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Critique de Alfaric


J'ai eu quelques espoirs pour ce tome 26 intitulé "Le Jardin de Baohm"... Oui mais non, les lacunes scénaristiques de Michel Weyland se font encore sentir !
L'auteur belge veut dénoncer le phénomène sectaire, et la dianétique et la scientologie de L. Ron Hubbard sont très clairement pointées du doigt. Sauf que c'est fait avec pas mal de balourdise. Aria est triste parce que suite à un accident elle a été obligée d'euthanasier son cheval Furia (absent de puis pas mal de tome et qui réapparaît ici comme par magie), et en plus elle l'a raté... Elle tombe sur la rabatteuse Valsifia qui l'introduit dans la secte des Enfants de Baohm. Une dose de drogue, une séance d'hypnotisme et elle est embrigadée dans le but d'infiltrer des amazones qui sortent d'on ne sait où et qui veulent on ne sait quoi avant d'oeuvrer à l'attentat devant causer leur perte. Mais Valsifia est un agent double qui a prévenu le botaniste trompé par le chef de la secte et désormais conseiller de ses opposant (botaniste spécialiste en Améronne qui n'est même pas nommé ! ^^), donc une séance de désintox et de psychothérapie et c'est fini ! Amazones et Enfants de Baohm refont la nuit des longs couteaux, et les unes ne semblent guère plus recommandables que les autres. Aria fait de grand discours moralisateurs avant d'humilier, torturer et tuer le Grand Tordu, et difficile de dire si la cheftaine des Amazones plaisante ou ne plaisante pas quand elle déclare reprendre les bonne vieilles recettes de la secte... Soupirs !
Et pourquoi on enlaidit les personnages en résumant leurs yeux à un un rond blanc et un point noir ? Re-Soupirs !
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