A lire dans le métro par une terrible journée de grève. Assis ou debout, le menton dans la poitrine de celle-ci ou la respiration bloquée au risque d'en mourir pour ne pas avoir à supporter l'haleine de celui-là, aucun souvenir. Juste une envie, expédier sa journée de travail, reprendre le métro, assis ou debout,..., mais reprendre la lecture de ce roman qui se déguste comme un abricot gorgé de soleil, sous un ciel intense, le visage caressé par la brise.
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