Carnets de naufrage est dans la lignée de Chercher le vent du même auteur. Même sorte de personnages: un trentenaire vivant une séparation, qui déprime, qui est harponné par les copains pour un road trip, pour du surf , pour quelques aventures féminines. le voyage réparateur, le voyage qui fait revivre.
La langue est semblable dans les 2 romans, avec quelques bonnes tournures ici aussi. C'est vivant, c'est clair. Mais, je me suis quelque peu ennuyée puisque je ne voyais là rien de bien nouveau, que les crises existentielles des trentenaires. On y boit encore beaucoup, on fume aussi beaucoup, on se laisse vivre au soleil avec cette espèce de désinvolture chic qui finit par nous lasser. Petite déception et donc juste 2 petites étoiles.
Commenter  J’apprécie         280
Ne vous fiez pas aux trois étoiles de notation que j'ai accrochées à cette lecture ! Cela veut juste dire que j'ai passé l'âge de lire ce genre de récit... D'autant que le nombre de bières ingurgitées au fil des pages m'a donné la nausée, et encore plus les petits verres de Tequila. Si encore, il s'était agi de Jack Daniel's, mais là non, la bière, je n'aime pas ça du tout !!!!
Pour autant, l'histoire est prenante : Alex quitté par Marlène et qui ne l'accepte pas, use toutes les ressources de la patience, de la philosophie, de la réflexion sur la vie, lui qui ne sait pas comment contrer l'événement ... Heureusement, il y a les copains, les vrais, et ceux qu'il va se faire. Finalement, il devrait essayer de résoudre ce désastre comme il parle à la vague qui l'a fait chuté de sa planche de surf.... Juste dit comme ça !
Attention, je n'ai pas dit que je n'avais pas aimé, il vous faut vous faire l'idée par vous-même. Juste que l'on attend pas tous la même chose de la vie...
Commenter  J’apprécie         240
Belle écriture poétique pour un sujet bien actuel quand on est trentenaire.
Commenter  J’apprécie         90
Bien écrit, certes, mais je n'ai pas accroché à la dérive de ce gars pathétique. Téquila-cazadores, margaritas, whisky-Macallan, bière, Glenlivet, j'en passe, financé par la SAQ ce roman? J'avoue que le soleil et les vagues mexicaines m'ont fait un peu rêver en ce gris mois de décembre, mais trop peu...
Commenter  J’apprécie         60
L'écriture est bien, mais c'est la seule chose. Je n'aime pas abandonner un livre, pourtant cette fois ça ma tenté. La seule raison pour laquelle je ne l'ai pas fait est que c'était dans le cadre de mon cours de français. Ce livre m'a déprimé et a découragé plusieurs élèves. Ce livre m'a fait sombré avec lui.
Commenter  J’apprécie         20
Obligée de le lire pour un cours... Oui, ça se lit vite, mais qu'est-ce que je me suis ennuyée... Ce genre de livres où il ne se passe rien de plus que les émotions du personnage principal, ce n'est vraiment pas pour moi. C'est comme regarder un ami en peine d'amour : pathétique et d'un ennui mortel. Envie de dire «ça va, reviens en».
Commenter  J’apprécie         10
J'ai beaucoup aimé. Vigneault m'a donnée envie de partir en voyage... À découvrir!
Commenter  J’apprécie         10