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sur 251 notes
1870. Will Andrews, jeune étudiant, débarque à Butcher's crossing pour tenter sa chance et découvrir qui il est vraiment. Il finance donc une expédition aux côtés de chasseurs de bisons, et va passer deux saisons dans les montagnes au contact direct de la nature, dans ses aspects les plus beaux comme les plus rudes.
Un roman hommage aux paysages de l'Ouest américain, à la fin duquel le héros, profondément transformé par son expérience, ne découvre pas le sens profond de la vie mais la simple réalité. Honnête et juste, Butcher's crossing est un beau roman.
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Que j'apprécie John Williams! Après Stoner, me voici parti dans ce bled de Butcher's crossing.

Une âpre épopée de chasseurs de bisons pour de sacrés bonhommes. Tout ce que j'aime avec ce roman sur l'Ouest du 19eme.

Ma fibre écolo a quand même vibré en lisant ces abominables massacres d'une espèce animale en entier… Massacres pour une peau devenue vite démodée. Tuer ces bisons en laissant le corps entier pourrir juste pour une peau, cela dépasse mon entendement.

Mais mon amour pour ce livre a su dépasser ce fait d'histoire et j'ai été embarqué dans cette épopée.



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Traduit par Jessica Shapiro

Je poursuivis mon aventure littéraire dans le Grand Ouest ! Cette fois, je vous emmène aux Etats-Unis, entre le Kansas et le Colorado pour un fabuleux voyage à la chasse aux bisons, grâce à Butcher's Crossing, un roman écrit en 1960 par John Williams dont je découvre la plume. Eh oui, encore une découverte ! L'auteur est originaire du Texas (né en 1912 et mort en 1994). Il n'a écrit que deux autres romans : Augustus (1972, couronné par le National Book Award et Stoner en 1965). On l'a ensuite longtemps oublié, jusqu'à ce que la New York Review of Books se souvienne de lui dans les années 2000. Cependant, il n'a été traduit en français qu'en 2016 aux éditions Piranha.

Dans les années 1870, Will Andrews renonce à ses études pour tenter l'aventure du Grand Ouest sauvage. Il atterrit à Butcher's Crossing (la bien-nommée), une bourgade du Kansas, où il rencontre Miller, un type qui dit savoir où se trouve le plus gros troupeau de bisons, l'un des derniers. L'occasion de faire fortune en revendant les peaux. Ce troupeau mythique se trouveraient dans un coin inexploré du Colorado, difficile d'accès autant que ces bisons. Miller cherche des hommes pour venir avec lui. Il lui faut entre autres, un écorcheur. Andrews se laisse convaincre, non par l'appât du gain par appétit d'aventure. Schneider sera l'écorcheur. Charley Hodge se joint au groupe. Un chariot tiré par des boeufs. Les quatre hommes s'en vont tracer la route, jusqu'à ce lieu quasi-mystique pour y chasser le dernier des troupeaux quasi-mystique lui aussi !

Si vous aimez les romans d'aventures et les sensations fortes, vous allez vous régaler. John Williams ne vous épargnera pas : comme ce troupeau d'hommes vous creverez de chaud puis de froid. Vous allez vous gourez de route en suivant de mauvaises pistes. Vous en aurez ras le bol. Puis vous reprendrez espoir. Et enfin, dans une vallée du Colorado, vous serez comme des gamins devant ce mythique troupeau de bisons. Vous vous direz que Miller ne s'est pas fichu de votre poire : ce troupeau existe bel et bien. Vous allez partir pendant un an.

Et vous reviendrez à Butcher's Crossing. A la fin, vous saurez dépecez un bison de la tête jusqu'aux sabots. Vous saurez que dans le bison, tout est bon, comme dans le cochon !

"Il choisit un long couteau incurvé et l'empoigna fermement. de la main gauche, il repoussa le lourd collier de fourrure ; de la droite, il pratiqua une petite incision puis fit courir son couteau d'un geste vif de la gorge au bas du ventre. La peau s'ouvrit proprement, avec un léger bruit de tissu déchiré. A l'aide d'un plus gros couteau, il découpa le sac qui contenait les testicules, tranchant les ligaments qui les retenaient ainsi que le pénis flasque. Il sépara les bourses, de la traille de petites pommes, des autres composants du sac, et les jeta de côté. Puis il fendit les derniers centimètres jusqu'à l'anus."

Il y a vraiment des scènes pleine de bidoche dans ce roman. Ames sensibles s'abstenir, mais en même temps ce serait dommage car cette histoire ne se résume pas à une boucherie. Non, pas du tout. Certaines scènes de chasse sont décrites avec précision : c'est plein de sang et de boyaux pendant un certain temps. C'est un peu crade mais ça ne dure pas. Juste au milieu du roman. Juste une touche pour vous faire sentir la douleur infligée aux bestioles. Comme Andrews, vous aurez un peu envie de vomir "à la vue du sang caillé" et à la "puanteur des carcasses faisandées", à la "piste du carnage".

