100 mots sur...
Hôtel Olympia
Il est indéniable qu'Élisabeth
Vonarburg a construit une mythologie incroyablement riche et complexe en soutien au récit d'
Hôtel Olympia, de la trempe de
Neil Gaiman. Cependant, cette mythologie semble plus une fin en soi qu'un élément au service de l'histoire. Alourdi par tout ce bagage narratif, le roman peine à prendre sa vitesse de croisière, halète en chemin et s'essouffle à la conclusion, s'arrêtant néanmoins plusieurs dizaines de pages plus loin que la ligne d'arrivée. Bref, une impression constante de notes de bas de page insérées en corps de texte.
Les dix derniers mots: L'histoire enterrée sous toute cette exposition vaut heureusement la peine.
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