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4,13

sur 578 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Azoth est un jeune garçon, rat de guilde qui tente de survivre comme il peut dans les quartiers défavorisés de Cenaria. Sa rencontre avec Durzo Blint, un assassin professionnel, va changer le cours de sa vie. Dès lors, il fera tout pour devenir son apprenti.

Lorsque j'ai acheté ce premier tome, je venais de finir Gagner la Guerre de Jean-Philippe JAWORSKI. Inconsciemment ou pas, j'avais envie de poursuivre dans le même esprit avec un roman qui mettrait encore une fois en scène un assassin professionnel. Et puis, après la critique enthousiaste de Fnitter au sujet de ce premier opus, je n'ai pas été difficile à convaincre!

Oui, mais voilà, il m'a fallu deux mois pour le lire! Ce ne sont pourtant pas les 700 pages qui m'ont rebuté : j'ai l'habitude de lire des pavés. Pourtant, en soit, le roman est loin d'être mauvais, bien au contraire. L'univers imaginé par l'auteur est très travaillé et bien étoffé. On a une myriade de personnages dont la psychologie est assez bien détaillée et retranscrite. Le scénario a beaucoup de ressources et ponctué de rebondissements. Quant au style d'écriture, il est très agréable et fluide.

Alors, qu'est-ce qui a bien pu ralentir ma lecture? J'ai eu beaucoup de mal à rentrer au départ dans l'histoire à cause justement de la complexité de l'univers imaginé par l'auteur. Je dois bien avouer qu'il m'a parfois un peu perdu. De plus, le récit est ponctué de beaucoup de noirceur et de violence : j'ai eu du mal à m'y habituer. Il ne vaut mieux pas d'ailleurs être en pleine dépression car lire ce livre ne va pas vous aider à en sortir! Ensuite, les personnages comme Durzo Blint ou Azoth étaient tellement froids que j'ai eu peu d'empathie pour eux, de prime abord. Enfin, le rythme du roman me semble assez inégal (après ce n'est que mon avis), mais je pense que le livre aurait été beaucoup plus efficace avec 200 pages de moins. Entre les pages 250 et 450, j'ai failli abandonner plusieurs fois car j'avais l'impression de ne pas avancer alors que j'ai dévoré les 250 dernières pages, beaucoup plus efficaces. Au final, je reste tellement partagée sur ce roman que je n'ai pas encore décidé si je vais investir dans le second tome...
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Les couvertures de cette saga m'avaient dissuadées de la commencer. Cela montre qu'il y a vraiment un problème éditorial en France avec la Fantasy. Après avoir lu les critiques sur Babelio, j'ai décidé de m'y mettre.
On suit un orphelin, Azoth, qui est livré à lui-même dans les taudis de la ville. Il va croiser la route d'un assassin professionnel, un tir-culotte, qui va le prendre comme apprenti et lui enseigner l'art du meurtre.
La première partie du roman, qui est assez classique, est à mon sens la meilleure. L'auteur nous décrit les bas-fonds de son univers, avec les différentes bandes rivales, les Guildes, qui s'affrontent. Tout cela est chapeauté par la pègre locale, le Saka'gé. Azoth évolue et apprend à devenir l'assassin parfait.
La seconde partie est bien plus confuse. le rythme de l'action est très rapide, on ne s'ennuie pas un instant et c'est là le principal problème. Les révélations s'enchainent à tout va, les personnages courent partout, des combats à chaque chapitre ou presque... Honnêtement, on ne sait plus où donner de la tête. Il aurait été préférable de rajouter un peu plus de corps au récit, pour développer le world-building par exemple, plutôt que de vouloir tenir en haleine le lecteur à coup de révélations fracassantes avant chaque fin de chapitre.
Le roman est correct, on passe un bon moment mais on ne se dit pas "waouh" en fermant le livre. A voir ce que donnera la suite, puisqu'il s'agit d'une trilogie.
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Un premier tome qui promettait une intrigue complexe, mais qui manque de netteté vis-à-vis de certaines choses essentielles. L'ellipse autour de l'initiation d'Azoth et l'absence d'explications approfondies sur certains détails m'ont rendu la lecture plus laborieuse. L'univers sombre et la plume simple et directe de l'auteur m'ont permis de passer un bon moment, cependant je m'attendais à bien mieux pour ce premier tome.

