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EAN : 9782378152659
448 pages
Talent Editions (21/09/2022)
3.97/5   116 notes
Résumé :
Au fin fond de la Louisiane, les monstres ne se cachent pas dans les bois. Ce ne sont pas des ombres dans les arbres ou des créatures invisibles tapies dans des recoins sombres. Dans la chaleur moite et écrasante d’une nature sauvage, les monstres se cachent à la vue de tous.

La vie de Chloe Davis a basculé l’été de ses douze ans, quand six jeunes filles ont disparu au sein de sa petite communauté. Le tueur en série est arrêté et mis en prison tandi... >Voir plus
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A lire la quatrième de couverture, on se rend compte qu'on est dans le bon vieux thriller avec tueur en série et disparitions mystérieuses. Même si pour certains lecteurs, cela peut être rébarbatif d'assister à cette même configuration, je n'ai pas trouvé que c'était le cas avec « Une lueur dans la nuit », bien au contraire.

Pourquoi me demanderez-vous ? L'élément primordial qui me vient directement à l'esprit est qu'on n'est pas, pour une fois, « du côté » des victimes. En effet, l'histoire est centrée sur Chloé Davis – alors âgée de 12 ans – est la fille d'un tueur en série de jeunes femmes qui a été condamné à la perpétuité pour ces meurtres et ce, même si les corps n'ont jamais été découverts.

J'ai beaucoup apprécié ce choix opéré par l'autrice américaine, Stacy Willingham, car elle est parvenue à retranscrire les sentiments et émotions qui peuvent entourer la famille d'un meurtrier. Bien entendu, cela reste une oeuvre de fiction et surtout un thriller psychologique. Mais cela permet une certaine cohérence dans les actes et les pensées de cette héroïne principale. Je tenais à aborder cet élément car il reste quand même singulier dans la littérature noire.

Ensuite, le récit se situe en Louisiane, un Etat américain qui n'est pas fort utilisé comme décor dans les livres que j'ai lus jusqu'à présent. Pourtant, avec ses marécages et bayous, sa chaleur et son taux d'humidité, c'est un lieu parfait pour que ce livre y prenne place.

Il y a de multiples rebondissements et l'ambiance paranoïaque qui règne font que c'est très addictif comme lecture. On se met à douter de tout le monde et nos certitudes sont rapidement mises à mal.

Franchement, certains écrivains et écrivaines parviennent encore à me surprendre malgré mes nombreuses lectures de thriller et suspens et pas à me dérouler simplement une histoire cousue de fil blanc. Cela a été le cas avec ce thriller !

Sachez, pour terminer, que les droits ont déjà achetés pour en réaliser une adaptation sous la forme d'une série avec Emma Stone. Vu la plume très visuelle, cela n'est d'ailleurs pas étonnant et je ne manquerai pas de la regarder, tant le roman m'a beaucoup plu.
Lien : https://www.musemaniasbooks...
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Voici mon retour de lecture sur le thriller Une lueur dans la nuit de Stacy Willingham.
La vie de Chloe Davis a basculé l'été de ses douze ans, quand six jeunes filles ont disparu au sein de sa petite communauté, en Louisiane.
Le tueur en série est arrêté et mis en prison tandis que le reste de sa famille doit essayer de vivre avec cette culpabilité.
Car le tueur n'est autre que son propre père, et c'est Chloe qui en a découvert la preuve.
Vingt ans plus tard, alors que son père purge encore sa peine après avoir avoué les meurtres, Chloe est installée comme psychologue à Bâton-Rouge et essaye de mener une vie adulte équilibrée.
Quand une autre jeune fille de quinze ans vient à disparaître dans des circonstances similaires, les souvenirs torturés de cet été fatal remontent à la surface.
Une lueur dans la nuit est un bon thriller que j'ai pris plaisir à lire.
J'ai apprécié le prologue où l'autrice nous explique qu'en réalité les monstres ne se cachent pas dans les bois. Ce ne sont pas des ombres dans les arbres ou des créatures invisibles tapies dans des recoins sombres. Eux se cachent à la vue de tous..
Ce prologue fait monter la pression et le roman en lui même est vraiment bien ficelé.
On part de classiques disparitions de jeunes filles pour lire un thriller captivant qui nous emmène de fausses pistes en fausses pistes.
Tout tourne depuis ses vingt dernières années autour de Chloé Davis, fille de l'homme responsable de la disparition (et des meurtres même si les corps n'ont jamais été retrouvés) de six jeunes filles !
Elle a trouvé des preuves, les a fait parvenir à la police.. et son père a été arrêté ! Difficile à supporter pour une gamine de 12 ans. Elle devient psychologue, pour tenter d'aider à son tour des jeunes filles.. pour réparer, peut-être ? En tout cas, difficile pour nous lecteur de ne pas y penser.
Chloé essaye d'avoir une vie normale, elle va même se marier, vingt après tout ça. Mais rien n'est facile quand on a vécu quelque chose de ce genre, surtout quand des jeunes filles disparaissent de nouveau, vingt ans après !
Qui donc a fait le coup ?
Pas son père, toujours en prison !
Alors, est ce un copieur ? Pour quelle raison ? Un détraqué ? Un hommage ?
De nombreuses questions se posent et les réponses sont fascinantes, sous nos yeux depuis le début et pourtant je n'avais presque rien vu venir. Presque, car j'ai quand même eu quelques doutes à un moment. J'avais raison mais comme je n'ai pas deviné un tas d'éléments, avoir raison sur certains points n'a pas gâché le plaisir de la lecture.
Chloe est une trentenaire cassée par la vie, par les évènements du passé. Elle est presque paranoïaque, à moins qu'elle ne le soit pas du tout.. qui sait.. Son personnage a une psychologie bien fouillée, et j'ai pris plaisir à la suivre.
Une lueur dans la nuit est une très bonne surprise que je vous invite à découvrir et note quatre étoiles et demie :)
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2019, Louisiane. Chloe Davis est une psychiatre au lourd passé. Son père purge une peine de prison pour le meurtre de jeunes filles. Les faits se sont déroulés vingt ans plus tôt à Breaux Bridge, petite ville de la région cajun dans laquelle Chloe a grandi avec son frère, Cooper. Aujourd'hui, la jeune femme a construit sa vie admirablement bien. Elle est sur le point de se marier. le métier qu'elle exerce n'est pas un hasard. Son objectif est d'aider d'autres victimes à guérir de traumatismes.

