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Honor Harrington tome 14.5 sur 25
EAN : 9791036000317
544 pages
L’Atalante (23/01/2020)
4.17/5   24 notes
Résumé :
Ce n’étaient d’abord que des escarmouches, puis les affrontements sont venus. Aujourd’hui la guerre ouverte risque d’embraser la Galaxie. De manœuvre d’intimidation en opération punitive, la Ligue solarienne, économiquement prise à la gorge, ne retient plus ses coups.
Manticore et ses alliés contre la Ligue ? Honor et les siens contre les mandarins de la Vieille Terre ? N’oublions pas le troisième larron, celui qui opère dans l’ombre, qui assassin... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Ce n'est pas la fin.

Ce second tome nous livre et règle le problème de la ligue.
Je ne spoile pas. On se doute bien qu'après une bonne grosse vingtaine de livre sur l'honoverse étalée sur près de 20 ans, la série ne va pas se terminer sur la défaite de la grande alliance. Par contre, et tant mieux pour les fans, ce n'est pas la fin de l'histoire, puisque, contrairement à ce que j'aurais pu penser et écrit à la fin du tome 1 ? l'alignement mesan est toujours vivant.
Si la ligne principale est définitivement close (et Weber l'annonce clairement dans sa post face) de nouveaux développements auront lieu dans l'honorverse. Entre un charismatique capitaine manticorien, une charmante aspirante graysonienne, et pour plus tard les propres enfants d'Honor, je pense que la relève est assurée.

Et ce tome 2 alors ? Eh bien, on a enfin la satisfaction (depuis le temps qu'on l'attendait) de mettre un point final à un pan de l'histoire. Sinon question bataille, en dehors d'une nouvelle tactique ingénieuse (mais pourquoi n'y a t'on pas pensé avant hein ? ) c'est portion congrue et assez peu savoureux (le tome 1 est plus sympa).

Mais ne boudons pas notre plaisir. On attend maintenant la suite M. Weber… ou M. Flint.
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Critique commune volume 1 + 2

Sans concession est le quatorzième et ultime tome de la saga d'Honor Harrington (la postface est tout à fait claire sur ce point : il met un terme au cycle entamé par Mission Basilic, même si l'Honorverse est loin de se limiter à ce dernier et qu'HH est déjà apparue en tant que personnage secondaire dans les cycles dérivés Saganami ou La couronne des esclaves), et il est clairement réussi, même si pas dépourvu de défauts (longueurs, réutilisation de procédés déjà employés, bataille finale à la fois prévisible et très décevante, retournement de veste assez peu réaliste d'un personnage secondaire, retournement de situation pour un des autres cassant l'impact d'une scène dramatique antérieure). Toutefois, ces défauts mineurs n'entament en rien l'intérêt considérable du reste : le combat final est certes frustrant, mais il y en aura eu trois autres avant, de 80-100 pages chacun, et tous très intéressants (surtout les deux qui sont dans le volume 1), les chats sylvestres ont un rôle encore accru, et l'immersion dans leur tête est carrément fascinante ; la psychologie d'Honor est très bien exploitée, surtout à la toute fin du livre, même si on peut déplorer un certain passage dont je ne dirai rien de plus ; le roman boucle de façon très satisfaisante l'arc solarien ; certaines scènes sont d'une puissance dramatique colossale ; il n'y a pas de manichéisme (il y a des justes chez les solariens, un côté impitoyable chez Honor, et le personnage secondaire dont je parlais plus haut illustre bien le fait qu'il n'y a ni blanc, ni noir, mais que des nuances de gris) ; enfin, il y a une vraie réflexion sur la guerre totale, les crimes de guerre, le respect des accords interstellaires / internationaux (et le fait que le chagrin et la colère -sans parler de la propagande- puissent aveugler même des gens bien et intelligents).

Je précise aussi (petit spoiler) que ce tome 14 règle seulement l'arc solarien, et que le sort de l'Alignement ne sera évoqué que dans le futur tome 4 de la couronne des esclaves d'ores et déjà annoncé, qui se déroulera immédiatement après la fin de Sans concession.

Signalons d'ailleurs qu'à ce stade du cycle, la lecture préalable des deux cycles dérivés n'est plus optionnelle mais un passage obligé, faute de quoi vous aurez du mal à comprendre certains passages qui auront l'air de débarquer de nulle part.

Ce tome 14 offre une fort digne sortie au personnage d'Honor Harrington (un des plus réussis créés en SF ces deux dernières décennies), surtout dans l'épilogue : je dirais même que la scène finale est, de mon point de vue, parfaite, et un des passages les plus justes jamais écrits par David Weber. Clap de fin pour HH protagoniste et / ou aux commandes d'une Flotte, donc, mais l'Honorverse, lui, continue ! (on espère juste qu'il continuera aussi chez l'Atalante et pas purement en VO…).

Ce qui précède n'est qu'un résumé : retrouvez ma critique complète (avec des infos supplémentaires sur les futurs livres de l'Honorverse) sur mon blog.
Lien : https://lecultedapophis.com/..
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Salut les Babelionautes
Encore une fois je me suis régalé avec ce dernier tome de la Saga Honor Harrington et je suis triste car c'est le dernier.
Toute fois, le petit David donne bien des problèmes au géant Goliath qu'est la ligue Solarienne, mon seul regret c'est qu'il va me falloir attendre un certains temps pour connaitre le destin de l'alignement Mesan.
Les Chats Sylvestres sont maintenant un partenaire essentiel de la Grande Alliance, car ils servent de gardes du corps aux personnalités dirigeantes contre les assassins programmés.
Après la frappe sur Beowulf et les explosions Atomiques qui ont détruits les habitat j'ai bien cru que David Weber c'était fourvoyé dans une impasse, mais il s'en sort avec une pirouette dont il a le secret.
Comme fnitter, j'attend avec impatience les développements qui nous permettront de continuer avec cette Saga de space-opera.
Merci à Michel Pagel pour la traduction.
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Tome 2 de sans concession:
Vous trouverez ici:
Une critique, et le titre d'une autre saga pour vous permettre de ne pas tomber en manque...:-)

Cela reste du Honor Harrington mais...
Une première action démarrant à la page 350 sur 500 pages:
est ce satisfaisant ?

