Une histoire sombre et étouffante, rythmée par les bombardements aériens du IIIEme Reich sur Londres.
L'auteur donne la parole à trois différents personnages pour raconter son histoire, trois personnages qui ne se connaissent pas au départ.
Renée, une prostitué, Lucy une jeune fille qui rêve du grand amour et Jim un pilote anglais qui vit au jour le jour sans jamais être certain de rentrer de son prochain vol.
Une prostitué est découverte sauvagement assassinée. le lecteur découvrira vite l'auteur du crime, l'auteur gomme le suspens sur l'identité du tueur et s'applique à décrire les faits au travers des trois récits, trois tons différents, trois visions différentes , qui vont converger vers un même point.
Je n'ai pas été transportée, ni par l'intrigue trop simple, ni le style un peu sec ! Un thriller doit me surprendre et garder un suspens et ces points manquent.
Les personnages secondaires sont peu exploités et certains auraient sans doute mériter que l'auteure les creuse un peu plus .
L'atmosphère est quant à elle très bien rendue, Londres sous les bombardements, les abris dans lesquels se retrouvent les habitants.
Plutôt déçue et si quelqu'un a un meilleur titre à me conseiller je suis d'accord pour réessayer cette auteure.
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On connaît le psychopathe ; on connaît les victimes potentielles.
La, ou plutôt les questions sont : qui va mourir, qui va survivre ?
J'ai bien aimé la façon dont les pensées et les sentiments de chacun des protagonistes sont livrés au lecteur, chapitre après chapitre.
Mon personnage préféré était Rene ; j'aurais souhaité que rene en réchappe plutôt que Lucy ou encore mieux qu'aucune des deux ne se fasse tuer et qu'elles s'allient pour lui échapper. Mais le dénouement choisi par l'auteur, avec son lot d'injustices et de fatalités, est hélas plus conforme à la vraie vie.
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style et écriture hachés, cela donne l'impression d'un brouillon. banal et sans surprise ...
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...Il faisait jour, mais tout était gris et humide de crachin. Je sentais l'odeur du gaz qui s'échappait de la conduite éclatée. Pas beaucoup de dégâts, à part les fenêtres soufflées quelques portes plus loin. Les nôtres ont tenu bon - nous étions sans doute suffisamment éloignés. J'en conclu que les dégâts devaient se trouver sur le devant des maisons, pas derrière...