Plus d'infos sur ma chronique :)
Lien : http://la-riviere-des-mots.b..
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Azoth, un orphelin d'une dizaine d'année survit difficilement en dépendant d'une bande dont le chef est un garçon plus âgé, violeur et cruel. Sa solution pour surmonter sa peur de tous les instants est d'être accepté comme apprenti par Durzo Blint, un assassin de légende. Suite à son insistance, et peut-être pour des raisons plus personnelles, celui-ci accepte mais en mettant de dures conditions, il devra abandonner son identité, ses amis et obéir aveuglément. Au fil de ses dix années d'apprentissage Azoth s'est effacé au profit de Kylar, baronnet désargenté devenu un assassin compétent, cependant pour qu'il devienne un vrai pisse-culottes il devra arriver à débloquer sa magie…


De la fantasy assez classique, mais le début du livre est très bien mené, malheureusement arrivé à la moitié de l'ouvrage ça part un peu de tous côtés, et il devient assez facile de décrocher. La romance s'en mêle, peu en rapport avec le monde où est située l'action, des hommes de vingt ou vingt-cinq ans vierges, l'un élevé dans la haute noblesse et l'autre à moitié élevé par une patronne de maison close, n'est-ce pas peu crédible ? de plus l'action part en démultiplié, mais ce faisant la cohérence est totalement négligée, le Deus ex machina est vraiment trop mis à contribution et les personnages ne réagissent pas toujours selon la personnalité qui leur est attribuée. Est ce juste pour accumuler les bains de sang et l'action débridée en s'épargnant la subtilité et la finesse ?


Une écriture fluide et agréable, un début de qualité mais malheureusement après un moment la cohérence est délaissée au profit d'une action débridée et manquant de cohérence. Une lecture de délassement, qui avec un peu plus de soins aurait être bien plus qualitative …
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Un livre où je suis ressortie partagée... Malgré la plume entraînante de l'auteur, l'idée de Don, les nombreux complots, les personnages principaux ET secondaires vraiment bien développés, j'ai mis beaucoup de temps à lire cet ouvrage... En fait, j'ai eu du mal à m'attacher aux protagonistes, si bien que je me suis vite lassée de ma lecture. Je l'ai alors stoppée à plusieurs reprises afin de lire d'autres ouvrages en parallèle. A chaque fois que je reprenais, je lisais une cinquantaine de pages puis m'arrêtais de nouveau... L'histoire est pourtant intéressante : on découvre Azoth, un orphelin du quartier pauvre de Cénaria, qui n'a d'autre choix que de voler pour survivre... Un jour, il fait la rencontre de Durzo Blint, un maître assassin réputé. Azoth lui propose d'être son disciple. Son apprentissage va être terriblement difficile, car le jeune garçon va devoir tout quitter : ses amis, son passé, jusqu'à son propre nom. Durzo va alors tenter de lui apprendre à devenir fort, à tuer et à maîtriser le Don...

La plume de Brent Weeks est franche et bien rythmée. Avec aisance, il entraîne le lecteur dans une intrigue pleine de rebondissements, de suspense et de secrets. Bien que des révélations éclateront au fil des pages, vous n'aurez peut-être pas toutes les réponses que vous souhaitez avec ce premier opus ; il faudra s'attaquer aux autres tomes de la série... Ses personnages principaux sont bien travaillés et ne sont pas nécessairement stéréotypés contrairement à d'autres oeuvres fantastiques. le seul hic, c'est que je n'ai pas réussi à m'attacher à eux... (Mais n'était-ce pas volontaire de la part de l'auteur ? Ne souhaitait-il pas présenter un duo froid au passé sombre ?...) le fait que je n'ai pas accroché à ces deux anti-héros est certainement la raison qui a fait que j'ai été bloquée/ralentie dans ma lecture... Pourtant, l'univers de Brent Weeks est riche et étoffé ! J'aimais bien le fait que l'ambiance de l'ouvrage soit sombre, dure et violente. Cela ajoutait un certain réalisme et permettait de mieux comprendre les personnages. Des morts et de la torture (psychologique comme physique), il va y en avoir ! Il faudra donc que certains lecteurs s'accrochent...

Un roman Dark Fantasy en demi-teinte : j'ai apprécié certaines choses, mais d'autres m'ont cruellement déplu et ralentie. A vrai dire, j'ai préféré la saga de Waylander (David Gemmell) où les personnages et l'univers m'ont passionnée... E. C.
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Une de mes premières dark fantasy... un peu sombre à mon gout, mais bon je débute dans le genre.
Le petit reproche que je pourrais lui faire, outre cet aspect très sombre... c'est un côté obscur. Bon mauvais jeu de mot, mais pas mal de passages m'ont laissés perplexe et frustrée, je n'en comprenais pas toute la signification et portée, je ne comprenais même pas ce qu'ils faisaient là.
Sinon on est rapidement happé par l'intrigue, et je dois avouer ne pas avoir attendu longtemps avant d'ouvrir le second tome.
Les personnages sont intéressant. Il faut aimer les anti-héros et les mystérieux avec ça. Les secrets de Durzo sa manière de ne jamais réagir comme on l'attend en font un personnage complexe presque plus intéressant que Azoth: il lui vole la vedette!