Je vous le dis aussi : l'histoire ne finit pas bien. On a comme l'impression que John Williams prend la défense de ces derniers troupeaux de bisons en infligeant à Miller, le meneur, une sanction inattendue et complètement dingue. Oui, parce qu'il y a de la folie dans ce roman : celle des hommes. Il y a une touche d'ironie. de stupidité du sort.

Les personnages sont hauts en couleur, jurent comme des charretiers. Miller n'est pas du tout quelqu'un de sympathique. Et comme ce livre est aussi un roman d'apprentissage, Will Andrews en tirera une leçon de vie.

C'est aussi un formidable moment Nature Writing : on s'en prend plein les mirettes, quand la nature en fait voir des vertes et des pas mûres à tous ces hommes qui se croient plus forts qu'elle.

Très distrayant, une écriture qui dégaine, c'est une belle découverte et une ode à la nature sauvage du Grand Ouest. A découvrir, car ça fait aussi voyager !

Cela m'a donné envie de découvrir un autre défenseur des bisons : Dan O'Brien, que j'avais d'ailleurs écouté au Festival America en 2016.
Lien : https://milleetunelecturesde..
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On m'a demandé ‘pourquoi un western ?' J'ai répondu que j'avais choisi un livre de ‘nature writing', mais qu'il fallait remonter au 19ème siècle et aux grands espaces pour encore trouver la vraie nature. C'est aussi un roman d'initiation, voire un roman épique.

Will quitte Harvard pour tenter la grande aventure dans l'Ouest Sauvage. Peu après son arrivée à Butcher's Crossing au Kansas, il accepte d'accompagner un chasseur dans une vallée inexplorée du Colorado où se trouve l'un des derniers troupeaux de bisons. Et oui, nous sommes en 1870 et c'est déjà la fin du bison…

L'auteur nous décrit avec moult détails la dure réalité de la traversée de la grande prairie jusqu'au Colorado (« La réalité du voyage résidait dans les détails de routine »), la chasse et le dépeçage des bisons, l'hiver à cette altitude. Car rien ne tourne comme il faudrait et l'équipée des quatre compères devra passer l'hiver en montagne. A leur retour, ils ne sont plus que trois, le cours de la peau de bison a chuté et Butcher's Crossing est devenue une ville fantôme.

Mais qu'importe, le jeune Will s'est transformé en homme et :
« Il huma à pleins poumons l'air parfumé qui montait de l'herbe, se mêlant à la sueur âcre du cheval. Agrippant fermement les rênes d'une main, il pressa l'animal des talons et s'élança vers les grands espaces. Il ne savait pas où il allait ; sa destination lui viendrait à l'esprit plus tard dans la journée. Dans son dos, il sentit le soleil se lever lentement et l'air devenir palpable. »

Roman initiatique, roman sauvage, western crépusculaire, brutalité de la nature et des hommes, roman honnête écrit en 1960 – à découvrir.
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Un livre qui me faisait de l'oeil depuis trop longtemps !
Nous sommes dans les années 1870. Will est un jeune homme un peu décalé, qui ne sent pas à sa place à Harvard. Il décide alors de partir à l'aventure dans l'Ouest sauvage, et atterrit dans une petite bourgade du Kansas surnommé Butcher's Crossing. Là, il rencontre un chasseur de bisons, qui l'invite à faire partir d'une expédition. Ce chasseur est le seul à savoir où se trouve un des derniers plus gros troupeaux de bisons, cachés dans un endroit reculé des montagnes. Avec le chasseur et quelques autres hommes, Will va partir pour ce voyage, évidemment semé d'embûches et périlleux.
J'apprécie particulièrement la littérature américaine, le style un peu « western » : la description des grands espaces, l'aventure, souvent voyage initiatique... Alors je ne pouvais pas rater Butcher's Crossing, qui contient tout ce que j'aime !
Ce livre de John Williams est une véritable épopée dans les grands espaces, nous faisons faire un bond dans le temps dans le grand Ouest sauvage, à l'époque des chasseurs de bisons, des chercheurs d'or et des trappeurs. Pas de caricatures ici, nous avons seulement une tranche de vie telle qu'elle devait être à l'époque. Les personnages sont brossés avec soin, les paysages parfaitement décrits, et les coutumes et manières de l'époque sont parfaitement représentés.
(Mon avis complet sur mon blog.)
Lien : http://chezlechatducheshire...
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Grand auteur américain du XXème siècle et redécouvert en France au XXIème, John Williams nous livre un western littéraire tout simplement magistral !

