calligraphiques, en ponctuant son récit d'anecdotes, d'illustrations, en nous interpellant sur certains passages, en nous questionnant comme si elle était à nos côtés pour qu'on puisse lui répondre en temps réel et vivre cette expérience unique avec elle, elle la créatrice de ce bijou littéraire. J'ai trouvé ça tellement innovant, interactif ; en un mot GENIAL ! Mais attention, certains de ces détails ne sont disponibles pour que le livre commandé sur le site de l'auteure directement .

Ce premier écrit de Créoline se démarque vraiment de ce que j'ai l'habitude d'avoir dans ma bibliothèque car lorsqu'on tourne la dernière page, on ne peut que constater l'impact sur notre propre notion du bonheur, sur la manière dont nous considérons certains thèmes abordés et sur la claque qu'il nous a mis avec un consentement 100% assumé. Et surtout parce que c'est un écrit qui interpelle par son réalisme, par la finesse et la justesse de la plume de l'auteure et par l'inattendu optimisme qu'il contient.

Parce que dans la vie il faut savoir prendre des risques, sortir des sentiers battus et enlever ces oeillères que l'on porte par facilité ou par peur du changement, Créoline DE VENFRE est la représentation même des auteures qui sont capables de nous faire amorcer un changement, tout en douceur, dans nos habitudes de lecture. Et rencontrer une telle plume ne peut que nous faire prendre conscience qu'il y a bien un avant Créoline et un après Créoline. Et ça, c'est un talent que peu d'auteur(e)s peuvent revendiquer détenir.
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Créoline de Venfré, rien que ce nom d'auteure est une poésie, je vais devoir avouer, car toute critique d'un livre donne le pourquoi on a décidé de le lire, pour moi son nom m'a attirée comme un aimant. Je suis fan d'auteurs classiques, de poésies et de théâtre, un pseudo d'auteur à particule avec cette mélodie a suscité mon intérêt. Je vois déjà le sourire sur les visages, des personnes qui pensent que le choix est sot, que rien ne vaut la lecture d'un résumé, une cover bien attrayante et des polices lisibles dans le texte avec des chapitres bien annoncés, etc.
Personnellement, je pense que les livres se sont des énergies et que nous dépassons dans nos choix le principe de la présentation et ce sont souvent des détails imperceptibles pour beaucoup qui nous font choisir un texte. Alors bien sûr une cover originale de ces couleurs, de son idée avec un titre accrocheur, ont leur impact, un résumé qui encourage nos questions de l'après et à l'intérieur un texte aéré, surligné donne un confort de lecture, c'est certain.
Mais car il y en a toujours un, avec cette auteure rien de tout cela a été dans mon intention de départ, son pseudo et ce que j'ai lu de sa plume sur les réseaux ont bien plus influencé mon attachement à ses écrits, c'est une personne très humaine, qui a un beau verbe, une légèreté un enthousiasme même dans des situations dramatiques.
Dans ce texte, il y a un tout et des multitudes d'espaces que l'on peut attacher à notre vie, en cela très belle performance. Il y a la vibration d'une histoire où Toby et Fred ont emporté ma sensibilité, peut-être est-ce parce que comme le dit l'auteure dans son écrit, le « silence », c'est quelque chose qui me parle beaucoup plus, il en dit plus long que toutes les paroles selon moi. Cela elle le décrit tellement bien que j'ai été bouleversée. Créoline a fait des recherches, appuyé son texte sur un socle dur de connaissances, et là je fais une révérence ; c'est un texte ni léger de son inconsistance ni enfermé dans un Feel-Good qui aurait été pour moi ennuyeux. Il est une perle avec une trame menée avec brio, mêlant les sentiments divers, les émotions intenses et un ensemble criant de vérité, de réalité. Cette auteure sait jongler avec l'humour, la tristesse, le désespoir, l'amour. Un texte actuel où tout est tellement crédible que les petites pensées qu'elle a ajouté sur les livres qu'on lui a commandés en direct a renforcé le vivant et ce partage. Elle a, tout au long et au fil des pages, animé de polices d'écriture, de dessin, d'émoticônes, de vie.
Au terme de ma lecture, je suis comme un paysage après un Tsunami et pourtant partout dans mon âme, il y a une étendue de pissenlits ; ceux qui liront comprendront… Avec Créoline, c'est aussi vous, qui démusèlerez votre bonheur…

Merci-à-toi-Créoline-de-Venfré-de-m-avoir-permise-de rencontrer-ta-plume-point🌺🥰💖

NB : je lis en marquant de post-it, des moments forts, la photo parle seule, je crois...non ?😁💝

Ils s'appellent Adama, Tobias & Erin.
Et vous n'avez pas fini de vous en souvenir…

Adama, qu'on associerait facilement à Omar Sy autant par sa carrure que par sa façon d'être, est livreur.
C'est aussi le frère de Tobias qui lui, après un coma prolongé, demeure cloué sur un lit d'hôpital sans savoir s'il retrouvera sa mobilité…
& enfin Erin, hôtesse de l'air, longtemps restée silencieuse mais qui rêve aussi de s'envoler vers de nouveaux projets.
Ensemble, ils forment un trio atypique mais ô combien attachant !

