Lorsque j'ai besoin de me ressourcer, de rire un coup, de philosopher, je sors une bédé de ce cher petit Calvin et je m'amuse de ses facéties avec son tigre, Hobbes, de ses réflexions sur le Monde, l'école, la société, les adultes…
Entre nous, je plains ses parents d'avoir donné le jour à un gamin aussi turbulent que lui, mais quel plaisir que de voir ses bêtises, ses amusements, ses fantasmagories délirantes. Parce que si Calvin est désobéissant, il est aussi extrêmement imaginatif !
J'ai apprécié son désappointement face au base-ball : il déteste ce sport (sauf à y jouer avec Hobbes), donc, il n'y participe pas. Ce faisant, on le traite de fille. Donc, notre Calvin se sent obligé de participer…
Oui, mais, il est tellement nul qu'on le place loin de tout le monde et quand enfin il touche une balle, c'était celle qu'il ne fallait pas toucher et on lui demande instamment de ne plus jouer. Faudrait savoir ce qu'ils veulent, à la fin !
Calvin & Hobbes, c'est l'antidote contre la morosité !
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