Pas mal même si clairement ce n'est pas de la grande littérature.
Il y a bien longtemps, j'ai lu beaucoup de SAS, faut dire que l'auteur est prolixe et surtout bien documenté sur la situation politique des pays traversés par son héros, Son Altesse Sérénissime le Prince Malko Linge.
Pour ce roman, on se retrouve au Brésil, principalement à Rio, pour concrétiser une transaction financière qui ne doit pas poser problème et pourtant, les morts s'accumulent, les horreurs se multiplient et le contrat n'est toujours pas signé, c'est agaçant. Même notre Prince commence à trouver les méthodes brésiliennes un peu lourdes surtout quand la température monte et que l'on transpire à grosses gouttes sous son costume trois pièces en alpaga.
J'ai bien ri aussi des passages érotiques qui sont clairement moins hot que certains de mes livres rouges alors que ces romans étaient considérés comme assez chauds à l'époque.
J'ai passé un bon moment même si le côté sanglant ne me passionne pas beaucoup.
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Distrayant sans plus. Un bon moment mais cet ouvrage n'est pas, loin de là, le meilleur de la série.
Il est néanmoins à noter que l'édition numérique comporte un très grand nombre d'erreurs de typologie qui n'empêchent pas la lecture mais deviennent rapidement pénible.
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Ce 4ème SAS m'a un peu laissé sur ma fin. Malko, promu vice-consul à Rio de Janeiro le temps d'une mission travaille toujours pour la CIA. Il montre dans ce tome la brutalité des méthodes américaines qu'il n'approuve pas et se rend ainsi complice de morts inutiles. Mais heureusement certaines descriptions du Brésil mettent de la couleur dans ce récit désabusé.
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La fin m'a surpris, et heureusement, parce que le reste m'a semblé cousu de "hasards bienheureux", ce qui enlève beaucoup de crédibilité au scénario. Pour le reste, on retrouve les ingrédients habituels pour un SAS...
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Un bon page turner,bien documenté sur le pays traverse,ici le bresil,cet opus appartient a une serie d'aventures de vet auteur prolifique.Le genre date un peu mais se lit encore avec plaisir aujourd'hui.A noter que ces livres sont indépendants l'un avec l'autre et peuvent se lire sans ordre précis.
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malko est envoyé au Brésil, comme vice
consul des états unis, bien entendu un poste de couverture.il se sentait fait pour
cela.mais larry gallo ne l , entendait pas de cette oreille là.
- mon cher sas , vous savez pourquoi on
vous a envoyé ici? demanda t il un peu
agressivement a malko.
- probablement parce que vous n'avez
plus la situation- en main.
- c'est Washington qui s' imagine ça.
- ou est le problème alors?
-alors? c'est que nous sommes au Brésil.
et qu'on a trouvé du manganèse, sur la
propriété d, Alvaro cunha .c'est la que ça
se gâte.
-, qu'es ce que je viens faire la dedans?
- il a demandé à signer avec quelques-uns envoyé spécialement de Washington,
pour donner plus de solennité a l affaire.
c'est pour cela que l'on vous a envoyé dare-dare...en plus j'ai l, impression qu'il ne m'aime pas beaucoup.et c'est la ou vous intervenais pour faire signer le vieux, et empêcher qu'il signe avec les autres.
- bien, dit malko mais je le rencontre quand?
- se soir il donne une soirée pour sa fille,
a l, ambassade avec votre passeport diplomatique vous entrerez facilement.
vous avez une voiture?
oui, une Chevrolet de l, ambassade dit malko.
- bon ,faite attention au stationnement.
- pourquoi? j'ai une plaque CD.
- ils s, en foutent.le cruzeiro a tellement
perdu de sa valeur que le prix d'une
contravention est environ le tiers d'un
jeton de téléphone.alors, les policiers
ont trouvé un moyen très simple de
décourager les contrevenants: ils dégonflent les quatre pneus de la voiture.
- charmant!
Gérard de Villiers
Gérard DE VILLIERS, écrivain à succès, créateur du personnage de SAS, après s'être présenté dans un "autoportrait", répond aux nombreuses questions et critiques des producteurs de l'émission Pierre-André BOUTANG et
Gérard GUEGAN, et des invités :
Josette ALIA et
Mariella RIGHINI du Nouvel Observateur; Thierry DESJARDINS, du Figaro; Jean THIBAUDEAU, de l'Humanité;
Jean BOURDIER de...