Publié pour la première fois en 1891, cet essai si court soit-il (heureusement !), fourmille de réflexions jetées tout azimut.
Oscar Wilde y déplore l'asservissement de l'homme à l'Etat, l'argent ou encore le regard d'autrui. Et il propose une analyse naïve où le socialisme et l'art permettraient à l'homme de s'affranchir de ces tyrannies. Malheureusement, le monde dont rêve Wilde est une utopie... Et le socialisme, le christianisme et l'individualisme, n'y pourront rien faire : l'homme n'est pas bon et Wilde est bien placé pour le savoir. Alors pourquoi s'entête t-il à affirmer qu'Il y a autant de formes de perfection que d'hommes imparfaits. p.34 ? Peut-être sa nature contradictoire ?
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