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Attention pépite ! J'avais déjà fortement apprécié le style d'Angélique Villeneuve dans Grand Paradis mais là, je dois dire que je me suis pris une claque magistrale. Vous savez, c'est ce livre que l'on referme en disant "waouh !" ; ce livre qui a fait une telle impression que l'on est obligé de lire un petit roman léger derrière car tout nous paraît fade, sans saveur littéraire.

Avec une écriture ciselée, un ton intimiste, poétique parfois, la romancière nous livre ici un épisode douloureux, conséquence de la Première Guerre Mondiale : le retour au domicile des gueules cassées. Elle ose montrer le quotidien, étaler les ressentis que l'on se gardait bien de montrer car trop honteux. La famille se devait d'être exemplaire envers ces hommes qui avaient combattu pour la Patrie. Pourtant, bien souvent, face à celui qui ne ressemblait plus à l'homme parti quelques années auparavant, qui n'avait plus aucune similitude avec le faciès d'un être humain d'ailleurs, le cercle familial éprouvait de la crainte, du dégoût, allant même jusqu'à préférer la disparition du soldat. Puis venait l'apprivoisement... apprivoisement d'un visage, d'un corps pour l'un, d'un individu pour les proches.

Ce qui me marque d'autant plus, c'est le fait que la beauté des mots met en relief la laideur, la noirceur du vécu des personnages. J'aime beaucoup ce genre et ces auteurs pas suffisamment connus à mon goût. Un grand bravo pour ce petit chef-d'oeuvre !
Lien : http://www.lydiabonnaventure..
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Ouvrière fleuriste en chambre, Jeanne est tout affairée à son travail, sa chaise collée au poêle qui, pourtant, ne dégage que très peu de chaleur. Sa fille, Léo, joue seule, dans son coin, chantonnant parfois. Habituées qu'elles sont à n'être plus que deux dans ce petit appartement, elles ne font pas attention, surtout Jeanne, au bruit des pas dans l'escalier. Aussi lorsqu'elle détourne la tête, elle reste assise, ne réalisant pas que c'est Bien Toussaint qui se tient sur le pas de la porte. Elle le trouve grandi, beau dans son uniforme. Étranger aussi. le voilà de retour son homme blessé dans les tranchées puis soigné au Val-de-Grâce. Silencieux et le visage à moitié caché par un morceau de tissu.... Et si la fin de la guerre est toute proche, c'est un nouveau combat qui attend Jeanne et Toussaint...

