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3,75

sur 183 notes
Mais pourquoi les hommes et les femmes ne peuvent-ils jamais se contenter de ce qu’ils ont et veulent-il toujours plus ?
Est-il vraiment dans la nature humaine de désirer sans cesse de nouvelles choses, d’avoir envie de vivre de nouvelles sensations, d’être avide de tout, tout le temps, au risque de connaître la frustration, l’angoisse et bien pire encore ?

Une mère et sa fille adulte, les Wray, n’arrivent plus à faire face à leurs soucis financiers et décident donc de louer le premier étage de leur maison à un couple de jeunes mariés.
Leonard et Lilian Barber, les locataires, s’avèrent être un couple aimant faire la fête, et cela va bouleverser les habitudes tranquilles et routinières des propriétaires.
L’histoire se passe à Londres, en 1922, la guerre est terminée mais elle a laissé des séquelles derrière elle, tant de morts et d’atrocités et aussi une farouche envie de vivre.

Comme d’habitude avec Sarah Waters, l’écriture est magnifique, il n’y a jamais de passage mièvre ou ennuyeux et la psychologie des personnages est fouillée.
J’ai aimé le virage que fait l’histoire en cours de route, on s’attend à vivre la naissance d’une amitié particulière et finalement, le roman nous entraîne vers tout autre chose.
L’homosexualité féminine est un thème cher à l’auteur, il figure dans presque tous ses romans, mais elle arrive à se renouveler et à proposer des variations sur ce thème, un peu comme des danses qui jamais ne se ressemblent mais révèlent toutes de la sensualité, que ce soit un tango rythmé, une valse joyeuse ou une danse lascive et triste à la fois.
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J'ai lu presque tous les livres de Sarah Waters : Caresser le velours,2002, du bout des doigts , 2003, Ronde de nuit 2006 et Affinités .....avec grand plaisir .
Je les ai achetés et ils trônent dans ma bibliothèque..

Nous sommes en 1922, Frances Wray, vingt- six ans , depuis le décès de ses deux frères à la guerre, et celui de son père , qui a laissé des dettes, à cause de ses excès , sa mère et elle doivent sous- louer un étage de leur grande demeure, dans la banlieue londonienne.
L'arrivée d'un jeune couple : Lilian et Léonard Barber bouleversera leur quotidien.
Les Barber sont bruyants , conversations , rires, sautillements, musique du gramophone à tous les étages , marmonnements , à la limite de la vulgarité..
Bientôt : Frances , dans les bras de Lil découvrira des plaisirs interdits et inouïs .
Les deux jeunes femmes pensent bientôt à tout quitter pour vivre ensemble .
Mais la vie en décidera autrement ...
Je n'en dirai pas plus.
Avec son talent habituel, l'auteure spécialiste,——égérie de l'homosexualité féminine ,——à l'instar de tous ses romans , développe de belles pages de sensualité incandescente.
Elle décrit aussi avec réalisme le Londres d'après guerre, en pleine tourmente ...
Je me suis ennuyée à cause de la lenteur de l'intrigue qui s'étire sur sept cents pages,...
Contrairement à ce que disent les éditeurs ce roman n'a pas eu la même saveur que les autres , ennui, longueurs , il ne m'a pas tenue en haleine toute la nuit !
Quelle déception ! Une auteure très appréciée jusque là !
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1922, Frances Wray a vingt-six ans. Depuis le décès de ses deux frères à la guerre et celui de son père, elle vit seule avec sa mère dans leur grande maison d'une banlieue londonienne. Les excès paternels ont ruiné la famille, il devient difficile d'entretenir cette demeure qui commence à se délabrer. Frances et sa mère sont contraintes de louer une partie de leur logement à un jeune couple de classe moyenne, Lilian et Leonard Barber, tout en continuant à vivre dans les pièces voisines. La promiscuité s'annonce délicate (à la fois gênante et troublante), les Barber sont bruyants, un brin frustes et vulgaires. Mais Frances et Lilian deviennent amies, confidentes, et, on s'en doute si on connaît les romans de Sarah Waters...

