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sur 179 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Une jeune fille au sein d'une famille dont le père est autoritaire et disons même mauvais. Nous suivons son parcours, l'accompagnons dans ses désirs, ses premiers amours, les choix qui s'imposent.
La famille est basée à Bari, ville d'Italie dont la renommée tient surtout à la présence de reliques de Saint Nicolas.
Une bonne histoire.
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Dans les années 1980, Maria vit à Bari, dans un quartier très pauvres du sud de l'Italie. Maria est surnommée Malacarne par sa grand-mère, car c'est une enfant rebelle et très intelligente. La vie est très dure dans ce quartier et dans cette famille où règnent violence et machisme. Ce très classique roman d'apprentissage est sans surprise mais les personnages sont attachants et le destin de Maria exemplaire. Bon moment de lecture.
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Une fois de plus, le bandeau ajouté par l'éditeur pour faire vendre s'avère être un mensonge voire un canular. Cependant, ce n'est pas lui qui m'a dirigé vers ce roman. Lecture est faite et me voici légèrement déçue (que légèrement car je ne m'attendais pas à quelque chose d'extraordinaire), ennuyée, surtout : la fin de la lecture a été ennuyeuse et s'est finie en diagonale ; et puis ennuyée maintenant pour rédiger cette chronique.
Plat, insipide, monotone, malgré des ingrédients à la base qui n'étaient pas inintéressants, mais sans doute pas très originaux. Et même battus et rebattus.
Mais je pense que le plus ennuyeux est l'écriture. Il lui manque du lyrisme, une nervosité, du caractère. L'héroîne habite un quartier pauvre de Bari ? certes, mais c'est parce qu'on nous le dit. Je n'ai réussi à ressentir quoi que ce soit pour les personnages. le père violent (soit disant) n'est ni antipathique si sympathique, la mère n'est ni pitoyable ni admirable, les frères sont insignifiants, c'est fade, sans émotions.
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Le personnage central de ce roman est aussi la narratrice, Maria dite « Malacarne » . elle est née et a grandi à Bari ville des Pouilles sur la côte adriatique au sud de l'Italie dans les années 1980; elle nous décrit son enfance dans une famille défavorisée où la violence des hommes s'exerce trop souvent aux dépends de leurs femmes et enfants,
Ils vivent dans un quartier misérable, ou l'oeil des voisins n'est jamais bien loin, exerçant un contrôle social violent fondé sur les superstitions, les déceptions, la jalousie, la malveillance, les rancoeurs.
Mais cependant tout n'est pas noir : amitié entre enfants, amour entre grand-mère, mère et petite- fille, perspectives d'ascension sociale par l'éducation…
Le roman se laisse lire mais est très loin d'avoir la force narrative de « L'amie prodigieuse » d'Elena Ferrante auquel il nous fait immanquablement penser.
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Il est certain que l'auteure surfe sur la vague de « l'amie prodigieuse ». Cela dit, elle ne s'en sort pas si mal.
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Italie, un quartier pauvre d'une ville de bord de mer, Bari. Un père pêcheur, colérique et autoritaire, une mère digne, stoïque, inquiète, un fils aîné calme et raisonnable, un cadet mauvais, et une fille sage mais impétueuse, d'où son surnom Malacarne.
La problématique : faut-il accepter de suivre sa voie de brillante élève pour sortir de la misère, au risque de renier ses origines ?
Maria a honte de ses origines mais comprend que son quartier fait partie de sa personne.
Cette histoire nous entraîne à la suite de Maria et nous suivons son enfance et son adolescence. Des événements tragiques émaillent le récit. Maria, tenaillée entre son père et son amour, devra faire des choix, d'où une certaine tension qui finit par tenir en haleine le lecteur.
Une histoire dépaysante, qui fait toucher du doigt le destin des femmes dans les années 80 en Italie.
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J'ai failli arrêter la lecture de livre à plusieurs reprises tant ce roman n'est que "descriptif". Certes, on y découvre la vie dans les années 80, dans cette province d'Italie, extrêmement bien détaillée, et on s'étonne même que cela ait encore été le cas à cette époque, somme toute récente. Mais sincèrement, pour moi, il manque d'actions, de dialogues etc qui auraient rendu ce livre plus attrayant. Cependant, j'avoue aussi que, passé la moitié du livre, on finit par vouloir connaître la suite et on se prend à aller jusqu'au bout pour accompagner Maria. le final, comme l'a dit un autre lecteur, ne manque pas de panache et on referme le livre quand même satisfait de l'avoir terminé.
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une jolie lecture mais on a envie d'en savoir plus.
L'écriture est belle, on se promène avec Malacarne dans son quartier....
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