Une centaine de page consacrée au final pour clôturer une saga de 20000 pages,
est ce satisfaisant ?

Des contradictions, des incohérences (concernant la faiblesse évidente de l'Alignement Mésan pour en découvrir les principaux acteurs, des difficultés à comprendre certaines situations par manque de détail (la mort d'Emilie),...
est ce satisfaisant ?

Des chapitres entiers qui n'apportent rien au dénouement et que j'ai passé allègrement:
est-ce...etc
Vous avez compris: je me sens ""un peu" déçu :-).

Pourquoi 1/2 étoile ?
Lire ma critique du Tome 1 de Sans concession...
Je vous annonce aussi que je vais enquêter (rapidement) pour identifier le tome à partir duquel la qualité a commencé à se dégrader et je reviens vers vous...

Pour ceux qui sont accros à Honor, je les invite à découvrir une saga peut-être encore meilleure...un peu dans le même style (meilleure ? pas possible me direz-vous: mais si, mais si : essayez en lisant au moins 3 opus et vous arriverez comme une balle au 14ème...
Le cycle de Vorkosigan : https://www.babelio.com/auteur/Lois-McMaster-Bujold/89224.

Bonne lecture


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Dernier tome de la série principale qui en compte donc 14, ce tome vient clore l'arc concernant la guerre Manticore / Havre / Ligue solarienne. Notamment, on n'y verra pas la fin du traitement de l'Alignement messan, qui sera très certainement l'objet de la suite de L'Ombre de la victoire.
Le précédent tome mettait en place les éléments finaux pour l'affrontement de la Grande Alliance (Manticore - Le Havre) versus la Ligue solarienne. Ici on entre clairement dans le vif du sujet.
Au menu, plusieurs batailles dont l'une particulièrement grandiose. La stratégie a fait son oeuvre, place à la tactique, au bon sens, et au sang-froid des officiers de la Flotte.
On retrouve donc ici, en une sorte d'apothéose, la bataille finale entre Manticore et Le Havre, sauf que les enjeux ne sont pas totalement les mêmes.
Je ne vous ferai pas l'affront de vous faire croire que le gagnant n'est pas celui que l'on croit, la différence technologique et la léthargie de la Ligue ne permettant pas de supposer un risque sur le sujet, mais plus de quel est le prix de cette victoire (et accessoirement, à quel point la Grande flotte va botter le cul des solariens).
Cette fin de cycle est presque un retour aux sources : combats spatiaux intenses, choix tactiques et moraux, le tout sur fond de géopolitique accidentée. Basilic n'est pas loin, mais les moyens et conséquences sont... différents.
Une fin somme toute mémorable, sans temps morts, qui clôture avec brio cet arc narratif.
On termine à la fois satisfait par ce final, mais aussi sur l'expectative puisque l'Alignement n'est pas l'objet de ce tome, et qu'on a donc encore des choses à moudre sur le sujet - ce qui préfigure une suite au cycle de Saganami.
Un tome qu'il ne faut pas manquer si on aime la série donc (je dirai même plus, un indispensable pour sa santé mentale), mais d'un autre côté, si vous en êtes ici, c'est que vous vouliez connaître la fin de l'histoire, n'est-ce pas ?
Chronique source : https://plume-etoiles.blogspot.com/2020/07/honor-harrington--sans-concession-T14.html
Lien : https://plume-etoiles.blogsp..
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Ils devaient aussi savoir que leur précision à une telle distance se situait entre « tout à fait nulle » et « franchement minable », ce qui en faisait une distance idéale pour entamer une conversation sans que personne se fasse tirer dessus dans un camp ou dans l’autre.
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Je sais que les forum commencent à parler de notre « grande victoire », mais pour paraphraser le roi Pyrrhus, encore une ou deux victoires comme celle-là et nous serons tous morts.
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La version de l’autre camp, songea Kolokolstov. Même entre nous, il refuse d’appeler ça la vérité. Le type qui a dit que la vérité était la première victime de toute guerre savait de quoi il parlait.
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Il était surpris de se réjouir autant que ce ne fût pas arrivé, mais il n'en eût pas voulu le moins du monde à Indy de détester l'homme qui avait planifié de les trahir froidement, lui, sa famille, et toute sa planète.
C'est drôle comme ces petits détails peuvent gâcher une amitié, songea-t-il.
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Christopher Robin ne considérait pas Barregos comme un saint : il reconnaissait un homme de pouvoir quand il en voyait un. Il en avait certes assez rencontré à la Vieille Chicago, mais la plupart aimaient le pouvoir pour les avantages qu'il apportait, la manière dont un système corrompu jusqu'à l'os brassait richesses, privilèges et permettait à leur ego monumental de se croire un droit à tout cela. Il existait cependant des gens qui l'aimaient parce qu'ils disposaient des compétences nécessaires, savaient pouvoir s'acquitter de la tâche mieux que quatre-vingt dix pour cent de l'espèce humaine et avaient besoin d'une vocation qui les stimulait. Et il en existait même - les plus rares de tous - qui l'aimaient parce que cela leur donnait la chance de servir leur communauté. De la rendre plus agréable à vivre, pas plus invivable.
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