Nous sommes dans les années 1870 , un jeune étudiant d'Harvard décide de réaliser son grand rêve : tenter la grande aventure de l'Ouest sauvage. Ce livre ne pouvait que me plaire car il me faisait penser à mes propres espoirs : dès les premières pages je me suis sentie très proche de Will et de ses aspirations. C'est un jeune homme courageux, intrépide, opiniâtre, qui va vivre des péripéties dangereuses et exaltantes. Il a une certaine naïveté de "citadin" qui va vite disparaître au travers de son voyage.

Butcher's Crossing est une épopée incroyable où résonne le son des troupeaux de bisons, des chevaux au galop, des échos dans les montagnes. C'est un pur roman de nature writing où cette nature indomptable, sauvage et majestueuse devient un véritable protagoniste et même le centre de cette histoire. John Williams rend ainsi hommage à un aspect presque perdu de nos jours : le caractère insaisissable de cet environnement fascinant. Will et ses compagnons seront les jouets de sa volonté et devront affronter le froid et la peur.

Lorsque j'ai lu ce livre j'ai pensé à Larry McMurtry, Cormac McCarthy, John Steinbeck : c'est un grand classique littéraire que nous pouvons à présent dévorer grâce à l'initiative des éditions Piranha. La traduction de Jessica Shapiro permet parfaitement d'appréhender le style très singulier de l'auteur ! Il se focalise ainsi plus sur les évènements que sur les pensées des personnages, nous laissant, à nous lecteurs, la possibilité de comprendre par nous-mêmes toutes leurs émotions car nous les ressentons aussi nous-mêmes à leurs côtés.

En définitive, une très belle lecture dans la lignée de tous les grands romans américains !
Lien : http://leatouchbook.blogspot..
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Butcher's Crossing, petite ville paumée du Kansas dans laquelle débarque le jeune Will Andrews, venu de Boston, afin de se confronter à la vie dans l'Ouest. Il va, avec trois autres compagnons, partir sur les traces d'un immense troupeau de bisons dans une vallée méconnue des montagnes du Colorado...
On ne la sent pas trop, cette expédition. Dans quelle galère Andrews, sorte d'idéaliste désireux de donner un sens à sa vie, s'est embarqué ? On craint qu'il ne se fasse bouffer tout cru par ses compagnons, plus aguerris que lui à ce type de vie. En particulier Miller, le meneur, un personnage comme habité par cette chasse. La tension devient d'ailleurs vite palpable au fur et à mesure des événements contraires...
Ce roman possède un charme indéniable, qui se révèle progressivement, prenant toute son ampleur à mon sens dans la troisième partie. L'écriture est belle, assez poétique. Une histoire qui constitue une belle immersion dans l'Ouest sauvage et brutal, une dénonciation aussi de l'extermination révoltante des bisons par l'homme. Un dernier mot en revanche pour m'étonner du quatrième de couverture, présentant un résumé du récit en partie erroné. Exaspérant...
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Ce n'est pas du tout le genre de livre auquel je m'intéresse d'ordinaire mais il m'intriguait. Même si, dans l'ensemble, c'est plutôt une lecture positive qui nous montre bien les prémices du mauvais chemin que nous avons pris, je suis tout de même un peu déçue car certains aspects m'ont dérangées.

La rencontre de Will Andrews avec Miller par exemple ne m'a pas plu. Ou plutôt, c'est la rapidité avec laquelle les deux hommes vont se faire mutuellement confiance qui m'a dérangée. 3 secondes et demi et hop on se serre la main, on se confie de grands secrets et on donne de l'argent, tout est fait? Non, ça fonctionne pas chez moi, ça me dérange cette facilité. J'ai cherché l'arnaque dans les pages suivantes et je me suis rendue compte qu'il n'y en avait pas… étrange…

La seconde partie du livre est consacré à leur voyage jusqu'au Colorado et je me suis dit, là, ça va être génial. Bon, encore loupé. Cette destruction massive des bisons, cette folie des peaux m'a dégoûtée. Je m'attendais à de la beauté et je me retrouve face à une boucherie. Quant à la tempête…. je m'abstiendrais de tout commentaires, je ne veux pas spoiler le livre mais beaucoup de déceptions.

La quatrième de couverture vante une histoire qui, à mes yeux, n'a pas été écrite. c'est une autre histoire qui se déroule. Certes, on peut en tirer une certaine morale et on voit bien, l'opposition entre le monde des hommes qui changent à une vitesse alarmante et la nature, lente qui poursuit son chemin, inexorablement, et qui subit la folie des hommes. C'est finalement un triste constat. Ce livre nous montre bien les dangers et les dommages de la surproduction, déjà à cette époque, c'est une annonciation funeste de notre culture moderne décadente et destructrice.

