Encore une fois, je suis déçue par Vivès. Je concède que le trait fin, minimaliste, donne une sensualité folle au récit ainsi qu'une forme d'immédiateté qui sied parfaitement au propos de l'auteur.
Pour autant, je suis restée de glace face aux chamboulements qu'apporte
le chemisier dans la vie (si pourrie que ça ?) de notre protagoniste. Je n'ai eu ni empathie, ni agacement, ni rien, vis-à-vis d'elle. J'ai eu plus l'impression de lire l'esquisse d'un fantasme ou d'une suite de clichés qu'autre chose.
Je suppose que les amateurs de Vivès crieront au génie ; les autres, lisez-le pour vous faire un avis, mais ne soyez pas surpris si vous n'en retirez rien.
Commenter  J’apprécie         431