Sensible, poignant, Créoline de Venfré nous fait vivre un véritable ascenseur émotionnel avec son premier livre « Et démuseler le bonheur ». Roman qu'on pourrait qualifié de « feel-bad » ou « feel-good dramatique », il livre tout à tour les points de vue de nos trois protagonistes.

La plume est moderne et tout en finesse. le rythme est percutant avec des personnages qui nous imprègnent et nous transportent. C'est simple, ce livre défierait les plus obstinés ! C'est une source d'oxygène et d'optimisme !
Chaque personnage nous partage ses sentiments profonds, ses ressentis, si bien qu'on a l'impression d'avoir accès à leur âme. Ils sont transcendants car réalistes et vivants ! Ils sont comme nous finalement : ils doutent, ils essaient, ils échouent, ils ont peur mais ils rebondissent. Et c'est ce que je préfère chez Créoline de Venfré, elle n'a pas son pareil pour creuser la psychologie de ses personnages.
L'auteure adopte également une calligraphie différente selon le mode de correspondance : mails, SMS, lettres ; ce qui apporte une touche d'originalité très impactante durant notre lecture.

Enfin, j'ai adoré ce lien unique qui unie ces deux frères malmenés par la tragédie qui touche Tobias. Malgré leur différence, malgré cet amour pudique et réservé, le lien fraternel reste tenace et extrêmement touchant.

Avec ce premier roman auto-édité, Créoline de Venfré force l'admiration et nous plonge dans une histoire dont on ne ressort pas indemne. du rire aux larmes, des larmes aux rires, ne manquez pas « Et démuseler le bonheur… » !

Créoline de Venfré - "Et démuseler le bonheur..."
De suite le titre a accroché mon regard, et la lecture du résumé, écrit façon teasing, a terminé de me convaincre.  
Ni une, ni deux, j'ai fait confiance à mon instinct et bien m'en a pris car dès les premières pages, j'ai été séduite. Des thèmes forts abordés simplement et avec sincérité par l'auteure, mais aussi et surtout des personnages : Adama, Tobias et Erin, qui chacun leur tour, au fil des chapitres, prêtent leur voix et donnent corps à ce roman chorale 🎶. 
Adama, beau black de 28 ans, mon coup de coeur je l'avoue 💥. Perdu, inconsolable, rongé par la culpabilité suite à l'accident de voiture de son jeune frère Tobias, à qui il consacre l'intégralité de son temps. 
Tobias, dont l'avenir dans le droit était des plus prometteurs, est hospitalisé, et suite à un coma se retrouve enfermé dans son propre corps, victime d'un « locked-in syndrome ». 
Erin, jeune hôtesse de l'air de 26 ans, jolie comme un coeur, un métier qui fait rêver. Une vie parfaite, enviée de tous, mais qui pourtant ne la comble pas. 
Rien ne porte à croire que les destins de ces trois là vont se croiser et se lier. Et pourtant, le sort et la vie vont en décider autrement...
Ensemble ils vont démuseler le bonheur. 
 
Je me suis laissée surprendre par la plume de Créoline de Venfré.
Un style bien à elle, très actuel, bien écrit. Quelques petites touches d'originalité, parsemées par-ci par-là, que l'on découvre au détour de certaines pages. Mais chut 🤫 , je vous en laisse la surprise. 
Des personnages d'une grande proximité, qui m'ont vraiment marquée. Créoline réussit cette prouesse par des dialogues pétillants, savamment dosés, savoureux, … mais surtout, une transcription de leurs états d'âme, leur pensées les plus folles, souvent drôles.
Je décerne la palme d'Or à Adama avec ses prières à Dieu. Mais chut, là encore, je ne dirai rien 😉 🤐. 
Bon bref, si avec tout ça, je n'ai pas réussi à vous convaincre de lire ce livre, et bien moi aussi je vais devoir m'en remettre à Dieu !! 🙏😅😇.