J'avoue également avoir été déstabilisée à plusieurs reprises au cours de cette lecture... trop nouveau par rapport à ce que j'ai l'habitude de lire... mais je ne ressors pas déçue (pour le moment) de cette lecture.
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Nous sommes directement plongé dans l'univers peu enjoué de ce tome, nous suivons Azoth, un jeune garçon pauvre, qui lutte pour survivre. Il vit dans la misère, dans une guilde de voleurs. Je m'attendais à suivre un jeune garçon débrouillard qui allait grandir un peu vite, c'est peu dire. La violence est omniprésente dans son monde et il doit donc faire ses armes bien plus rapidement que la normal. Je ne me suis pas du tout attaché à cet Azoth, son enfance parmi la guilde m'a paru au premier abord longue et sans intérêt. Bien entendu, après avoir lu le tome en entier, je me rend compte que chaque évènement décrit a une importance dans le déroulement du récit.

La mise en place s'est faite de manière un peu brutale pour moi. J'aime découvrir l'univers ua fur et à mesure de ma lecture mais j'avoue que là, j'ai été très vite embrouillée. le monde est bien développé si ce n'est même un peu trop. Nous nous retrouvons en terre étrangère, entouré d'ennemis dont j'ai eu du mal à comprendre le fonctionnement. Je pense qu'en plus de la carte, l'auteur aurait pu placer un petit résumé historique en début de lecture, cela m'aurait peut être évité d'être perdue au milieu de tout ce monde.

Passé la petite enfance d'Azoth, je me suis sentie plus à l'aise dans ma lecture et le reste s'est enchainé assez rapidement. L'action est bien présente, cela bouge, pour mon plus grand plaisir. Azoth commence son entrainement auprès de maitre Blint et on append à connaitre la vie d'un assassin. Cette évolution de personnalité, voire Azoth vieillir, forger son caractère, évoluer, a été un passage vraiment intéressant. Les rencontres successive qu'il peut faire (Logan, le comte Drake, ...) m'ont bien plu et m'ont permis de m'attacher à notre héros.

Les personnages sont profonds, poussés et complexes. On pense connaitre chaque personnages et l'auteur enchaine révélations sur révélations qui font qu'on est constamment surpris. On aime leur côté violent mais on final on le déteste également. Tout est en demi-teinte, rien n'est tout blanc ou tout noir. Je trouve les personnages torturés, réalistes. J'ai tout particulièrement adoré Mamma K et Durzo qui sont des personnages primordiaux, qui ont un charisme fou et qu'on a envie de croire en toutes circonstances.

L'action est omniprésente au point que les pages se tournent toutes seules. Un monde avec de la magie, de la violence, des manigances, des soldats, du sexe. Une fin qui me donne vraiment envie de découvrir l'avenir de Logan, la reine et Azoth.

Une lecture assurément plus complexe et soutenue qu'à mon habitude, mais j'ai bien aimé. J'ai eu du mal à y entrer mais une fois prise dans le tourbillon des assassinats, j'ai été prise au jeu et n'ai pas pu lâcher ma lecture.
Lien : http://preskilia.blogspot.fr..
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Acclamé par la critique, ce livre était désigné comme le successeur du Waylander de David Gemmell, voir même son détrôneur...
Je signalerai pour commencer que j'ai préféré ce dernier ;)
Il faut le dire, L'ange de la nuit, c'est de la dark fantasy, c'est sombre, ça pue, ça tue, ça viole.
L'ouverture du roman n'est pas si mal, avec une fixation sur un jeune "Rat de guilde", Azoth, qui doit se démener pour rapporter quelques piécettes au "grand" qui dirige la troupe, et contre qui il va se rebeller.
Le début reste classique, mais il est preneur, surtout avec l'apparition de Durzo Blint.
Pourtant, ça déchante vite. Azoth veut devenir un "pisse-culotte", et prendre Blint, le meilleurs de ces derniers, comme professeur. Et bien pourquoi pas? Sauf que la seule raison que donne Azoth et qui va lui permettre de supporter coups, humiliations et bien plus encore lors de son apprentissage est "Je ne veux plus avoir peur".
C'est léger comme motivation au vu de ce qu'il va endurer.

