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Critique de palamede


Aujourd'hui Elisabeth Gottlieb épouse un goy. À son mariage, parmi cent cinquante invités de la bonne société juive d'Atlanta, certains vont se livrer à une introspection. Raconter leur enfance leur réussites leurs échecs passés et présents, leur fortune ou les accidents de la vie qui les ont touchés plus ou moins tôt. La maladie la guerre le handicap le deuil ou le divorce.

Jamie Weisman est dermatologue et souffre d'une maladie auto-immune, deux raisons qui donnent à ce premier roman une sensibilité une précision et un recul, qu'il faut bien dire souvent teinté d'une ironie mordante. Une façon, qui ne peut que nous toucher, de parler de la vacuité de l'orgueil, de l'amour sous toutes ses formes et surtout des mille et une façons de trop ou ne pas s'aimer.
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