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Jacques Guiod (Traducteur)
EAN : 9782811201258
320 pages
Milady (29/05/2009)
3.72/5   113 notes
Résumé :
« Quelque chose tue mes hommes. »

Tel est le message d'un officier allemand dont l'escadron est stationné dans un donjon perdu dans les brumes de Transylvanie. Le capitaine Woermann y voit ses hommes périr les uns après les autres dans des conditions atroces.
Une escouade SS est envoyée en renfort mais découvre, à son arrivée, une situation terrifiante. Invisible et silencieux, l'ennemi fait une victime par nuit, laissant un corps mutilé et vid... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (17) Voir plus Ajouter une critique
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En 1941, un escadron allemand est stationné dans un fort d'une région isolée de Transylvanie. Très vite, des hommes de l'escadron sont massacrés par… par quelque chose. Tel est l'argument de « la forteresse noire » de F. Paul Wilson, un roman qui doit sans doute une grande part de son succès à l'adaptation cinéma qui en a été faite par Michael Mann. D'ailleurs, c'est ce film qui m'a donné envie, il y a déjà longtemps, de lire le livre. Et pourtant, je ne l'ai même pas vu ce film mais ce titre, ce résumé et certains visuels du film hantent mon imaginaire depuis fort longtemps. Il faut dire que le métrage de Mann était régulièrement cité dans le magazine Mad Movies que j'ai lu pendant très longtemps. le bilan de ma lecture est assez mitigé. Si la plus grande partie du roman est enthousiasmante, le dernier tiers s'est avéré très décevant.

L'argument de départ est formidable et Wilson le traite très bien pendant la majeure partie du récit. Tout n'est pas parfait, les personnages sont caractérisés de façon un peu grossière et simpliste mais ça fonctionne quand même. Il faut dire qu'on est vraiment dans du page-turning durant une bonne partie du bouquin. Les pages se tournent toutes seules. Il y a une ambiance véritablement angoissante, une atmosphère et une tension à se ronger les ongles.

Et puis, patatras ! Dans la dernière partie, cette ambiance s'effondre et le suspense disparait. A mon avis, cette chute se situe à partir du moment où la menace est clairement identifiée et que cette menace commence à devenir très loquace. Putain qu'il est bavard le Molasar ! Je trouve que ce genre de récit tire sa force du mystère, une fois qu'on connait les tenants et les aboutissants, l'ambiance est moins intense et le récit prend plutôt l'allure d'un simple récit d'action. Et, selon moi, ce qui rend une créature effrayante, c'est aussi sa dimension mystérieuse. Et une créature qui disserte beaucoup n'a plus de dimension mystérieuse et cesse d'être effrayant. Les loups-garou sont effrayants parce que, lorsqu'ils sont sous leur forme surnaturelle, ils ferment leurs gueules, enfin bon ils grognent hein mais ils ne racontent pas leur vie, ils ne négocient pas avec leurs éventuelles victimes. C'est aussi pour ça que Michael Myers a toujours été plus flippant que Freddy Krueger. Et ce côté volubile donne lieu à des trucs vraiment ridicules, Molasar qui, voyant surgir son antagoniste, s'exclame « Toi ?! », j'ai eu envie de rire tellement ça ressemble à une série B maladroite.
Il n'y a pas que Molasar qui est bavard dans ce dernier tiers, Wilson aussi est très bavard. L'auteur explique en long et en large les tenants et les aboutissants, les pourquoi, les comment… Bla bla bla. Je me suis vraiment ennuyée dans cette dernière partie et c'est dommage de finir une lecture sur cette note.

Cette semi-déception ne m'a pas ôtée l'envie de voir le film de Mann, je suis curieuse de voir comment ce réalisateur à la tonalité visuelle très année 80 s'est approprié cette ambiance quasi gothique.
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Elle a été conquise moult fois, cette forteresse. D'abord paru aux Presses de la Cité en 1982 sous le titre le donjon, le roman sort aussi la même année chez France Loisirs. Deux ans plus tard, on le trouve chez J'ai Lu, rebaptisé La forteresse noire par un traducteur fantaisiste, pas très au fait de l'architecture médiévale. The Keep, c'est un donjon, pas une forteresse complète, et où tu vois du black dans le titre en VO ?… le bouquin poursuit sa route pour atterrir en 1993 en Pocket Terreur, avant d'être réédité chez Fleuve Noir dans la collection Thriller fantastique quand le catalogue change de main en 2003. Depuis il a été repris par Milady en 2009 sous une couverture qui pique les yeux. Dans cette chronique, nous parlerons de la version Fleuve. Enfin, “nous”… C'est je qui va parler pendant que vous lisez en silence. J'entends un mot, un seul, et c'est direct un tour gratuit en catapulte pour un cours immersif de balistique en tant que projectile.