Alors, oui, cette mise en garde a trouvé un écho en moi, j'y suis très sensible mais, le livre en lui-même ne m'a pas apporté ce que j'en attendais quand je l'ai acheté. Il vendait du rêve et j'ai lu un cauchemar.
Lien : https://loeildesauron1900819..
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John Edward Williams (1922-1994), est un universitaire, poète et écrivain américain. Après des études supérieures à l'université de Denver, il poursuit ses études à l'université du Missouri et décroche un PhD en littérature anglaise en 1954. A partir de l'automne 1955, il enseigne la littérature et l'écriture créative à l'université de Denver. Son oeuvre est courte, deux recueils de poèmes ainsi que quatre romans et en laisse un inachevé. Butcher's Crossing son second roman date de 1960, traduit en 2016, il vient d'être réédité en collection de poche.
Seconde moitié du XIXème siècle. William Andrews abandonne ses études à Harvard et quitte Boston avide de découvrir l'Ouest sauvage. A Butcher's Crossing, un bled du Kansas, avec ses économies il finance une expédition de chasse aux bisons avec Miller, un chasseur expérimenté, Charley Hodge son pote estropié chargé de conduire le chariot et faire la cuisine, Fred Schneider l'écorcheur. Depuis une petite dizaine d'année, Miller rêve de retourner dans le Colorado où il connait une vallée encaissée entre les montagnes où vit un énorme troupeau de bisons dont les peaux promettent de substantiels bénéfices…
Je pensais avoir déjà lu le meilleur du Nature Writing, ce roman de John Williams – écrivain qui m'était inconnu jusqu'alors – m'a sévèrement remis à ma place ! Quel roman ! Quelle claque !
Les quatre hommes partis vers une sorte de Shangri-La, où vivrait à l'écart du monde et des chasseurs un immense troupeau de bisons dont seul Miller connait l'existence, vont affronter de nombreux déboires. Pourtant, ce qui ressemblait à un rêve de fou, va s'avérer réalité. Les animaux coincés dans la vallée seront abattus un à un par le chasseur, plusieurs milliers de bêtes, aussitôt écorchées sur place, les peaux mises à sécher (Dan O'Brien a dû pleurer de rage en lisant ce bouquin). Mais alors que leur fortune semble faite, Miller aveuglé par son ambition et refusant d'écouter Schneider le poussant à rentrer chez eux, le groupe se laisse surprendre par le blizzard et une tempête de neige qui ferme la vallée et les obligera à passer l'hiver sur place, dans des conditions précaires. le dégel venu, les gars chargés d'une partie des peaux retournent à Butcher's Crossing ; ce qu'ils ont déjà enduré ne sera rien à côté de la cruelle désillusion qui les attendra au terme de leur périple.
Tout est magnifique dans ce bouquin. L'écriture est sublime, riche en détails sentant le vécu dans l'aspect pratique de la vie des chasseurs ; les notations liées aux décors, aux sons et même aux odeurs vous font réellement croire que vous êtes aux côtés des acteurs. Il n'y a pas une ligne en trop, aucune digression stérile, c'est étrangement dense et aéré à la fois, très prenant et difficile à lâcher tant on s'attache à ces hommes et leur aventure harassante.
Les caractères des acteurs forment un tout très réussi : Miller, le trappeur qui connait la nature sur le bout des doigts, aguerri à cette vie difficile et riche en pièges, animé par cette quête qu'il rumine depuis tellement longtemps, prêt à tous les sacrifices pour réaliser son rêve ; Charley Hodge son vieux copain, estropié par cette nature qui sait être terrible, partage son temps libre entre whisky et Bible ; Schneider, l'écorcheur chargé d'éplucher les bisons pour récupérer les peaux, il est là pour le fric, toujours à ricaner ; enfin Will, le héros de cette histoire et de ce périple initiatique, innocent dans tous les sens du terme et issu de la bourgeoisie bostonienne, son désir de nature et de liberté peut s'apparenter ( ?) dans l'esprit de l'écrivain, à ce mouvement qui agitait la jeunesse du début des années 60, tout quitter et partir sur les routes… « Il aspirait à retrouver la source et l'essence du monde. »
Ceux qui reviendront de cette odyssée auront la malheureuse surprise de constater que le monde a changé durant leur absence, l'économie de l'an passé n'est plus celle d'aujourd'hui, un genre de krach économique a frappé, rendant leur espoir de butin vain. Mais pour Will, l'important est ailleurs, désormais un homme, un vrai, une nouvelle vie va commencer, rien dans les poches mais l'esprit libre…
Ma-gni-fi-que !
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Très beau roman plutôt noir avec pour toile de fonds les grands espaces américains et des bisons par milliers. Des personnages bien campés auxquels on s'attache au fil des pages et qui mènent chacun leur vie tout en partageant leurs rêves et leurs misères. La femme est aussi présente, au début et à la fin, comme s'il lui incombait d'ouvrir et de refermer ces belles pages
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