Simone Weil, que j'ai longtemps confondu avec
Simone Veil, ancienne déportée et ancienne ministre, est un grande philosophe française du 20ème siècle. Elle fut l'élève du philosophe Alain.
Je découvre ses textes et, même si le livre se nomme « «
L'Iliade ou le poème de la force », il y a bien plus que cela.
J'avoue que j'ai été déroutée par l'analyse de texte du poème de l'Iliade, traduit du grec, car je ne le connais pas. Alors je me suis centrée sur les propos de
Simone Weil sur la guerre et j'ai l'impression qu'elle n'a pas toujours été pacifiste, que son point de vue à changer selon le moment où elle écrit (avant ou pendant la guerre). Elle fait surtout le parallèle entre la politique et l'économie et la guerre et la lutte des classes.
Ce qui est bien c'est qu'elle propose la réflexion : « Nous risquons, si nous ne faisons pas un sérieux effort d'analyse, qu'un jour proche ou lointain la guerre nous trouve impuissants, non seulement à agir, mais même à juger. ».
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