Peinture réaliste et intéressante des années 1920 à Londres, des difficultés de l'après-guerre pour des petits bourgeois désargentés. L'ambiance so british m'a rappelé les autres romans de Sarah Waters, bien sûr, mais aussi 'Prodigieuses Créatures' de Tracy Chevalier - à un siècle d'écart, la condition des jeunes femmes de ce milieu social ne semble guère différente.
Beaucoup de sensualité, l'auteur a fait ses preuves en la matière avec ses autres romans lesbiens, les quelques jolies scènes érotiques ne peuvent qu'émouvoir les convertis de tous bords. Les expressions des sentiments amoureux, en revanche, m'ont souvent surprise et agacée, je les aurais certainement trouvées ridicules dans une histoire d'amour hétérosexuel : « [...] et une vague d'émotions mêlées la submergea, un frisson de tout son corps - était-ce là l'amour ? Ma foi, si ce n'était pas l'amour, cela y ressemblait beaucoup. Mais si c'était l'amour... oh, si c'était l'amour... ! » (p. 289)

L'intrigue est très lente, elle se déploie sur sept cents pages, sans le rythme et les rebondissements présents dans l'excellent roman 'Du bout du doigts' de la même auteur. M'engluant dans l'ennui, j'ai cédé à la curiosité au tiers de l'ouvrage et jeté un oeil sur la quatrième de couverture. Sous la présentation de l'éditeur, ce petit commentaire commercial publié dans Entertainment Weekly : Je regrette de l'avoir lu avant d'avoir terminé le livre parce qu'il m'a semblé qu'il spoilait. Mais une fois la lecture achevée je suis encore plus furax, je me dis qu'il ne s'applique pas à cet ouvrage de Sarah Waters mais à 'Du bout des doigts'.
Frustration, déception. Comme l'impression d'avoir été trompée sur la marchandise et d'avoir attendu des surprises qui ne sont pas venues.
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Derrière la porte est le second roman de Sarah Waters que je lis. Même si je lui préfère Caresser le velours, je ne vais pas bouder mon plaisir. J'ai passé un moment de lecture fort agréable en compagnie de Frances Wray et de la galerie de personnages qui gravitent autour d'elle.

L'histoire se déroule en 1922, dans une Angleterre qui tarde à se remettre des atrocités du premier conflit mondial. La famille Wray y a perdu ses deux fils, le père mourut suite à ces deuils, trop durs pour son coeur. Ce nouveau décès révéla la quasi faillite de cette famille de la bonne société du fait d'inconséquents investissements paternels. Frances et sa mère se doivent donc de restreindre leur train de vie et de louer une partie de la maison pour subvenir à leurs besoins. C'est ainsi que débarque dans leur vie chagrine le jeune couple Barber, Léonard et Lilian.
Pour la suite... à vous de la découvrir au fil des pages qui réservent quelques surprises.

La couverture de la version poche 10/18 - et les précédents ouvrages de l'auteur - est suffisamment évocatrice pour donner à comprendre que l'homosexualité féminine va constituer une part importante de l'intrigue. Sarah Waters est devenue depuis son premier roman une égérie littéraire lesbienne. Au-delà de ça, son récit ne se transforme pas en pamphlet de revendication. Elle démontre la difficulté en ce début du XXème siècle des amours saphiques. le personnage de Frances est bouleversant, elle qui sacrifia son premier amour au conformisme exigé par sa mère. L'amertume, le regret et les affres de la solitude - le tout mêlé à une quasi indigence cachée sous la nécessité de tenir son rang tant bien que mal - sont très palpables dans les pages du livre.

