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3,47

sur 726 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
c'est avec plaisir que j'ai retrouvé Isidore et sa comparse journaliste. j'aime beaucoup les livres de Werber car ils permettent une certaine réflexion sur les choses de la vie; par contre il faut avouer que son univers est un peu particulier. Ce roman est ponctué de blagues un peu potaches que l'on retrouve dans les hedbomadaires TV. Certaines m'ont quand meme fait sourire..
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Quand j'ai vu que ce roman mettait en scène Lucrèce Nemrod et Isidore Katzengerg, je n'ai pas hésité: j'ai foncé. J'avais adoré le duo de journalistes scientifiques dans "Le père de nos pères" et "L'ultime secret" lorsque j'étais adolescente, au point de vouloir appeler ma future fille Lucrèce. J'ai gardé le souvenir de deux personnages très charismatiques, pour lesquels j'avais beaucoup d'affection.

Le roman est-il simplement moins bon ou bien ai-je grandi? Un peu des deux je suppose. le duo que j'avais mythifié est tombé de son piédestal : Lucrèce, surtout, m'est apparue comme une brute un peu vulgaire.

Le livre n'était cependant pas ce que j'ai lu de plus désagréable, je dois bien l'avouer. Je regrette les raccourcis narratifs typiques de Werber (Marie-Ange qui surgit du passé de Lucrèce), mais ce n'est pas nouveau: Les fourmis regorgeaient déjà de très heureux hasards... Après tout, depuis le début, le but de Werber est de nous étonner, nous faire rêver, d'élargir "l'arbre des possibles", et le tout reste cohérent.

J'ai ri quelques fois en lisant ce roman ( La blague de la grosse mite, j'en ris encore), ce qui m'a fait du bien en cette période de stress lié aux stages... Dommage, la mayonnaise Werber ne prend plus comme avant. J'ai néanmoins passé un agréable moment.
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Mouais, bon, ben bof.

Comme une encyclopédie de l'histoire du rire et de l'humour, ce bouquin se perd dans les méandres des blagues, diverses et variées au cours de l'histoire.

En fait, je l'avais déjà lu, mais je m'étais dépêchée de l'oublier, et je pense que sera encore le cas.

On est loin du brio des fourmis, même si j'ai apprécié les deux héros, Lucrèce, Isidore, et leur enquête.

Bon après, ça se lit facilement ! Heureusement...
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.

Darius Mirolaslaw Wozniak, dit le Cyclope, un comique à l'apogée de sa carrière, meurt dans sa loge fermée à clef de l'intérieur après un spectacle à l'Olympia.
De l'avis de tous, l'artiste est mort terrassé par une crise cardiaque due à un fou rire. Mais pour Lucrèce Nemrod, notre journaliste scientifique du Guetteur Moderne, il s'agit d'un homicide ! Une occasion pour elle de partir sur les traces du mystérieux assassin. Elle tentera d'entraîner contre son gré Isidore Katzenberg, ancien comparse de ses précédentes aventures, qui lui a décidé de prendre une retraite anticipée, mais qui très vite sera fasciné par cet étrange pouvoir procuré par le rire.

C'est avec un évident plaisir que j'ai retrouvé Isidore et Lucrèce, le couple de journalistes improbable que j'avais découvert dans les romans, « le père de nos pères » et « L'ultime secret ». Un tandem que j'avais beaucoup aimé et qui m'avait entraînée dans deux enquêtes palpitantes et atypiques.
Dans ce troisième volet l'auteur nous livre enfin une partie du passé de la jeune femme Lucrèce à laquelle le lecteur s'attache sans peine.
Werber s'attaque au thème du « rire », exercice périlleux car on ne s'improvise pas forcément comique du jour au lendemain.
L'enquête nous conduira donc à la recherche d'un meurtrier qui tue avec une arme aussi inattendue que mystérieuse le « rire ».

Comme à son habitude, Werber intègre dans son intrigue des extraits, non pas de « L'encyclopédie du savoir absolu » ni de « L'arbre des possibles » mais d'une nouveauté « le grand livre de l'histoire de l'humour », j'ai beaucoup aimé la façon dont Werber a intégré l'histoire du rire à celle de l'humanité.

Werber parsème également le roman d'un tas d'histoire drôles, enfin qui se voudraient drôles mais elles ne le sont pas toutes hélas.

Le roman se décompose en trois actes.
Dans le premier Lucrèce enquête seule, cette partie lui est réservée avec de nombreux retours en arrière sur son passé.
Dans la seconde partie, Isidore rejoint enfin l'enquête et le rythme s'accélère, mais j'ai très rapidement été freinée dans ma lecture, car j'ai eu la surprise de constater que Werber avait intégré l'une de ses nouvelles extraite du recueil « Paradis sur Mesure ». Monsieur Werber s'est carrément plagié tout seul. J'ai retrouvé les même lieux, les mêmes personnages, la même intrigue que dans la nouvelle « Là où naissent les blagues », un texte que j'avais bien aimé mais le retrouver dans le roman m'a tout de même donné l'impression que l'auteur me servait du réchauffé! du coup j'ai clairement perdu mon intérêt pour l'intrigue, plus d'effet de surprise, Monsieur Werber vous m'avez eu mais pas dans le bon sens du terme.
A la fin du roman, Werber se justifiera en expliquant qu'il souhaitait mettre en avant l'importance du rire et des blagues dans la littérature, sa nouvelle « Là où naissent les blagues » étant arrivée en tête d'un sondage auprès de ses lecteurs internautes il a décidé d'en faire un roman tout en prolongeant les aventures d'Isidore et Lucrèce.

