[ «…» Non pas que cela te regarde, mais je n’ai pas besoin de m’envoyer en l’air tous les deux jours pour satisfaire mes besoins. De MULTIPLES outils s’en chargent très BIEN ].
[ « … » Le seul outil dont a besoin ta chatte est ma langue. Elle est là quand tu veux, et elle fonctionne de « MULTIPLES » façons ].
Je pense que certains mensonges doivent être dits, et que certaines vérités doivent rester cachées. La condamnation ultime revient à ceux qui parviennent à distinguer les deux.
Si la vérité risque d’endommager quelque chose ou de blesser quelqu’un sans que ce soit nécessaire, je crois que j’ai le droit de la cacher.
Je détestais l’effet qu’il avait sur mon corps à cet instant, et même si je voulais lui demander la raison de cette convocation, ma bouche refusait de dire quoi que ce soit.
J’hésitai à aller dans son bureau. Toutefois, voir l’expression sur son visage lorsque je lui dirais Allez vous faire foutre. Je démissionne. était une expérience trop belle pour la laisser passer. Je me forçai à sourire et frappai à sa porte.
Il y avait quelque chose d’intangible dans son baiser ; des mots non prononcés, un désir réprimé. Cela m’avait fait penser que les regards qu’il me lançait souvent, ces regards de mépris mêlés de désir, signifiaient un peu plus que ce que je pensais.
Je n’arrêtais pas de penser à la manière dont m’avait embrassée M. Hamilton l’autre jour, à la façon dont il m’avait attirée contre son torse et avait baisé mes lèvres avec sa bouche.
Sa queue était dure comme de la pierre quand il m’embrassait, et il mordait mes lèvres et m’agrippait comme s’il voulait me posséder… Je n’ai jamais été aussi excitée de toute ma vie…
Elle laissa échapper un murmure lorsque je glissai ma langue dans sa bouche, lorsque je mordis sa lèvre inférieure le plus fort possible. Sans réfléchir, je libérai ses mains et l’attrapai par la taille, attirant son corps crispé contre le mien tandis que ma main trouvait le chemin vers le dessous de sa jupe.
Vous allez informer le metteur en scène de votre ballet que vous viendrez quand vous aurez terminé votre travail, et vous n’irez pas voir M. Bach pour lui dire quoi que ce soit, parce que nous ne réassignons pas les stagiaires juste parce qu’ils pleurent.