Si on lorgne du côté des autres personnages, on retrouve tout de suite quelques stéréotypes: Durzo, l'assassin sans cœur, qui va s'en trouver un à la fin du roman (Amour quand tu nous tiens...), Mamma K, la vieille femme dont la beauté ne s'est pas effacée avec l'âge, ancienne prostituée issue des milieux les plus pauvres du "Dédale", mais qui, on ne sait comment, se retrouve professeur d'Azoth pour tout ce qui touche à la culture, à l'écriture etc. Beau parcours pour une prostituée non?
On peut aussi citer Aléiene le Neuvième, le roi dément qui ne sait pas gouverner; Aléine le Dixième, le coureur de Jupons, associé à son meilleur ami, Logan, le beau noble quatrième dans la prétention au trône mais totalement dénué d'ambition; ainsi que Surah, l'éternelle indécise qui ne sait où va son cœur, bien que son corps soit une autre affaire.
Rajoutez à cela une histoire d'amour prévue dès les premières pages du livre ainsi qu'une armée qui ne va pas tarder à réduire en bouillie la cité, et vous aurez un bel aperçu de ce qui vous attend.

Le principal point fort de ce roman reste dans sa conception particulière du "Don", et de la magie.
Les Doués se séparant en deux parties, ceux qui exploitent leurs dons sans soucis, et ceux qui doivent utiliser un kakari pour faire fonctionner leur don qui se révèle surpuissant.

Le livre n'est finalement pas si mauvais que ça, il offre une sympathique diversion macabre et très -trop- noire.
Le point sur lequel je n'ai pas su m'adapter est le but véritable du héros, qui est...rien, si ce n'est vivre sans peur. le bouquin comporte également diverses longueurs qui plombent un petit peu le récit.
Malgré cela, on peut souligner quelques personnages qui à eux-seuls valent le détour, comme par exemple Dorian.
La dernière partie du roman part un peu dans tous les sens, avec des morts à tour de bras, mais les personnages principaux ne réussissent pas à mourir, sont ressuscités ou sauvés aux portes de la mort de manière étrange, on sent une retenue de la part de l'auteur dans ce qui est d'affliger ses personnages favoris de destins trop durs, alors qu'il vient de nous décrire une société pourrie jusqu'à la moelle...

Bilan mitigé donc, même si je pense que je lirai les prochains tomes par simple curiosité.
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Confus, c'est bien le mot qui convient pour ce livre.
Confus malgré une histoire prenante, noire donc assez réaliste puisqu'on s'attache ici à un univers d'assassin. J'ai quand même trouvé dommage que malgré l'univers sombre mis en place et une certaine brutalité, les personnages principaux restent plutôt gentillets. Sinon le style d'écriture est assez bon. Mais tout est confus. J'ai pourtant l'habitude de lire de la fantasy où les machinations et les complots s'enchainent, mais ici j'ai toujours eu l'impression que tout allait trop vite, les enchainements se faisaient trop rapidement et parfois sans cohérence, comme un cheveu sur la soupe, rien n'est vraiment préparé en amont et j'ai eu l'impression d'avoir un wagon de retard pendant toute l'histoire voir d'être complétement paumée à certains moment. Dommage, ce livre aurait pu être très bon sans ça. Je l'ai lu dans d'autres critiques donc je ne dois pas être la seule à l'avoir ressenti. Je pense que l'auteur aurait du prendre un peu plus le temps d'écrire son histoire (mais sans passer plus de temps sur les introspections).
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Pleins d'ingrédients alléchants : des intrigues politiques, du sang, des assassinats et l'apprentissage de l'art de tuer. L'histoire s'annonçait plutôt bien.
Or, elle se heurte assez rapidement à trois écueils : les personnages ne sont pas attachants et passent beaucoup trop de temps à se morfondre sur eux-même. le héros en particulier est tout simplement horripilant avec ses pleurnicheries et ses faux dilemmes. le style est très répétitif, avec nombre de monologues intérieurs tournant en boucle et qui n'apportent aucun intérêt supplémentaire aux personnages ou à l'intrigue. Au contraire, on a l'impression de lire plusieurs fois exactement la même chose ! Et enfin, l'utilisation de l'ironie dramatique. Entendre la même révélation deux ou trois fois, à chaque fois qu'elle est révélée à un nouveau personnage, est lassant. le monologue intérieur du héros qui fait une fausse supposition, pathétique au lieu d'être poignante.
Pour les âmes sensibles éprises de curiosité en lisant le quatrième de couverture, s'abstenir : outre les tranchages de gorge, les empoisonnements et les bagarres sanglantes, les viols sont aussi assez récurrents dans cet univers. A noter la parfaite égalité des sexes, hommes, femmes et enfants en prennent pour leur grade dans tous les cas.
En définitive, une lecture frustrante, avec plusieurs pauses pour rouler des yeux devant l'idiotie des protagonistes ou la répétition d'éléments donnés plus tôt dans le chapitre ; mais une intrigue suffisamment prenante pour finir la trilogie, sans toutefois donner envie de rouvrir les romans une fois la dernière page tournée.
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