Je pense poursuivre la découverte de l'univers littéraire de Sarah Waters. Son style est plein de délicatesse, la psychologie et la personnalité de ses personnages bien campés (j'aime beaucoup Mrs Viney, la mère de Lilian - elle vaut le détour!). Elle retranscrit très bien les ambiances des époques pendant lesquelles se déroulent ses histoires. Il est également très intéressant de suivre les évolutions des liens entre les divers protagonistes.
Une conteuse de talent à suivre.
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J'attendais avec impatience un nouvel opus de Sarah Waters, et j'ai été, je l'avoue, un peu déçue. Mais que cela n'arrête personne, le livre reste très bon. C'est seulement qu'après les autres (Du bout des doigts, l'Indésirable-mon préféré- ...) il fait un peu plus pâle figure...
Difficile de parler sans spoiler. Les personnages sont, comme d'habitude, multifacettes, insaisissables...
Frances et sa mère, d'un bon milieu, ruinées par la guerre et un patriarche impécunieux, tentent de conserver leur belle maison qui se délabre (cf l'Indésirable...) en louant quelques pièces à un jeune couple un peu vulgaire, un peu bruyant, mais troublant, tout au moins à travers les yeux de Frances, car c'est par ses yeux que nous voyons tout.
Frances elle-même, et c'est amusant, implicite, apparaît aux yeux du jeune époux comme une jeune (26 ans) vieille fille coincée, victorienne, qu'il pense choquer par quelques remarques un peu salaces ...Le pauvre, s'il savait...
Frances, de toutes façons, complexe et paradoxale, ne "calcule" que sa mère, et Lilian, la jeune épouse...
Lilian, difficile à calculer pour le lecteur, car vue uniquement par le prisme déformant de Frances.
A partir de là, c'est Sarah Waters qui joue aussi avec nous, nous entraînant d'abord vers une histoire d'amour interdite ...pour nous lâcher ensuite brutalement dans un roman policier d'Ann Perry, mais côté suspects.
Bon, il faut s'arrêter là, pour le suspens.
Quelques rebondissements mais pas de grands cris de stupeur, une réflexion sur la morale et la peur, un dénouement en demi-teinte qui nous laisse un peu dans le flou.
Franchement, par rapport aux dernières pages hallucinantes de l'Indésirable, on reste un peu sur sa faim...
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Londres, 1922. À l'ouverture du roman, Frances Wray et sa mère, deux bourgeoises désargentées, accueillent les Barber, à qui elles vont louer une partie de leur maison, afin d'éviter la pauvreté. La présence de ce jeune couple un peu bohème amuse dans un premier temps Frances, célibataire endurcie et lesbienne assumée, ou du moins autant que faire se peut en Angleterre au début du XXe siècle, avant que Lilian Barber, avec ses robes colorées et ses lèvres fardées aux antipodes de la simplicité un peu poussiéreuse de la jeune femme, ne commence à l'intriguer puis la séduire. Une relation sentimentale se tisse entre les deux femmes, avant qu'un drame ne se produise, remettant tout en cause…

Si je me suis jetée (comme d'habitude avec cet auteur) sur « Derrière la porte », sixième ouvrage de Sarah Waters, j'en ai été déçue (c'est d'ailleurs celui de cet auteur qui m'a le moins plu), notamment parce que les trois parties qui le composent sont assez inégales : si le roman commence sur les chapeaux de roue, une belle longueur à la moitié de la première partie (centrée sur le personnage de Frances, mais surtout sur ses états d'âme et ses atermoiements qui, d'intéressants, deviennent rapidement fatigants), et quasiment jusqu'au drame vient un peu doucher l'enthousiasme du lecteur.
Néanmoins, dès que le roman reprend de la vigueur (impossible d'être plus précise sans « spoiler »), « Derrière la porte » redevient agréable à lire, balloté que l'on est par Sarah Waters (qui quitte ici pour la première fois l'époque victorienne pour le XXe siècle).

