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Citations sur Les 500 millions de la Bégum - Les révoltés de la 'Bounty' .. (14)

« Un homme en vaut un autre, et je ne vois pas pourquoi vous resteriez toujours à vous reposer ! Si vous avez faim, allez chercher de quoi manger ! Pour ce que vous faites ici, je vous remplacerai bien ! »

(Les révoltés de la Bounty)
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Sur la plaine nue et rocailleuse, en cinq ans, dix-huit villages d'ouvriers, aux petites maisons de bois uniformes et grises, ont surgi, apportés tout bâtis de Chicago, et renfermant une nombreuse population de rude travailleurs.

C'est au centre de ces villages, au pied même des Coals-Butts, inépuisables montagnes de charbon de terre, que s'élève une masse sombre, colossale, étrange, une agglomération de bâtiments réguliers percés de fenêtres symétriques, couverts de toits rouges, surmontés d'une forêt de cheminées cylindriques, et qui vomissent par ces milles bouches des torrents continus de vapeurs fuligineuses. Le ciel en est voilé d'un rideau noir, sur lequel passent par instant de rapides éclairs rouges. Le vent apporte un grondement lointain, pareil à celui d'un tonnerre ou d'une grosse houle, mais plus régulier et plus grave.
Cette masse est Stahlstadt, la Cité de l'Acier (p89)

(Les 500 millions de la Begum)
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Quelques-uns - et c'était l'avis de Churchill - trouvaient que le nombre de ceux qui devaient quitter le navire n'était pas assez considérable. Il fallait se défaire, disait-il, de tous les hommes qui, n'ayant pas trempé directement dans le complot, n'étaient pas sûrs. On ne pouvait compter sur ceux qui se contentaient d'accepter les faits accomplis. Quant à lui, son dos lui faisait encore mal des coups de fouet qu'il avait reçus pour avoir déserté à Tahiti. Le meilleur, le plus rapide moyen de le guérir, ce serait de lui livrer d'abord le commandant!... Il saurait bien se venger, et de sa propre main ! (p7/8)

(Les révoltés de la Bounty)

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« Nos chevaux ne sont pas ferrés, reprit le gabier en
s'arrêtant, et leur corne s'use vite sur ces rocs de granit ! Après
tout, ne disons pas de mal du sol !… Il y a de l'or là-dessous, et,
parce que nous marchons dessus, lieutenant, ça ne veut pas dire
que nous le méprisons ! »
(Un drame au mexique)
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« Pas de bruit surtout, mes amis, dit Fletcher Christian, le
second de la Bounty. Bob, armez votre pistolet, mais ne tirez pas
sans mon ordre. Vous, Churchill, prenez votre hache et faites
sauter la serrure de la cabine du capitaine. Une dernière
recommandation : Il me le faut vivant ! » (p4)

(Les Révoltés de la Bounty)
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« La Cité de l'Acier n'était qu'une usine formidable, qu'un engin de destruction redouté sous la main de fer de Herr Schultze ; mais, grâce à Marcel Bruckmann, sa liquidation s'est opérée sans encombre pour personne, et Stahlstadt est devenue un centre de production incomparable pour toutes les industries utiles.» (p337)

(Les 500 millions de la Begum)
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Obus-fusée de verre, revêtu de bois de chêne, chargé, à soixante-douze atmosphères de pression intérieure, d'acide carbonique liquide. La chute détermine l'explosion de l'enveloppe et le retour du liquide à l'état gazeux. Conséquence : un froid d'environ cent degrés en dessous de zéro dans toute la zone avoisinante, en même temps mélange d'un énorme volume de gaz acide carbonique à l'air ambiant. Tout être vivant qui se trouve dans un rayon de trente mètres du centre de l'explosion est en même temps congelé et asphyxié. Je dis trente mètres pour prend une base de calcul, mais l'action s'étend vraisemblablement beaucoup plus loin, peut-être à cent et deux cents mètres de rayon ! (p167)

(Les 500 millions de la Begum)
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« Il sera curieux, notamment, de rechercher si l'influence d'un régime aussi scientifique sur toute la durée d'une génération, à plus forte raison de plusieurs générations, ne pourrait pas amortir les prédispositions morbides héréditaires. » (p221)
(Les 500 millions de la Begum)
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« J'ai tracé le plan de ce navire à éperon détachable que vous m'avez demandé.

- Moi ? répondait Herr Scultze, qui n'avait jamais songé à pareille chose.

- Mais oui ! Vous l'avez donc oublié ?… Un éperon détachable, laissant dans le flanc de l'ennemi une torpille en fuseau, qui éclate après un intervalle de trois minutes !

- Je n'en avais plus aucun souvenir. J'ai tant d'idées en tête ! » (p154)

(Les 500 millions de la Begum)
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Messieurs, parmi les causes de la maladie, de misère et de mort qui nous entourent, il faut en compter une à laquelle je crois rationnel d'attacher une grande importance : ce sont les conditions hygiéniques déplorables dans lesquelles la plupart des hommes sont placés. Ils s'entassent dans des villes, dans des demeures souvent privées d'air et de lumière, ces deux agents indispensables de la vie. Ces agglomérations humaines deviennent parfois de véritables foyers d'infection. Ceux qui n'y trouvent pas la mort sont au moins atteints dans leur santé ; leur force productive diminue, et la société perd ainsi de grandes sommes de travail qui pourraient être appliquées aux plus précieux usages. (p54)
(Les 500 millions de la Begum)
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