Les personnages de Marc Villard se tapent la tête contre les murs. Ils vivent trop à l'étroit, telles ces femmes qui s'enferment dans une cave et s'assomment au Bandol rouge pour oublier leurs crétins de bonshommes. Le peintre Kossé, lui, n'a pas assez d'une seule existence : il faut qu'il s'invente des biographies pour espérer vendre ses tableaux. C'est comme ça, ils ont tous un train de retard, ils n'ont pas tiré ... >Voir plus