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3,47

sur 726 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Tous les romans peuvent se résumer à …une grande blague, dixit Bernard Werber dans le rire du cyclope… et particulièrement ce dernier. Là je dois avouer que je suis quelque peu déçue. Je n'irais peut-être pas jusqu'à dire que je me suis ennuyée en lisant cette histoire, mais la limite n'était pas loin ! L'intrigue est très fantaisiste, mais bon, on peut accepter beaucoup de chose en lecture. Ce qui m'a particulièrement déplu, c'est le côté parachuté des personnages, les coïncidences hasardeuses : Lucrèce subit durant son adolescence, les vexations de sa meilleure amie, et comme par hasard, elle retrouve celle-ci au hasard de son enquête, on retrouve un Isidore bien contradictoire, qui commence par refuser de voir Lucrèce, qui réfute toute idée de participation aux recherches, puis qui finalement, lui le non violent, après quelques tentatives de coups à l'encontre de Lucrèce, se lance à corps perdu dans une enquête, on se demande si tout ce cinéma est bien nécessaire ???
Les pages traitant de l'histoire du rire et de cette fameuse blague qui tue sont pénibles, voir nos grands auteurs mourir les uns après les autres, victime de leur curiosité, c'est du délire et je n'ai pas trouvé cela particulièrement hilarant. Quant à la fameuse BQT (Blague qui Tue) c'est le moyen par excellence, trouvé par l'auteur pour entretenir le suspense, le problème, c'est que le suspense a déjà été produit de cette façon dans pas mal de roman de Bernard Werber, et le lecteur habitué n'y retrouve pas son compte.
Je reste amère car j'ai l'impression que les romans de Bernard Werber dont je raffolais, s'essoufflent. le seul que je n'ai pas lu à ce jour est le miroir de Cassandre, que je lirai certainement prochainement, j'espère ne pas tomber dans la mélancolie et la nostalgie thanatonesque et fourmiesque.
J'ai malgré tout passé quelques bons moment avec ce livre qu'il ne faut pas prendre comme un policier (trop de situations incohérentes, de crimes qui partent dans les oubliettes et restent impunis), mais qui doit être abordé comme une fantaisie sur le thème du rire.

Lien : http://1001ptitgateau.blogsp..
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Mon avis : "Le rire du cyclope" trainait depuis au moins un an et demi dans ma PAL. Lorsque j'ai vu que son prochain livre sortait dans les mois qui viennent je me suis dit qu'il était temps de le lire en prévision de l'achat de son prochain. Je pense que cette dépense est fortement compromise ... il serait plus envisageable de l'emprunter à la bibliothèque et encore ce n'est pas certain. Tout cela pour dire que je me suis ennuyée et que j'ai trouvé ce livre terriblement long.

Nous retrouvons Lucrece et Isidore, deux personnages récurrents de Bernard Werber. Lucréce est dévenue journaliste scientifique au "Guetteur morderne" et Isidore est maintenant à la retraite, il habite dans son chateau d'eau avec ses trois dauphins et son requin "George".

Darius Wozniak dit "Le cyclope" est le comique préféré des français, à la suite de son one man show, il décéde dans sa loge d'une crise cardiaque. Après enquête, Lucréce se rend compte qu'il est mort à la suite d'un gros éclat de rire. Aurait-t-il succombé à la BQT : la blague qui tue.
Malgré un Isidore qui se fait un peu tirer l'oreille le duo d'enquêteur part sur les traces du tueur.

Du vu, du revu, du très vu ... une histoire entrecoupée d'une encyclopédie historique du rire parfois assez humoristique. du comique de situation chez l' homme préhistorique, jusquà à la fabrication des premières blagues, je dois dire que plus j'avançais dans ma lecture plus cela devenait barbant.

Un récit ponctué de blagues parfois très amusantes pourtant je me suis profondément ennuyée dans cette enquête qui piétine et qui a du mal à avancer.
L'originalité de Werber ne prend plus chez moi, aucune surprise car je me doutais bien que la fin nous apprendrait de toute façon une chose toute à fait rationnelle.