D'une extrême délicatesse, Angélique Villeneuve fait éclore, avec beaucoup de pudeur et de sensibilité, ces Fleurs d'hiver... Si la guerre aura épargné la vie de Toussaint, c'est tout de même un autre homme qui revient chez lui, après des mois de convalescence. Un homme meurtri, blessé dans son coeur et dans sa chair. Un homme que Jeanne devra apprendre à approcher, à coups d'effleurements, de tâtonnements fragiles, de regards rassurants et de patience, mais aussi à (ré)apprivoiser et à aimer autrement. D'un amour qui, on l'espère, réussira à panser ses blessures. D'une plume délicate et sensible, ce roman dépeint avec finesse la vie des ces femmes séparées de leur mari ou de leur fils, l'attente d'une lettre, l'absence qui, chaque jour, ronge un peu plus l'espoir.
C'est tout en douceur que l'on referme la porte de cet appartement, espérant de tout coeur que la vie, aussi fragile soit-elle, renaîtra pour ces deux âmes blessées...
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S'il est des sujets dont je ne suis pas fan et que j'évite volontairement ce sont bien ceux qui tournent autour des périodes 1914 - 1918 et 1939 – 1945.
A part le terrible « Cris » de Laurent Gaudé, j'ai toujours esquivé ces récits qui malheureusement ne servent d'aucune leçon à l'homme qui continue au quotidien ses massacres, ses humiliations et autres commémorations de ses horreurs. Pour se souvenir de quoi nous sommes capables, regarder le présent est bien assez éprouvant. Bref…
Pourquoi alors avoir accepté le prêt de Marie mosaïque92 que je remercie vivement?
Tout simplement parce que ce n'est pas un livre sur la guerre. Les gueules cassées, ce n'est plus la guerre, ce sont les conséquences.
Toussaint est l'une d'entre elles qui rentre au foyer après des mois de reconstruction faciale au Val de Grâce. Retrouver une femme et une fille qu'il n'a qu'à peine connu, avec un handicap lourd à porter risque d'être compliqué.
Angélique Villeneuve nous fait entrer dans la peau de Jeanne, cette femme victime elle aussi de la guerre comme l'ont été toutes celles ayant perdu un fils, un mari ou un père. Elle tient tête aux jours mauvais pour et par Léonie, sa fille. Par l'amitié et la solidarité avec ses voisines aussi, toutes plus ou moins dans le même cas. Sauf que Jeanne sait qu'elle va retrouver Toussaint, qu'il est vivant. Blessé mais vivant, ce n'est qu'une question de temps et le temps est venu.
Comment reprendre une relation après une si longue absence ? Comment faire quand les vécus ont apporté des traumatismes différents dont l'autre ne peut appréhender la profondeur ? Comment réagir quand le temps pris à la vie risque de faire d'un couple deux étrangers ?
« Les Fleurs d'Hiver », c'est l'histoire d'une reconstruction. Après le bruit des bombes, c'est une ode au silence. La communication est privée de mots, de bruit, du vacarme des coeurs. Les tourments de l'âme vont se libérer par les gestes, dans un regard. Les peurs et autres inquiétudes n'ont qu'une seule issue, une complicité retrouvée, peu à peu, il faut se ré-apprivoiser.
J'ai beaucoup aimé l'écriture d'Angélique Villeneuve, presque apaisante pour un sujet compliqué.
C'est un magnifique portrait de femme. Un livre sur la guerre ? Non, un livre sur l'Amour.
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On les appelait les gueules cassés, mais ce n'était pas qu'une simple image. Fin 1916, Toussaint Caillet a été atteint à la face par un éclat d'obus à Verdun, sur le Chemin des Dames. La blessure est vilaine. Il est rapatrié au Val-de-Grâce où il y sera soigné durant plusieurs mois, presque jusqu'à la fin de la guerre.
À Paris, sa femme Jeanne est fleuriste, travaille à domicile, ses petites mains ouvrières s'agitent dans des compositions florales inouïes et colorées.
Pendant quatre ans, Jeanne affronte la solitude et l'absence de Toussaint, comme tant d'autres femmes. Il y a les couleurs des fleurs parmi la noirceur de l'attente et de la guerre au loin.
Elle savait depuis peu qu'il était au Val-de-Grâce, mais lui ne voulait pas qu'elle vienne le voir.
Puis un jour Toussaint revient, c'est le bord de l'hiver 1918, ce long hiver qui commence. Il revient avec le silence, sans les mots, sans les gestes. Sa silhouette courbée, trapue enfouie derrière une capucine, silhouette mutique qui fait peur, impressionne autant Jeanne que sa fille. Il est là de nouveau mais il tient ses êtres chers à distance.
Toussaint a encore le bruit des bombes dans sa tête, la boue des tranchées, le froid, la peur, quelque chose qui glisse sur sa peau longtemps après.
Quel gâchis la guerre ! Pour les hommes qui la font... Pour les femmes qui les attendent... Plus rien ne sera comme avant...
C'est un héros triste, silencieux, taiseux, un homme avec un trou dans ce visage dissimulé.
Sa fille Léonie dit qu'elle a deux papas, celui sur la photo accrochée au mur du salon et l'autre revenu de la guerre dont elle ne voit pas le visage.
Jeanne voudrait dénouer le bandeau du visage de Toussaint, mais il ne veut pas, non c'est trop tôt...
Après quatre ans de guerre et de séparation, il faut s'apprivoiser désormais. La guerre n'est plus l'ennemi, c'est autre chose, c'est le silence d'un visage vissé derrière un masque, un bandeau, un mur entre deux êtres qui s'aiment. Se réapprivoiser, reconstruire l'édifice de l'amour, peu à peu, pas à pas.
Les fleurs d'hiver est un roman court d'Angélique Villeneuve, ma première incursion dans l'univers de cette auteure, que je trouve sensible et délicat. Ce texte est aussi pour moi une rencontre touchée par la grâce, une écriture ciselée, intimiste, des mots poétiques à peine chuchotés. C'est une écriture qui penche vers le vivant, vers la vie, vers les fleurs, vers l'amour tout simplement. Ces fleurs d'hiver couturent les pages de ce livre comme un chemin, pansent les blessures, tandis que les gestes de tous les jours, de petites mains ouvrières leur redonnent forme et vie...
Ce roman est pour moi une rencontre avec une auteure, un véritable coup de coeur.
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Jeanne et Toussaint forment un jeune couple au début des années 1910: lui est ouvrier dans la chaussure, elle est fleuriste. Août 1914 déchire leur quotidien, Toussaint part au front,Jeanne se retrouve seule, à élever leur petite fille Léonie. Aprés quatre ans de guerre, dont deux passées à l'hôpital du Val de Grâce , service "des gueules cassées"et un message adressé à Jeanne: "Je veux que tu viennes pas....", clair, sans appel,douloureux pour elle, et son portrait en soldat,accroché sur le mur qu'elle ne pouvait plus regarder, Toussaint retourne enfin chez lui...
L'homme que Jeanne retrouve est changé, retiré en lui- même, muet, le visage partiellement dissimulé sous un bandeau....
Le couple doit vivre dorénavant en cohabitation avec un nouvel élément : le silence, celui de Toussaint, défiguré et traumatisé par la guerre...
Aprés l'absence et ses douleurs, La peur et les privations durant quatre ans,commence pour Jeanne , un combat , une rude bataille contre cet ennemi invisible afin de renouer les liens perdus: un chemin infiniment plus cruel que les privations, à parcourir ensemble et séparément....L'auteure explore l'indicible avec une sensibilité à fleur de peau, elle nous plonge dans la vie de ces êtres meurtris, détruits dans leur propre corps, le silence et les non- dits de Toussaint, le bandeau, une barrière insurmontable derrière laquelle il cache sa souffrance et sa peur d'affronter les autres..... A l'aide d'une plume ciselée et subtile, riche de métaphores visuelles et sonores, un regard sensible, et retenu, tendre et émouvant, Angélique Villeneuve nous donne aussi , sans pathos, de maniére poétique,un aperçu de la société française d'aprés guerre entre commémorations, célébrations des héros, traumatismes des soldats revenus du front, dureté des conditions de vie et immense solidarité entre les gens humbles.
Au final,un beau roman féminin, pudique ,fin et délicat.
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Je ne sais plus laquelle de mes amies « Babéliotes » m'a donné l'envie, dans une critique enthousiaste, de lire ce petit bijou, mais je ne l'en remercierai jamais assez et j'espère à mon tour transmettre ce plaisir de lecture au plus grand nombre.
1914, Mobilisation générale, Toussaint, jeune père de famille, part au front.
Jeanne, son épouse et Léonie, sa fille, l'attendront.
1918, après des mois de convalescence, Toussaint, grièvement blessé est de retour.
Vous trouverez sans doute que mon résumé est bien succinct, mais pas la peine d'en dire plus…
En 150 pages, Angélique Villeneuve fait vibrer chaque corde sensible de son lecteur.
On vit le quotidien de ses personnages au ralenti.
Chaque pas, chaque geste, chaque regard, chaque sentiment, chaque émotion sont ressentis.
On est dans la maison avec Jeanne, on est Jeanne. C'est à travers ses yeux et ses pensées que l'on vit cette histoire.