Alors qu'elle tente de mener une vie équilibrée, un appel téléphonique la ramène dans de sombres souvenirs. Un journaliste d'un quotidien réputé dans tout le pays écrit un article sur son père et souhaite s'entretenir avec elle. Au même moment, une jeune fille disparaît dans des circonstances identiques qu'en 1999. le passé refait surface et tout le travail accompli jusqu'ici est perturbé.

Je remercie les éditions Talent pour cette lecture.

J'ai adoré ce roman du début à la fin. Je l'ai dévoré en deux après-midi. Il s'agit d'un thriller psychologique qui se déroule en Louisiane, plus précisément dans la capitale de l'écrevisse, où chaleur et moiteur remplissent tous les étés. Il y a beaucoup d'activités à Breaux Bridge entre sa nature et ses marécages, jusqu'à cet été 1999...

Tout au long du livre, on suit Chloe et le travail qu'elle accompli chaque jour pour vaincre ses peurs et les traumatismes de l'enfance. Elle essaie de mener une vie normale, saine grâce à Patrick, son fiancé, qui ne manque pas d'idées. Et ça fonctionne. le jour où elle voit un avis de recherche d'une jeune fille disparue au même endroit et dans les circonstances similaires que son père a fait disparaître, ses pires craintes refont surface.

Ce livre est absolument addictif. La tension psychologique est à son comble. On recherche de la vérité à tout prix dans une ambiance sombre où règnent la paranoïa, les mensonges, et où rôdent des esprits malsains.

Une excellente lecture !

Le petit plus : sachez que l'histoire va bientôt être adaptée en série.

