>
Critique de liberliger
Si les premiers chapitres permettent d'évoquer quelques éléments intéressants de l'histoire de Constantinople et de l'empire ottoman, passée la frontière turque, cette expédition sur la route de la Soie qui est prétexte pour évoquer l'oeuvre de Roumi et la pensée soufie tend malheureusement à tourner en rond comme un derviche, à ronronner dans une torpeur poétique un peu rébarbative. de la traversée de l'Iran et de l'entrée dans les contrées afghanes, qui auraient pu être l'occasion d'autant de découvertes intéressantes, on apprendra pas grand chose. Les rencontres qui dans ce type de récit sont souvent autant de portraits évocateurs se réduisent ici à des personnages souvent sans intérêt, voire franchement ennuyeux. Ouvrage globalement décevant.