J'ai du mal à trouver les mots pour retranscrire les sentiments qui m'ont animé tout au long de ma lecture. Je voudrais simplement dire combien j'ai été touché par ce récit, par sa lenteur, par un style particulier ou l'auteur sort parfois d'une narration classique. (Ah ! le chapitre où s'alternent fabrication d'une fleur et reconstitution d'un visage, quelle idée de génie…).
Mais, là où l'auteure est au sommet, c'est dans le suspens qu'elle met, le temps qu'elle prend, pour faire découvrir à Jeanne, et au lecteur donc, le visage abimé de Toussaint.
Parce que le sujet du livre, c'est la guerre, bien sûr, la Première Guerre mondiale, comment elle est vécue, par ceux qui attendent, par ceux qui combattent, et comment on en revient, ou pas….
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La sensibilité d'Angelique Villeneuve vous agrippe dès les premières pages. Vous savez alors que vous allez vivre intensément auprès de Jeanne et sa petite fille Leo. Si dans un premier temps, elles sont seules, Toussaint, le mari de Jeanne et le père de Leo, rentre de la guerre après avoir été gravement blessé et passé un temps de reconstruction au Val de Grâce.
Le retour n'est pas simple. Comment peut-il l'être après avoir été défiguré par les atrocités de la guerre.
Toussaint revient donc meurtri, blessé à l'intérieur comme à l'extérieur. Il se cache avec un bandage qui lui le visage et se tait.
Jeanne va, avec beaucoup d'amour, de respect, tenter de réapprendre à vivre à trois. Son approche est tendre,, extrêmement douce. C'est une sorte d'apprivoisement. Progressivement quelques petits gestes, quelques petits signes...
Cette histoire d'amour n'est pas celle que l'on rêve mais c'est une vraie histoire d'amour qui a des chances, cette fois, de ne pas terminer mal.
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« Toussaint est revenu. »
La guerre de 14-18 n'est pas encore achevée que le soldat Toussaint réintègre de manière inopinée le foyer conjugal auprès de sa femme Jeanne et de sa fille Léonine.

« Il a poussé le battant mais reste sur le palier, bien droit, dans l'obscurité. Alors Jeanne, subitement, lève la tête, les yeux encore trempés du rouge des dahlias. Si on le leur demandait, maintenant, à l'un et à l'autre, il est probable qu'ils ne sauraient pas. Ce qui s'est passé. Ce qu'ils ont pensé, ressenti, à ce moment-là. Peut-être que ça, oui, elle l'aurait dit, Toussaint est grandi. Puisque sans réfléchir, bêtement, elle s'est dit, qu'il avait poussé, pendant la guerre, que cet homme qu'on lui rendait, après des années de noir, prenait tout le large et le haut de la porte. » (Chapitre 2)

C'est principalement à travers le regard de Jeanne, l'épouse, que nous allons découvrir peu à peu toutes les implications de ce retour inespéré et si fragile.