En effet celle-ci, comme à son habitude, joue avec son lecteur tout au long de l'ouvrage, en réussissant à lui faire comprendre que des rebondissements peuvent se cacher derrière chaque situation (ceux-ci étant toutefois moins spectaculaires qu'à l'habitude). C'est ainsi que je me suis retrouvée à échafauder toutes sortes de scénarios plus improbables les uns que les autres, aidée également par une quatrième de couverture assez mal rédigée (qui en dit trop, puis parle d'un rebondissement final inattendu… ce qui est beaucoup dire).
Sarah Waters joue également sur une part de mystère, sur cette part de voyeurisme qui se cache en chacun (ou presque) de nous : que se passe-t-il derrière la porte (des apparences) ? Derrière celle de Léonard et Lilian Barber, ce couple qui ne va pas aussi bien qu'il en donne l'air ? Ou celle de Frances, derrière laquelle les deux jeunes femmes laissent libre cours à leur passion ? Ou encore celle de la situation dans laquelle elles se retrouvent prisonnières, telle une prison de la passion interdite ?

Ainsi, avec « Derrière la porte », Sarah Waters signe une nouvelle fois un roman qui fait la part belle aux femmes (les hommes étant soit morts - lors de la Première Guerre mondiale -, soit d'une inconsistance et d'une faiblesse parfaites du point de vue du caractère et des agissements).
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L'auteur de roman lesbien le plus populaire d'Angleterre nous revient avec (comme c'est étonnant), un récit ayant pour thème l'amour entre deux femmes au lendemain de la 1e guerre mondiale (je vous avais dit que vous alliez être étonnés ;)). D'un autre côté, c'est son truc à Sarah Waters et elle le fait bien ; donc pourquoi chercher la petite bête ?  

Nous quittons l'ère victorienne, ses corsets oppressants, ses froufrous affriolants, pour débarquer dans un Londres encore marqué par les affres du 1er conflit mondial. Les Tommies ont versé beaucoup de sang dans les tranchées et le traumatisme est prégnant dans chaque couche de la société. Néanmoins, la perfide Albion tente de se reconstruire tant bien que mal et même si les temps sont durs, le courage de ses habitants inspire le respect. Frances fait partie de ses femmes qui ont perdu beaucoup : ses deux frères, pivots de la famille, sont tombés pour la patrie; les finances sont au plus mal et en 1922, une femme qui travaille pour gagner sa croûte, n'est pas encore inscrit dans les moeurs. C'est encore plus dur quand on a connu l'opulence dune vie bourgeoise, avec domestiques et le tout le tralala. Pour survivre, sa mère et elle sont contraintes de louer une partie de leur bourgeoise demeure à un jeune couple marié. le choc des classes est immédiat : entre une Frances, fruit de l'éducation victorienne, sa mère, matrone du XIX siècle et les locataires, pur produit de la classe populaire londonienne, on ne pouvait pas rêver plus dissonant.  

Et pourtant, entre la discrète Frances (qui cache bien son jeu d'ancienne suffragette lesbienne) et Lilian, la jeune épousée fantasque et un brin superficiel, c'est l'attirance immédiate et nos deux héroïnes commettent l'adultère. Derrière la porte, un désir fou sourd et emporte tout sur son passage (je vous passe les détails sur les scènes d'amour émaillées de ci de là pour ajouter du piquant à notre intrigue). 

Autant les deux premiers romans de Sarah Waters m'avaient conquises, parce qu'ambiguës et romanesques au possible, autant ce dernier opus manque de souffle et m'a paru fastidieux. Les personnages sont attachants pourtant, surtout Frances, animal pris dans le carcan d'une époque qui refuse aux femmes le droit d'être qui elles veulent, alors qu'elles ont connu un brin de liberté quand les hommes étaient au front.  