Lien : http://labibliothequedemarjo..
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C'est très étrange de commencer la rédaction de cet avis, mais je n'ai pas aimé l'héroïne. Je n'ai jamais été « avec elle », je n'ai jamais été émue avec elle. Je n'ai même pas réussie à avoir de l'empathie pour elle en dépit de ce qu'elle a traversé. Pour quelles raisons ? Cela tient d'abord à pas grand chose, une petite phrase qu'elle a dite, et qui m'a fait ouvrir les yeux sur l'univers dans lequel elle vit : dans ce livre, toutes les adolescentes (et les femmes aussi) sont minces, très minces. La phrase, la voici (ou plutôt, la proposition) : « une maigreur que seul le métabolisme d'un corps adolescent peut vous octroyer ». Je dédis cette phrase à toutes les ados à qui une malheureuse part de gâteau valait trois jours de régime pour perdre le poids pris, à celles aussi qui ont souffert de boulimie : le « métabolisme adolescent » n'empêche pas la prise de poids. Bref, l'héroïne est psy, et méconnait certaines pathologies.
Pas sa faute, me direz-vous. Elle est devenue psy justement parce que tous les psys qu'elle avait consulté pendant son adolescence n'avait été d'aucun secours pour elle, elle n'était qu'un catalogue de pathologie à elle toute seule. Aucun psy n'a pu aider son frère non plus. Que s'est-il passé ? Leur père est un tueur en série, il a tué six jeunes filles, six adolescentes, toutes différentes. C'est Chloé qui a trouvé des preuves contre son père, c'est à cause d'elle – ou grâce à elle, selon le point de vue adopté – qu'il a été condamné. Aujourd'hui, la vie de Chloé est pourtant sereine, elle est fiancée, son cabinet de consultation ne manque pas de patients. Son frère Cooper n'apprécie pas son fiancé – réflexe quasi normal pour un grand frère, dans cette situation. Tout pourrait aller presque bien, si ce n'est qu'un journaliste veut à toute force interviewer Chloé pour écrire un article spécialement pour les vingt ans de l'affaire. Et une jeune fille disparaît, exactement comme cela avait été le cas vingt ans plus tôt. Qui a pu agir ainsi ? Un imitateur ? Un admirateur ? J'avais pour ma part une troisième proposition à fournir, mais je pense que toutes les personnes qui ont l'habitude de lire des romans mettant en scène des tueurs en série y auront pensé aussi.
Chloé est psy mais elle n'a jamais pu se délivrer de ses peurs, de ses obsessions. A douze ans, le cocon dans lequel elle avait été élevée, qui l'avait préservé, a brusquement éclaté et elle a dû voir la réalité telle qu'elle était vraiment, non celle qu'elle avait vu jusqu'à présent, ses parents ayant tout fait pour la préserver. Ce n'est pas que tout l'effraie depuis, c'est plutôt que certaines situations la mettent sur le qui-vive et qu'elle n'interprète pas toujours tous les indices de la bonne manière. Si elle était la seule à agir de cette manière, eh bien les enquêtes policières seraient résolues beaucoup plus vite, ce qui n'est pas le cas (ni dans les romans, ni dans la vie). Note : si tout le monde était parfaitement et entièrement sincère envers elle, peut-être ne s'emballerait-elle pas si vite.
Le roman nous fait passer du présent au passé, reconstituant l'affaire originelle, amenant aussi la Chloé du présent à se remémorer ce qui s'est passé, sans toutefois que l'adulte qu'elle ait ne jette (du moins, pas tout de suite) un regard neuf sur ce qu'elle a vécu, parce qu'elle était trop à l'intérieur de l'affaire, proche à la fois du coupable et de la première victime, qu'elle admirait, comme une ado de douze peut admirer une ado de quinze ans (une ado de douze ans naïve, oui, je sais, je me répète, il n'est d'ailleurs jamais question ni des premières règles, ni de la puberté, Chloé, à douze ans, semble encore très « petite fille », un présupposé peut-être nécessaire pour sa naïveté). Il lui faudra être bousculée, malmenée, devenir adulte si j'ose dire, pour qu'elle se pose (enfin) quelques questions, pour qu'enfin, les deux affaires, l'ancienne comme la nouvelle, évoluent.
Un roman différent, mais qui ne me donne pas forcément envie de découvrir un autre livre de cette autrice.
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Je remercie #NetGalleyFrance et Talent éditions pour la lecture de #Unelueurdanslanuit de Stacy Willingham.

Chloé se marie avec Patrick dans quelques mois, mais personne ne la mènera à l'autel. Sa mère n'est "pas en état" et son père est en prison : c'est un tueur en série. Reste son frère, Cooper, mais ce dernier n'aime visiblement pas son fiancé... Lorsque des femmes disparaissent autour de Chloé, tous ses plans sont remis en question : est-ce un imitateur qui copie les meurtres de son père ? Chloé est-elle visée par ces assassinats ? Ou est-ce encore des élucubrations de "Chloé la ravagée" ?

On entre rapidement dans la tête du personnage principal, qui raconte son histoire, passée et présente, à la première personne. Chloé se dévoile avec parcimonie au debut du roman puis avec plus de précision au fil des pages. Elle gagne en profondeur vers le milieu de l'intrigue, pour finir complètement achevée (à plusieurs égards) dans les dernières pages. Cependant, je ne peux pas dire que je me soies sincèrement attachée à elle. C'est plutôt l'intrigue qui a portée ma lecture. Et le postulat de départ du livre : comment vivre sa vie sereinement lorsque son propre père a avoué des meurtres en série ? J'ai trouvé cet angle très original : la description de ce statut particulier est traitée "de l'intérieur" par Stacy Willingham. En revanche, j'ai trouvé son style un peu pauvre, et j'ai repéré plusieurs maladresses (d'écriture ou de traduction ?). Ces manques m'ont parfois gênée dans mon expérience de lecture, ce qui explique ma lenteur à finir ce roman...
Comme souvent dans ce genre de livre, le dénouement de l'intrigue passe par plusieurs détours et circonvolutions avant d'aboutir. Cela entraîne quelques longueurs et le rythme d'ensemble est assez inégal, mais cela s'explique aisément pour servir l'enquête. Malheureusement, j'ai trouvé la conclusion assez attendue. Les principaux suspects de départ ne sont pas très crédibles et on se pose vite des questions sur les personnages finalement incriminés. Malgré cela, j'avais envie de terminer le roman pour voir si mon raisonnement tenait la route. Après tout, n'est-ce pas ce qu'on attend d'un roman policier ou d'un thriller ?

