Une étude intéressante mais qui à mon avis aurait gagné à plus d'approfondissements.
Commenter  J’apprécie         00
Le travestissement possède un fond métaphysique qui est peut-être bien le reliquat d'une époque où il tait encore une liturgie. Tout au moins à l'époque de la Renaissance, il conservait ce petit fond métaphysique. Il n'était pas seulement une tentative pour parvenir à un érotisme dégagé des limitations du corps. Il était l'aspiration rêvée à un amour dégagé des limitations du sexe, un amour passant par le corps des garçons et des filles , des hommes et des femmes, comme la lumière à travers les vitres...
L'espace du rêve, comme celui du texte, est favorable à l'ubiquité, il est pluridimensionnel.
Le rêve est un texte troué.