Les Fourmis

A part quelques connaissances sur les fourmis, ce livre m'a un peu déçu. le côté fourmis m'a bien intéressé, mais le côté humain était trop bâclé, trop superficiel pour que ce livre me passionne. On ne croit pas à ces gens descendant dans leurs caves pour ne jamais remonter.

Depuis le temps qu'on m'en parlait, il fallait bien que je me lance dans la trilogie Les Fourmis de Bernard Werber. D'autant plus que j'avais beaucoup aimé Troisième humanité du même auteur. Et bien malheureusement pour moi, j'ai été très déçue au point que j'ai abandonné ma lecture à la page 107 sur 306 au total.

Dans ce roman, Bernard Werber nous donne deux points de vue, celui des fourmis et celui des Hommes. Chez les fourmis, cela commence avec le 327ème mâle qui découvre que la fourmilière est en danger. Des fourmis à l'odeur de roche ont tenté de l'assassiner, il va donc chercher de l'aide auprès des siens pour enquêter sur ces fameuses fourmis tueuses.

Du côté des Humains, nous découvrons Jonathan, le neveu du scientifique Edmond Wells spécialisé dans l'étude des fourmis. Ce dernier lui lègue son appartement mais lui interdit d'aller à la cave. Cette dernière volonté est mystérieuse et Jonathan décide tout de même d'y descendre.

Ces deux histoires sont en effet très intrigantes mais l'auteur a choisi de les raconter morceaux par morceaux et en alternant les deux points de vue. Cela m'a donné une impression de lenteur, car à force d'alterner aussi souvent les points de vue, l'histoire n'avance pas beaucoup et je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages.

Je reconnais que le monde des fourmis est intéressant, on apprend des choses, mais l'intrigue ne m'a pas tenu suffisamment en haleine, je me suis donc beaucoup ennuyée. J'ai préféré la partie sur Jonathan et sa famille mais là encore, j'ai trouvé que ça n'allait pas assez vite dans l'intrigue alors que j'étais au tiers du bouquin… de plus, je n'ai pas trouvé crédible que Jonathan soit à la cave pendant des heures et que sa femme, très inquiète de ne pas avoir de nouvelles, ne daigne même pas faire quelque chose ! Il se serait cassé la nuque en descendant, elle aurait attendu longtemps bêtement.

Dès le début de ma lecture, j'ai senti que je mettais du temps à rentrer dans l'histoire. J'ai fini par me forcer pour avancer dans ce roman, puis passé les 100 pages, mon sentiment n'ayant pas changé, j'ai préféré arrêter. Je ne m'attendais pas du tout à abandonner ma lecture vu les très bon avis que j'avais lu. Donc pour moi, Les Fourmis a été un flop mais cela ne m'empêchera pas de lire d'autres romans de l'auteur et lire la suite de la trilogie Troisième humanité.
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Abandon à la page 114.

Débuté il y a maintenant 1 mois j'ai commencé à le lire lors d'un voyage et puis je n'ai pas accroché, je l'ai donc laissé de côté, puis je l'ai repris ce matin et alors au bout d'une phrase vraiment j'ai senti que je n'avais aucun intérêt pour ce roman.
Dommage, j'ai pourtant lu d'autres de Bernard Werber qui m'avaient agréablement surprise. Tant pis un rendez-vous manqué ça arrive il y a tant d'autres livres à découvrir que je ne me "force" plus à terminer un livre lorsqu'il me déplait.

Je pense que c'est la profusion de détail dans le monde des fourmis qui a eu raison de moi, trop scientifique et pas assez émotionnel.

Comment ça tu n'as jamais lu les fourmis ???? 😱🐜😱🐜😱🐜😱
Ben non...
J'ai décidé de remédier à ça...
Donc j'ai lu... Et la magie n'a pas du tout opéré...
Je suis vraiment passée à côtés !!!
Je retiendrai uniquement le fait que ces petites bestioles sont des sacrées bosseuses... Même si je le savais déjà...
Je ne sais même pas dire ce qui m'a gêné... J'ai terminé quand même...
Je retenterai un autre univers de cet auteur...

📖Le temps que vous lisiez ces lignes, sept cents millions de fourmis seront nées sur la planète. Sept cents millions d'individus dans une communauté estimée à un milliard de milliards, et qui a ses villes, sa hiérarchie, ses colonies, son langage, sa production industrielle, ses esclaves, ses mercenaires... Ses armes aussi. Terriblement destructrices.
Lorsqu'il entre dans la cave de la maison léguée par un vieil oncle entomologiste, Jonathan Wells est loin de se douter qu'il va à leur rencontre.
A sa suite, nous allons découvrir le monde fabuleusement riche, monstrueux et fascinant de ces «infraterrestres», au fil d'un thriller unique en son genre, où le suspense et l'horreur reposent à chaque page sur les données scientifiques les plus rigoureuses.
Voici pour la première fois un roman dont les héros sont des... fourmis !

Ce livre ne m'a pas convaincue : outre un usage abusif des métaphores guerrières, on y voit trop les grosses ficelles et les recettes faciles du best-seller (les deux récits imbriquées fourmis et aventure humaine) pour appâter le lecteur et piquer sa curiosité. Un style pauvre.
J'ai même trouvé cela terriblement ennuyeux par moment et je me suis forcée à aller jusqu'à la fin.
Ce que j'ai le plus apprécié ce sont les extraits d'Edmond Wells.

Je l'avais lu il y a très très longtemps et je me demandais si je pouvais espérer y trouver un classique vu la popularité encore très actuelle de l'auteur, d'où une petite relecture récente.
Je n'aurais pas dû ! Personnages stéréotypés, ficelles narrative aussi énormes qu'un cachalot échoué, caricatures socio-culturelles grossières et forcées...
Non, vraiment, parfois, certains bouquins ont bien de la chance de créer un phénomène !

Un roman pour ados. Amateurs de littérature, passez votre chemin.

Je n'ai pas accroché. J'ai abandonné après une centaine de pages. 100 pages parce que je souhaitais absolument comprendre l'engouement suscité à sa sortie. Roman trop hermétique pour moi.

je n'aime pas.

Tout a été dit sans doute sur ce roman qui a eu son moment de gloire lors de la parution. Pour ne pas demeurer inculte je m'y suis plongé.
La partie "fourmis" est plutôt intéressante, bien écrite, même si ce n'est pas de la plus haute littérature, c'est un moment très agréable et une plongée instructive dans l'univers de l'entomologie.
En revanche, la part romanesque du roman est vraiment trop "capillo-tractée" et la fin du roman suffisamment invraisemblable pour qu'elle gâche le tout. Pourtant la petite dose de fantastique instillée chemin faisant est assez plaisante.
J'ai, comme à l'habitude avec cet auteur, trouvé une certaine arrogance à vouloir expliquer au lecteur la "Science" (laquelle du reste) comme si seul l'auteur détenait les clés du savoir.
Pour moi, si l'on s'intéresse vraiment aux fourmis, il vaut mieux lire "Les fourmis rousses" de Jean-Henri Fabre, si on se passionne pour la science fiction, il y a de bien meilleurs auteurs.