#Unelueurdanslanuit #NetGalleyFrance
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Citations et extraits (29) Voir plus Ajouter une citation
L’apprentissage de la peur devrait être une lente évolution, une progression par étapes qui commencerait avec le père Noël de la galerie commerciale du coin pour passer au croquemitaine sous le lit. Du film interdit aux moins de seize ans qu’une baby-sitter vous laisse regarder, à l’inconnu derrière les vitres teintées d’une voiture tournant au ralenti qui laisse son regard couler sur vous une seconde de trop alors que vous marchez sur le trottoir à la nuit tombante. À mesure que vous le voyez se rapprocher dans votre vision périphérique, vous sentez votre rythme cardiaque s’affoler dans votre poitrine, dans votre nuque et jusqu’à l’arrière de vos orbites. C’est un apprentissage, une progression constante d’une menace perçue à une autre, chaque chose suivante étant raisonnablement plus dangereuse que la précédente.
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Dans mon cas, le concept de peur s'est abattu sur moi avec une force telle que mon corps d'adolescente n'en avait jamais fait l'expérience. Une force tellement étouffante que cela devenait douloureux de respirer. Et c'est à ce moment précis, au moment de cette chute, que j'ai compris que les monstres ne se cachent pas dans les bois ; ce ne sont pas des ombres dans les arbres ou des choses invisibles tapies dans les recoins sombres. Non, les vrais monstres vivent au grand jour...Et il y avait un monstre, en particulier, que j'ai appris à craindre par-dessus tout.
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Je ne suis pas devenue psychologue pour tirer avantage de cette faille, pour éviter de traiter avec les dealers du centre-ville au profit de la sécurité de la vitre coulissante d’un drive et pour remplacer un petit sachet en plastique par un sac en papier avec le logo de la pharmacie agrémenté d’un ticket de caisse, de bons de réduction pour du dentifrice à moitié prix et un litre de lait à deux pour cent de matière grasse. Je suis devenue psychologue pour aider les gens – encore un cliché, mais c’est vrai. Je suis devenue psychologue parce que je comprends ce que ça fait, que d’être traumatisée ; je le comprends d’une façon qu’aucun enseignement, si complet soit-il, n’arrivera jamais à l’inculquer. Je comprends comment le cerveau peut radicalement faire merder toutes les autres fonctions de votre corps, et comment vos émotions peuvent déformer les choses – des émotions dont vous ne soupçonniez même pas l’existence. Comment ces émotions peuvent vous empêcher de voir, de penser et d’agir clairement. Comment elles peuvent vous faire souffrir de la tête jusqu’au bout de vos doigts, en vous faisant vibrer d’une douleur sourde et palpitante qui ne vous quitte jamais.
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Je pensais savoir ce qu’étaient les monstres.
Quand j’étais petite, je me les imaginais comme des ombres mystérieuses tapies derrière les vêtements dans ma penderie, sous mon lit, dans les bois. C’était une présence que je pouvais sentir physiquement derrière moi, se rapprochant tandis que je rentrais à la maison à pied après l’école dans l’éclat du soleil couchant. Je ne savais pas comment décrire cette sensation, mais au fond de moi je savais qu’ils étaient là, même si je ne pouvais pas l’expliquer. Mon corps ressentait leur existence. Il ressentait le danger, de cette façon dont votre peau semble fourmiller juste avant qu’une main ne se pose sur une épaule qui ne s’y attend pas, ou comme quand vous comprenez que ce sentiment de malaise dont vous n’arriviez pas à vous défaire était une paire d’yeux qui s’enfonçait à l’arrière de votre crâne, à l’affût derrière les branches d’un buisson qu’on aurait trop laissé pousser.
Mais vous vous retournez, et les yeux ont disparu.
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C’est un désir ardent de se sentir vivant, car il est impossible de se sentir autrement que vivant quand nous nous retrouvons en sa présence. Alors le monde se couvre d’une ombre brumeuse, et l’existence même du danger est la seule preuve dont nous avons besoin pour en être convaincu : nous sommes vivants. Nous respirons.
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