Une quatrième de couverture idéale, elle n'en dit pas trop et réussit a aiguiser la curiosité ! Lisez-la car je me dispense de présenter la trame.
La nouvelle est courte (trente-quatre pages) et me replonge, après
Poney flottant, dans l'univers et l'écriture d'
Isabelle Wéry.
Ici toutefois moins de libertés avec l'orthographe, celles-ci se contentant de rallonger considérablement certaines lettres (« elle va finiiiiiir », « Pourquoi tu fais çaaaaaaaaa ?, etc), l'usage d'onomatopées, elles aussi allongées (« Brrrrrrrrr », “Pffffffff”), de dédoubler ou tripler les points d'interrogation ou d'exclamation.
le langage est ultra simple, c'est du parlé.
L'autrice m'a captivé par ce récit, par sa description de cette relation amoureuse contée par le personnage principal.
L'autrice se permet quelques touches d'humour regardant des personnes connues (
Ruquier et Julien Doré, voir aussi la citation publiée antérieurement
Ce fut un court moment de plaisir !