Dommage dommage .... mais bon, il me reste de trop bons souvenirs avec sa trilogie des fourmis et mon préféré qui reste "Les thanatonautes".
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Ca faisait longtemps que je n'avais pas autant galéré dans une lecture.
Bon, il faut dire aussi que d'habitude je m'arrête quand j'en ai marre et je passe à autre chose.
Mais ce livre est un cadeau..de plusieurs années..pour moi, impossible de le balancer sans le lire et encore moins de le commencer sans le finir.
Eh bien, croyez-le ou non, j'ai poussé un soupir de soulagement en fermant ce bouquin.
J'ai mis du temps à l'entamer parce que je n'ai pas entendu beaucoup de bien de Werber à part au sujet des "fourmis" dont j'ai apprécié la lecture. le résumé ne me tentait pas non plus.
Bref, c'était mal barré. Mais comme c'est un cadeau, je lui ai laissé sa chance.
Le roman est bien documenté, ses personnages sont marrants..Mais dieu que c'est long. Il aurait pu faire la même chose avec moitié moins de blabla et plus de clarté et de fluidité.
Et puis trop de blagues tuent les blagues. On n'a plus envie de rire, on pense surtout à pleurer.
Bon, je suis difficile, j'avoue que j'apprécie les idées de ses livres mais il faut retravailler le scénario, éviter les longueurs, les scènes répétées, les dialogues similaires..effet de style? raté.
Approchez-vous des fourmis mais fuyez le cyclope.
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J'ai lu ce livre par pure curiosité car, malheureusement, je trouve que les livres récents de B. Werber ne sont qu'une soupe d'idées plus ou moins bonnes balancées à la va-vite... J'ai été un peu surprise qu'il ne soit pas aussi mauvais que je m'y attendais. Même si l'histoire est plus que tirée par les cheveux et que l'auteur adore faire référence à.... lui même, j'ai aimé certains passages. de plus, le livre est parsemé de blagues (c'est le thème principale du livre) qui m'ont faites sourire. A lire si vous avez envie d'une gentille enquête sur fond pseudo-scientifique sans prise de tête.
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Le Rire du Cyclope raconte l'enquête menée par deux journalistes sur la mort mystérieuse d'un humoriste. Ce roman a une lointaine parenté avec le Nom de la Rose et avec Da Vinci Code, le premier par le questionnement sur le rire et l'humour, ainsi que la recherche d'un mystérieux texte lié au rire, le second pour l'aspect théorie du complot, société secrète et réécriture de l'histoire officielle. le livre n'a toutefois ni le brio de l'un ni l'habileté de l'autre.
Il n'est pas désagréable à lire, sans plus, et un peu trop long. D'une manière générale, l'histoire est excessive par bien des côtés: des personnages un peu trop caricaturaux, des situations exagérées, une théorie du "complot" trop invraisemblable.
Le style, marqué par un récit au présent, m'a un peu gênée. le présent peut créer un effet de réalité et d'immédiateté pour le lecteur, mais ici ce n'est guère réussi.
Par ailleurs, bien que je reconnaisse la difficulté de l'exercice, je trouve que rendre un concours de blagues entre personnage sans énoncer les blagues en question est un peu faible: "il attaque par une blague sur les lapins, son adversaire réplique par une blague grivoise", cela me laisse sur ma faim.
Il y a néanmoins un bon nombre de blagues dans le livre, dans les chapitres intercalaires qui entrecoupent le récit, sur le principe déjà utilisé par l'auteur dans Les Fourmis avec les extraits de l'Encyclopédie du savoir relatif et absolu.
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Ce livre témoigne de deux drames...
1. Une idée originale ne suffit pas à faire un bon livre.
2. Ce nouvel opus semble indiquer un essoufflement de l'auteur qui peine à se renouveler.
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Bien que ne faisant pas partie d'une trilogie, ce livre décrit une nouvelle enquête du duo de journaliste scientifique Lucrèce Nemrod et Isidore Katzenberg.

Après avoir enquêté sur les origines de l'homme et les mystères du cerveau, ils tentent d'élucider les mystères du rire.

Darius, l'humoriste préféré des français, richissime fondateur d'une compagnie aidant les jeunes talents à se promouvoir, éclate de rire dans sa loge à l'issue d'une représentation et meurt quelques instants plus tard.

Lucrèce, dont les blagues de Darius l'avaient aidé à un moment tragique de son existence, refuse de croire que sa mort ne puisse être qu'une banale crise cardiaque du au surmenage.

Isidore, vivant toujours dans son château d'eau, entouré de dauphins (et d'un requin dorénavant), refuse de mener l'enquête avec elle mais lui conseille de remonter aux origines des blagues afin d'élucider ce meurtre en chambre close.

Bien que partant d'une idée assez originale, l'histoire laisse parfois un peu sur sa faim et a tendance à trainer un peu par moment.

Petite originalité: l'intrigue est entrecoupée de petite histoire drôles (signé de Darius mais provenant d'une sélection de blagues envoyés par les internautes sur le site de Werber) qui sans être désopilantes font généralement sourire et aèrent un peu le récit.

Lire la suite :
Lien : http://lombredeskarnsha.blog..
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Décevant, c'est ce que je retiendrai de ce volume sur la saga Lucrèce Nemrod et Isidore Katsenberg. Werber s'essoufflerait-il?: c'est en tout cas mon opinion sur ce livre tant cette enquête dans le milieu du rire ne m'a pas apporté grand chose. Les ficèles du récit sont parfois trop grosses et on voit les coups venir de loin. Je reste donc sur ma faim.
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Bon là je suis un peu embêtée habituellement j'aime beaucoup Bernard Werber mais là.... J'ai pas compris. Mais de quoi parle ce livre pour moi là ça part dans tout les sens. Bon j'ai pas compris, Point final.
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cela faisait longtemps que je n'avais pas lu un Werber, j'aimais bien sa mécanique. Des légendes dans le roman, des coupures qui font d'un pavé un livre que l'on dévore.
Pour celui-ci, même plan, sauf que je me suis ennuyée et pas qu'un peu.
L'histoire démarre plutôt bien, mais l'enquête dure, de rebondissements en rebondissements....j'ai fini par ne plus y croire du tout, à sauter des pages, bref....ce n'est pas le Werber que je retiendrai.
Le positif : l'histoire est entrecoupée de blagues, d'anecdotes mais ça ne sauve pas le roman.
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