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Critique de Sachenka
Le roman le Robinsion suisse, paru en 1812, raconte les aventures de la famille Zermatt, naufragée sur une ile de l'archipel indonésien. Je n'ai pas lu ce roman mais il s'agit vraisemblablement d'une variante de l'histoire de Robinson. Les Zermatt, à peine rescapés d'un naufrage, explorent leur nouvelle demeure et essaient de recréer autour d'eux un semblant de civilisation pendant environ dix ans. Cette oeuvre eut un succès retentissant et, Jules Verne, en grand admirateur, prend sur lui d'en écrire la suite. Donc, en 1900, il fait paraitre Seconde patrie.
Ce roman commence à peu près là où le Robinson suisse termine, c'est-à-dire par le sauvetage de Jenny Montrose, une nouvelle naufragée, par le jeune Fritz. le couple Zermatt, leurs quatre fils et leur amie, bien qu'isolés, mènent une existence relativement paisible et plutôt confortable. Mais quand les secours arrivent (par pur hasard), l'idée de quitter leur paradis terrestre, qu'ils ont mis tant d'années à construire et à adapter à leurs besoins, ne leur convient plus. Mieux, ils réussissent à convaincre la famille Wolston, passagère sur le bateau, à rester sur l'ile. Toutefois, il est décidé que Fritz accompagnerait Jenny à Londres pour demander sa main à son père. Ils doivent revenir avec le reste de la famille Wolston.
Le reste de Seconde patrie se décline en deux parties. D'un côté, les Zermatt continuent l'exploration de l'île et partagent avec les Wolston tous les aménagements qu'ils y ont faits. Bref, il ne s'y passe pas grands choses jusqu'à l'arrivée impromptue de sauvages... de l'autre côté, Fritz, Jenny et le reste de la famille Wolston vivent un retour assez mouvementé : des mutins prennent le contrôle de leur navire et ils les abandonnent à la mer sur un canot qui échoue au pied de falaises infranchissables. Leur survie devient précaire…
Je ne veux pas dévoiler la fin mais les amateurs des romans de Jules Verne savent que ses personnages connaissent habituellement un dénouement heureux. Ils savent aussi que son oeuvre est synonyme de longs passages descriptifs, de péripéties nombreuses, d'une bonne d'ose d'exotisme et d'un soupçon de romance. Seconde patrie n'en déroge pas.
Ce roman commence à peu près là où le Robinson suisse termine, c'est-à-dire par le sauvetage de Jenny Montrose, une nouvelle naufragée, par le jeune Fritz. le couple Zermatt, leurs quatre fils et leur amie, bien qu'isolés, mènent une existence relativement paisible et plutôt confortable. Mais quand les secours arrivent (par pur hasard), l'idée de quitter leur paradis terrestre, qu'ils ont mis tant d'années à construire et à adapter à leurs besoins, ne leur convient plus. Mieux, ils réussissent à convaincre la famille Wolston, passagère sur le bateau, à rester sur l'ile. Toutefois, il est décidé que Fritz accompagnerait Jenny à Londres pour demander sa main à son père. Ils doivent revenir avec le reste de la famille Wolston.
Le reste de Seconde patrie se décline en deux parties. D'un côté, les Zermatt continuent l'exploration de l'île et partagent avec les Wolston tous les aménagements qu'ils y ont faits. Bref, il ne s'y passe pas grands choses jusqu'à l'arrivée impromptue de sauvages... de l'autre côté, Fritz, Jenny et le reste de la famille Wolston vivent un retour assez mouvementé : des mutins prennent le contrôle de leur navire et ils les abandonnent à la mer sur un canot qui échoue au pied de falaises infranchissables. Leur survie devient précaire…
Je ne veux pas dévoiler la fin mais les amateurs des romans de Jules Verne savent que ses personnages connaissent habituellement un dénouement heureux. Ils savent aussi que son oeuvre est synonyme de longs passages descriptifs, de péripéties nombreuses, d'une bonne d'ose d'exotisme et d'un soupçon de romance. Seconde patrie n'en déroge pas.