Le fond du roman est intéressant et c'est bien la forme que je déplore. A force de vouloir instaurer de la tension sexuelle et narrative et de les mener à leur paroxysme, Sarah Waters a interminablement étiré son récit, ce que j'ai trouvé inutile et finalement contre-productif. La dernière partie du roman, censée être le clou dramatique, n'a pu sauver l'ensemble. Dommage. Si j'ai un conseil à donner et si vous ne connaissez pas encore Sarah Waters, ce serait de ne pas commencer avec ce roman. Vous risqueriez de passer à côté de son meilleur. Quant aux autres, si vous pouvez vous passer de celui-ci, faites-le. 
Lien : http://www.livreetcompagnie...
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Roman pris tout à fait au hasard à la bibliothèque et du coup, cela a plutôt été une bonne pioche.
L'histoire se passe dans le Londres de l'après première guerre mondiale et évoque une passion entre deux femmes mais fait entrer de nombreux autres paramètres enjeux : le code de conduite de la bonne société, la dynamique du couple à l'époque, le rôle de la femme dans la société...
Tout cela est desservi par une écriture très fluide, rythmée, et une intrigue tout en rebondissement...
Une lecture vraiment très agréable.
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Encore un bon roman de cet auteur !
L'action se passe en 1922, à Londres. Frances, 26 ans, se retrouve seule avec sa mère dans une grande maison bourgeoise, ses frères étant morts à la guerre et son père décédé également en ayant laissé des dettes. Les deux femmes n'ont d'autre choix que de prendre des locataires dans une partie de leur maison, devenue trop grande et difficile à entretenir.
Il s'agira d'un jeune couple : Liliane et Leonard Barber.
La cohabitation se passe plutôt bien, puis, petit à petit, Frances se rapproche de plus en plus de Lilian, le mariage des Barber bat de l'aile, les sentiments sont exacerbés par le fait que toutes ses personnes vivent sous le même toit.
Un jour c'est le drame. Je n'en dirai pas plus, je vous le recommande vivement. Ce roman peut se lire comme un polar, comme un roman d'amour et aussi comme un roman feuilleton. C'est un pavé mais il se lit très bien car l'écriture est belle.
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Ah! Cela faisait longtemps que j'attendais que Sarah Waters sorte quelque chose de nouveau. Je ne suis pas du tout déçue. J'ai retrouvé sa capacité à jouer avec les frontières, les ambiances, les styles...
Un exemple : la scène où Frances se rend dans la famille de Lilian pour la première fois est très frappante. Là où le rythme d'écriture était assez lent depuis le début, froid, à l'image de la vieille bâtisse que partagent Mrs et Miss Wray et les Barber, une fois que l'on pénètre dans cet univers de commerçants, le rythme s'accélère, se réchauffe, on tourbillonne entre les enfants qui courent, les bébés qui pleurent, les rires, les danses, la musique,...
Autre exemple : la frontière entre le "politiquement correct" et le sordide. Dans ce monde policé, où l'on se donne du "Mrs Wray", du "Mr Barber", où il n'est pas bien vu que la jupe soit plus haut que la cheville, où qu'elle dévoile la cheville tout court, Sarah Waters peut tomber dans de sordides descriptions de la rue, de sang, de scènes d'horreur et de crime...
Enfin, un troisième élément a particulièrement attiré mon attention En effet j'avais déjà retrouvé ce thème dans "ronde de nuit" et puisque j'ai rédigé mon mémoire sur ce sujet, mais en particulier dans la littérature française, je me suis sentie d'autant plus proche du récit, puisque j'y retrouvais beaucoup de caractéristiques étudiées dans mon travail.

Les nouveautés de "Derrière la porte" par rapport au reste de l'oeuvre de Waters sont :
- Une époque qu'elle n'avait pas encore abordée ( l'après guerre 14-18)
- Une héroïne beaucoup plus cynique, moins naïve et ce dès le départ.

Un bon roman que je ne peux que vous conseiller, ainsi que le reste de l'oeuvre de Waters.
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