C'est une belle histoire remplie de délicatesse mais je ne suis parvenue à m'y immerger que par intermittence. le va-et-vient des souvenirs m'a paru trop découpé, pas assez naturel, principalement au début. Cela s'estompe cependant relativement rapidement, à mesure que le passé rejoint le présent. C'est sans doute le style qui m'a le plus dérangée avec ces phrases sèches, saccadées, qui surviennent parfois comme un hoquet. Pour autant, il se dégage paradoxalement une infinie douceur et une tendresse presque sensuelle. Pour un peu, je dirais que c'est une écriture qui s'écoute plus qu'elle ne se ressent. S'il y a quelques passages très forts, chargés d'une sensibilité à fleur de peau (et d'hiver !) ainsi que des tournures que j'ai beaucoup aimées, il y a également d'autres passages où je suis restée complètement détachée.
Une lecture inégale donc, mais néanmoins une magnifique histoire de retrouvailles et de réacclimatation d'un couple au quotidien, enveloppée de silences, de regards et de gestes.
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Toussaint rentre enfin chez lui, après avoir passé un long moment à l'hôpital du Val-de-Grâce. Sa femme, Jeanne, est impatiente de le revoir.
Mais après avoir reçu un éclat d'obus, dans les tranchées de la guerre, Toussaint a le visage abimé. Alors comment reprendre une vie commune, une vie normale après cet accident d'autant que Toussaint ne parle pas.

Jeanne, elle, a continué à travailler, chez elle, pendant les combats sur le front. Elle a subvenu à ses besoins et à ceux de sa petite fille. Ouvrière fleuriste, elle confectionne des fleurs puis va les livrer.
Jeanne est courageuse. Elle essaie tant bien que mal de s'approcher de Toussaint, même si lui ne veut pas. Elle essaie de l'amadouer, de le faire sortir de son silence. Elle va jusqu'à le suivre dehors dans les rues parisiennes. Elle invente un nouveau dialogue entre eux pour renouer avec les liens qui les unissent.

Comment décrire l'indicible... Angélique Villeneuve a su brillamment choisir les mots et embellir la noirceur. En adoptant le point de vue de l'épouse, le récit est chargé d'émotions et de réalisme. Se mettre à la place des femmes ouvre un angle du vue différent de ce que nous sommes habitués à lire dans ce genre de récit, sur les gueules cassées.

Je vous invite vivement à découvrir cette auteure à la plume subtile, poétique et réaliste. Ce court roman est intense et marque les esprits.
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Ce livre, je l'ai reçu pour mon anniversaire...
Ce livre, quand je l'ai déballé, je savais que c'était plus qu'un cadeau que je recevais !
Ce livre, la personne qui me l'a offert, l'a lu et m'en a parlé...
Sa voix, ses mots, les expressions sur son visage... C'était fort ! C'était grand ! Tellement beau, rayonnant, touchant !
J'avais vraiment trop hâte de le découvrir à mon tour et de le ressentir moi aussi avec une telle intensité !
Il y a des livres qui se dévorent et d'autres, comme celui-ci, qui se savourent...
Lentement, délicieusement !
Afin de sentir chaque saveur, chaque senteur...
La guerre s'achève... Toussaint rentre chez lui après 4 années d'absence, dont de longs mois de convalescence dans un service de gueules cassées...
Sa femme, Jeanne et sa fille, Léonie, ont dû s'organiser sans lui et vont devoir (ré)apprendre à vivre avec lui, auprès de lui.
Le (re)découvrir avec ses blessures et ses traumatismes.
Avec pudeur, délicatesse, lenteur et subtilité, Angélique Villeneuve, nous livre un récit poignant, saisissant !
Minutieusement, le visage dissimulé de Toussaint se dévoile...
Des effleurements, des murmures, des silences, des gestes lents, patients, sensibles, légers...
Chaque nouveau chapitre vient orner d'une nouvelle fleur, le bouquet, d'un geste habile et délicat.
Le résultat est resplendissant !
Arrivé à entremêler la création d'une composition florale et la chirurgie d'une reconstruction faciale, comme s'il s'agissait d'une même opération, c'est juste du grand art ! Quelle maîtrise !
Vous l'avez compris ! Ce livre est une pure merveille que je vous encourage à lire au plus vite !... Mais en prenant tout votre temps...

Merci encore pour ce "bouquet de fleurs" qui m'a ravie au delà de mes espérances !
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