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Citations sur Immoral (17)

Lorsque Izz' à filé à la bibliothèque, moi je fonce en chimie. Même si la seule formule qui m'intéresse ces derniers temps, c'est celle qui fait que deux personnes que tout oppose peuvent se retrouver à s'aimer si fort.
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Jamais aucun garçon ne m’avait parlé comme ça. Mais Logan n’est pas un garçon. C’est un homme. Un homme que je désire et jusqu’à dimanche dernier, je ne savais rien du désir.
Je ne savais pas que le désir décide pour vous. Que c’est un sentiment d’une belle violence. Mon envie de toucher Logan me fait mal partout, comme une fièvre. Mon corps entier souffre de devoir se refréner.
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Après tout, du jour où nos parents se sont mis ensemble, son histoire est un peu devenue la mienne… C’est peut-être d’ailleurs ça qui coince entre nous. Le fait qu’on partage une histoire dont nous ne maîtrisons pas totalement les tenants et les aboutissants.
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- Qu'on soit libres ou aliénés, dans cette chambre ou au grand air, ce que je ressens pour toi, c'est ma grande certitude.
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Mais avant que j'aie pu aller au bout de ma diatribe, les mains de Logan tirent sur mes bras, et sa bouche charnue se pose contre la mienne. Le bad boy a les yeux fermés, les paupières serrées si fort que ça doit en être douloureux et moi, je ne comprends rien. Rien aux frissons que ce contact me procure, rien à la violence que ça provoque en moi, dans mon cœur, dans mon ventre, dans mes reins. Rien à ce qui se passe. La seule chose que je comprends, en cet instant, c'est l'évidence de ce baiser. La seule chose que je sais, c'est l'odeur de Logan, dont la peau exhale les parfums du lac, de la sève des arbres, des aiguilles de pins. Une odeur d'immensité, que j'absorbe à présent, les yeux clos moi aussi, en m'abandonnant complètement. Le grand fauve soupire contre ma bouche. Il y glisse sa langue fraîche et experte, qui se met à effleurer la mienne. Cette caresse me procure un crépitement électrique dans tout le corps, qui s'achève en coup de tonnerre dans mon bas-ventre. C'est trop bon. Trop fort. Trop.
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Chapitre 2 : Qui sème les «A» récolte les emmerdes
Izzie
«… Ça va quoi, je sors à peine de la salle de bains !
Comme si de rien n’était, il va ensuite s’étendre sur son lit et se met à fixer le plafond. Je prends sa place et commence à parcourir les équations, les démonstrations. Je le sens bouger à ma droite, perçois dans un coin de mon œil qu’il se redresse sur ses coudes.
— Ce pyjama est vraiment révélateur, lance-t-il d’un ton sarcastique.
— Au sens propre ou au figuré ? réponds-je sur le même mode, tout en essayant désespérément de me concentrer sur sa copie mais en sentant mon cœur s’accélérer, par crainte de la vanne qui va suivre.
— Les deux. Mais c’est ce qu’il révèle au figuré qui m’intéresse le plus, étonnamment.
— Ah oui ? Et de quoi s’agit-il ? lancé-je en forçant mon indifférence.
— Que sous tes airs farouches, tu as envie d’être désirée, Izzie Pearson.
Une onde de chaleur remonte de mon ventre à mon visage, signe indubitable que je suis en train de virer écarlate – assortie à mon pyjama en satin rouge, quelle chance ! Non mais c’est quoi, cette psychanalyse sauvage ? Il me veut quoi, docteur Freud ? Aller tâter de mon refoulé ?...»
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Chapitre 1 : Felt, Texas
Izzie
«…
— Bon, je monte faire mes devoirs, annoncé-je en récupérant mon sac. Erik ne va pas tarder à arriver.
— Il restera dîner avec nous ? Je fais de l’osso-buco.
— Karen, si tu le prends par les sentiments, je doute qu’il résiste, répond Logan à ma place. En plus, il doit être aussi affamé que moi. L’entraînement de ce matin a été crevant.
— C’est ça, oui… Ce ne serait pas plutôt les galipettes dans la chaufferie qui ont creusé ton appétit ? lui lancé-je entre les dents alors que nous grimpons les escaliers jusqu’au premier étage, le nôtre.
— Qu’est-ce qui se passe, Isobel ? C’est la frustration qui te fait réagir comme ça ? Tu voudrais toi aussi qu’on t’emmène au sous-sol ? Je suis certain que si tu te mettais un peu plus en valeur, tu parviendrais à tes fins. Malgré ton look craignos, tu n’es pas si repoussante. Si tu veux que je parle à Erik…
— Ce que je voudrais, c’est que tu te taises ! lancé-je à voix basse en ne supportant plus son timbre grave, son arrogance, le fait qu’il se balade constamment à poil.
— Malheureusement pour toi, me lance-t-il avec un regard appuyé, je ne me tais que quand je baise. Sauf si bien sûr la demoiselle insiste pour que je lui parle pendant l’acte…
Il glisse cette dernière phrase à mon oreille et mon souffle se bloque. Révulsée, je frissonne. Comment un être aussi répugnant peut-il sentir aussi bon ?
— Tu es vraiment… révoltant, lancé-je, ulcérée, en ouvrant la porte de ma chambre.
— On ne peut pas plaire à tout le monde, lance-t-il en haussant ses épaules musclées avec désinvolture. Je n’ai jamais eu la cote avec les BCBG coincées, c’est comme ça.
Avant de refermer la porte à son nez, je dresse mon majeur...»
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Il est tout ce qui compte pour moi. Mon premier amour, en théorie. Sauf que dès que je suis avec lui, qu'il me touche, me parle, me fait sourire et rire, m'appelle Isobel pour me taquiner juste après m'avoir fait une sublime déclaration, et que je sens mon cœur tellement plein qu'il pourrait éclater, je croirais plutôt qu'il s'agit du dernier.
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Quand tu as une mère qui sombre dans l’alcool et la drogue juste après ta naissance, tu en connais un rayon sur la culpabilité. J’ai grandi avec l’impression que c’était ma faute si elle nous avait abandonnés, mon père et moi. D’ailleurs, d’une certaine façon, c’est le cas. Elle n’était pas comme ça avant d’avoir un enfant. Baby blues, précise-t-il. Alors tu vois, je suis né avec de grandes responsabilités sur les épaules… sourit-il tristement.
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Qu’y a-t-il de pire, pour un lycéen collé, que d’entendre la cloche sonner et de voir tous ses camarades se précipiter dans les couloirs pour partir en week-end ?
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