Le titre est assez curieux car sans grand rapport avec le contenu .j'aurais plutôt vu "L'apprenti sorcier" étant donné que le héros se trouve $etre un magicien novice qui pour éblouir une dame avec qui il vient de joyeusement copuler tente une sort interdit . A partir de là c'est la panique , l'apocalypse , le choc des mondes , Avolag la planète chimère se lance à l'assaut pour opérer la grande fusion . Et notre apprenti se révèle être une sorte de Grand Satan plus vieux qu'Hérode ! Scénario peu clair , scène de guerre manquant de sens épique ,personnages flous ..Au total le plus mauvais des tomes de la série.
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Au début j'étais plutôt enthousiasmé par ma lecture. L'écriture agréable et imagée nous comptant l'histoire d'un apprenti magicien dans un monde aux couleurs moyenâgeuses et fantasy me plaisait. Mais très vite j'ai déchanté. Alors non ce n'est pas mauvais. Non, le souci c'est que, 6eme volume d'une série écrite par plusieurs auteurs oblige (même si ce livre semble pouvoir se lire indépendamment des autres) et n'ayant pas lu les autres justement, il me manquait des donnés pour bien comprendre la trame de cet univers et donc de cette histoire. de plus, arrivé à la fin, il m'est resté comme un goût d'inachevé, pourtant jusqu'à présent aucune suite n'a été écrite (sachant que ce dernier tome est daté de 1983). Enfin, j'ai eu l'impression de lire une histoire sans grand intérêt, très anecdotique, ne servant qu'à faire un pont entre ceux d'avant et ceux qui auraient pu venir ensuite.
En conclusion un livre qui a, par son écriture et son univers, pas mal de charme, mais qui semble peu intéressant à lire sans avoir lu les volumes le précédents, et encore, même là je pense qu'il resterait très anecdotique et donc peu passionnant.
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Le vent était froid et sa morsure sèche comme le sillon d'un couteau très bien aiguisé ; il arrivait en rafales serrées depuis l'est lointain, où, au-dessus de l'océan, il avait pris à son bord les lourdes panses des nuages chargés de pluie. Mais il avait fort à faire pour ébranler la haute tour et là faire trembler sur ses fondations granitiques - toutes ses tentatives ne faisaient que l'essouffler davantage, alors qu'il avait encore du chemin à faire avant d'aller crever ses passagers emplis d'eau sur les dents aiguisées des chaines de montagnes plus à l'ouest.