Molly Galloway V. 01. Gloire aux Vaincus

Déception, déception j'avais lu de bonne critique dans le Libraire une revue spécialiser dans les nouveautés littéraire. Pour celui-ci j'ai attendu près d'un an avant de pouvoir le lire. Un début prometteur qui me rappelait Anne la Maison au Pignon vert de Lucy Maud Montgomery, un orpheline avant qu'elle le devienne. le manque d'atmosphère de l'époque (aucune description au 19 siècle en Irlande à part qu'ils étaient de pauvre fermier). J'aurais voulu en savoir davantage plus des descriptions de paysage et de savoir comment ils vivaient la misère noire. Par la suite, l'héroïne arrive à Montréal là aussi on est minimaliste au niveau des technique de l'époque à part l'eau et le savon pour nettoyer cette crasse. L'idée qu'une fillette de onze ans soit emprisonner pour une durée de trois ans est un peu exagéré (seul bonne idée pas assez développer et manque de profondeur des personnages principale (trop caricaturaux à mon goût). Ensuite, on tombe dans Mark Twain pour l'esclavage. Histoire importante je suis d'accord mais au combien de fois raconter depuis Twain on ne réinvente pas la roue mais j'aimerais un peu moins déjà vu que des faits particuliers (pourquoi faire une série alors que l'auteur ne va pas en profondeur il est trop superficiel dans ces descriptions et les actions de Molly. Pour moi, elle est moins attachante qu'Anne car le roman ce veut didactique comme la plupart des romans québécois à croire les auteurs nous sommes idiots et sans culture. Pour ceux qui aime les romans d'esclaves en fuite et de chasseur de prime liser Micheal White: le Chasseur d'Ames. Bonne lecture !