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Critique de MarieLywood
Je ne sais pas pourquoi mais je rechigne toujours à lire un des contes philosophiques De Voltaire, repoussant sans cesse à plus tard cette lecture et ne la commençant que lorsque je m'y sens contrainte (pour la validation d'un challenge par exemple). Et pourtant lorsque je commence à lire un des contes philosophiques je le trouve invariablement agréable et plaisant.
Ce conte philosophique ne déroge pas à la règle. Sous couvert d'une histoire d'amour entre la princesse de Babylone Formosante et Amazan, un berger gangaride, Voltaire fait passer à son lecteur ses idées (et ses critiques) sur la société, la religion et les moeurs de ses contemporains. le tout agrémenté d'une bonne dose d'humour pour mieux faire passer le message.
J'ai apprécié l'histoire en elle-même qui n'est pas qu'un prétexte mais qui s'avère réellement intéressante avec des personnages aux caractères soignés. La belle Formosante n'hésite pas à désobéir à son père pour partir à la recherche de son prétendant. Elle ne s'en laisse pas conter si facilement et s'avère plus téméraire que prévu malgré sa jeunesse préservée dans le palais de son père. Quant à Amazan, il personnifie l'homme éclairé des Lumières qui surpasse les nobles, princes et rois alors qu'il n'est qu'un berger.
Voltaire en profite aussi pour faire un appel à vivre en harmonie avec son environnement, la nature et les animaux bien moderne pour son époque.
Un bon moment de lecture qui me rappelle que je devrais lire Voltaire un peu plus souvent.
Ce conte philosophique ne déroge pas à la règle. Sous couvert d'une histoire d'amour entre la princesse de Babylone Formosante et Amazan, un berger gangaride, Voltaire fait passer à son lecteur ses idées (et ses critiques) sur la société, la religion et les moeurs de ses contemporains. le tout agrémenté d'une bonne dose d'humour pour mieux faire passer le message.
J'ai apprécié l'histoire en elle-même qui n'est pas qu'un prétexte mais qui s'avère réellement intéressante avec des personnages aux caractères soignés. La belle Formosante n'hésite pas à désobéir à son père pour partir à la recherche de son prétendant. Elle ne s'en laisse pas conter si facilement et s'avère plus téméraire que prévu malgré sa jeunesse préservée dans le palais de son père. Quant à Amazan, il personnifie l'homme éclairé des Lumières qui surpasse les nobles, princes et rois alors qu'il n'est qu'un berger.
Voltaire en profite aussi pour faire un appel à vivre en harmonie avec son environnement, la nature et les animaux bien moderne pour son époque.
Un bon moment de lecture qui me rappelle que je devrais lire Voltaire un peu plus souvent.