Le troisième acte nous conduira vers un dénouement décevant qui finalement ne me laissera pas un souvenir impérissable.

Je suis globalement déçue par le thème du roman,
C'est la première fois qu'un roman de Werber me déçoit, mais tout arrive finalement.

L'auteur a t il manqué d'inspiration ?

Était-ce une blague?
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C'est l'encyclopédie imaginaire du rire, version polar, avec moultes blagues en interlude.

J'ai bien aimé l'évocation des mythes et épisodes historiques fondateurs, revisités : gags ou blagues de potacheles expliquent (Salomon, les Mayas et la fin du monde…)

Un peu moins les histoires entre les chapitres : elles sont archi-connues

Quant au polar, l'intrigue y est suffisament bien menée pour que l'on s'y accroche

Agréable
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Je vous un réel culte à Bernard Werber et à ses romans. Chaque 1er octobre j'attends en trépignant son nouveau roman et celui ci je l'ai bien évidemment attendu avec autant d'impatience que les précédents.
On retrouve Isidore et Lucrèce, journalistes enquêteurs héros du "Père de nos Pères" (1998) et de "L'Ultime Secret" (2001), prêts à remonter aux origines du rire pour prouver que Darius Wozniak, dit le Cyclope, humoriste et personnalité préférée des Français, a bien été assassiné. Assassiné, oui, mais surtout mort de rire.
Raconté comme ça, l'idée est géniale, surtout quand on connaît l'imagination de l'auteur. Sauf que je n'ai pas accroché à l'histoire. Je n'ai rien de précis à lui reprocher si ce n'est de ne pas m'avoir emportée. Typiquement le genre de romans qu'on a hâte de finir pour passer à autre chose, mais dont on arrive pas à en venir à bout. C'est d'autant plus frustrant quand il s'agit d'un auteur adulé.
Bref, j'ai lu ici et là que des bloggeurs avaient adoré donc je conseille aux fans de se faire leurs propres opinions et à ceux qui ne connaissent pas encore l'auteur de commencer par autre chose !
Lien : http://www.ciao.fr/Le_rire_d..
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L'amour pour épée, l'humour pour bouclier. Si vous avez déjà lu quelques Werber, cet adage ne vous est pas inconnu ... voire commence à vous être redondant. On comprend bien que l'auteur est un grand amateur d'humour et considère que celui-ci est primordial à notre vie. Mais il y a une grande différence entre être drôle et écrire sur le fait d'être drôle. Ce récit n'a finalement rien de très amusant. Il y a ensuite l'aspect enquête spirituelle, thème récurant chez Werber ... et bien elle est longue et peu intéressante. Beaucoup de choses auraient pu être coupées au montage pour aller plus à l'essentiel. 800 pages, ça reste un pavé et personnellement j'ai dû couper ma lecture en 2 et intercaler un autre livre pour me redynamiser. Si Werber est capable de faire de grands livres, celui-ci n'est définitivement pas un de ses meilleurs.
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Je suis inculte en ce qui concerne M. Werber... Ce livre est un cadeau, mais il a longtemps attendu car je n'était pas "intéressé" par Bernard Werber...
Et puis, à un moment quand faut y aller, il faut y aller : les vacances aidant, je me suis dit que j'allais être en bonne disposition, et puis un livre sur le Rire, cela ne peut être que bien ??!!
Bah, comment dire : je n'en suis pas ressorti en me disant mais pourquoi ai je attendu aussi longtemps... trop de longueur sur certain passage à mon gout...
je pense qu'il va me falloir encore un peu de temps avant d'attaquer un nouveau Werber... (mais dites moi lequel devrais je lire ?)
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Beaucoup de plaisir de retrouver notre duo d'enquêteurs Lucrèce et Isodore.
Beaucoup de plaisir de découvrir l'intrigue de ce roman lié autour du rire et de la vanne qui tue ( Sans vous spoiler c'est Monsieur Madame)

Par contre, faire tout un bouquin pour remonter la filière de création de blagues, parfois c'est un peu long ou parfois c'est un peu grossier.
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Lucie Nemrod est une jeune journaliste scientifique , em^ployée au"Guetteur Moderne". Elle est chargée d'enquêter sur la mort, du grand comique Darius Wozniak, décédé dans sa loge, fermée, à clé depuis l'intérieur, à la fin d'un de ses spectacles. Pour résoudre l'énigme, elle ,demande aide et assistance à Isidore Katzenberg, journaliste scientifique à la retraite.
Ce roman est très décevant. IL se traîne ne longueur. L'histoire est entrecoupée de nombreux et longs extraits tirés d'une "encyclopédie, le Grand Livre d'Histoire de l'Humour" , qui vont de l'Antiquité à nos jours.. Non, je ne consille pas la lecture de ce roman de Bernard Werber. Nous sommes loin de la trilogie des Fourmis, du Miroir de Cassandre, du Sixième sommeil, de la Boîte de Pandore , livres que j'ai lu avec grand plaisir. Je renonce même à la lecture de son dernier roman : Sa Majesté des chats.
Lien : https://lucette.dutour@àorange..
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