Avril 1941, une escouade de la Wehrmacht est envoyée garder une vieille forteresse dans les montagnes de Transylvanie. Petite mission pépère de surveillance pour le capitaine Woermann. Vétéran de la Grande Guerre, archétype de l'officier prussien, Woermann n'aime pas les nazis, mais comme ils ont un super plan pour une grande Allemagne avec de la guerre et de la conquête dedans, il les supporte. Sans doute le personnage le plus intéressant du roman, parce que ni tout noir ni tout blanc. À défaut d'incarner le gentil de l'histoire, il s'impose comme le moins méchant, embarqué dans le mauvais camp. Alors bon, Woermann reste un bon gros réac militariste de droite, m'enfin on en trouve chez les Alliés aussi (au hasard, De Gaulle).
La sinécure en altitude tourne court pour les Teutons quand une sentinelle se fait égorger en pleine nuit. Puis une autre la nuit suivante, et encore une autre celle d'après, et ainsi de suite. Dépassé, Woermann demande du renfort.
Arrive à la rescousse un peloton SS sous les ordres du major Kaempffer. Un poème. Cruel pour masquer sa lâcheté ; bourrin qui propose, quel que soit le problème, la même solution : fusiller des civils ; fanatisé, antisémite, assoiffé de pouvoir… le gars coche toutes les cases du cahier des charges. Et le pire, c'est qu'il n'a rien d'une caricature, même si on parfois l'impression qu'il flirte avec le too much. Des comme ça, y en avait plein la SS, véritable symposium de sociopathes, dont le moins barjot aurait fait passer Hannibal Lecter pour un petit chanteur à la croix de bois. Wilson a dû étudier son sujet, vu comment le carriérisme de Kaempffer est bien rendu. Parce que c'était ça aussi, la SS, un État dans l'État qui fonctionnait comme beaucoup d'entreprises de maintenant : la chasse à la meilleure place, où tous les coups sont permis, quitte à mettre des bâtons dans les roues des collègues. On magouille, on évince, on fait du zèle pour être bien vu de la direction, on tape un peu dans la caisse au passage…


La cohabitation entre les deux officiers ne va pas se passer comme sur des roulettes, opposés qu'ils sont en tous points (arme d'appartenance, tempérament, valeurs, méthodes, théories sur l'identité de l'assassin…). Pendant qu'ils se bouffent le nez, les hommes continuent à tomber au rythme d'un par nuit, ce qui ne fait pas les affaires de Woermann, pressé de mettre les voiles pour prendre la tête d'un camp de la mort à Ploiești.
Là-dessus vient se greffer le professeur Cuza, un érudit juif qui connaît bien cette forteresse de pierre noire à l'architecture étrange. Enfin, ça, c'est la théorie, parce qu'en vrai, on se rend compte qu'il n'en sait pas beaucoup plus que les autres, ce qui rend sa présence quelque peu artificielle. Wilson a eu le bon goût d'exploiter la religion du personnage au-delà de l'évidente opposition avec Kaempffer. Disons sans spoiler que certaines questions posées sur le rapport des créatures surnaturelles au symbole de la croix ont une résonance particulière dans le cas d'un personnage juif. Cuza aurait pu être un des personnages les plus intéressants du bouquin, si l'auteur ne l'avait pas encombré de sa fille Magda. On suit plutôt ses pérégrinations à elles, qui ont le défaut d'être creuses, donc de renvoyer son paternel au second plan pour rien. Magda se limite à une astuce d'écriture et ça se voit. Elle est là, parce qu'il fallait caser un personnage féminin. Sauf que si c'est pour ne rien en faire, autant ne pas en mettre. Sa seule utilité se résume à une fonction basique et dépassée : la tarte à la crème de la romance avec le gentil de l'histoire, Glenn le rouquin.
Glenn… Personnage soi-disant mystérieux mais en réalité insipide, bancal et mal construit, tout en facilité d'écriture qui le voit employé comme un deus ex machina. de lui, on ne sait rien, parce que l'auteur triche en ne donnant aucune information… au point de devenir contre-productif. le mystère ne naît pas du rien mais du pas grand-chose. On voit le Glenn bricoler des trucs et des machins censés nous intriguer, sauf qu'on s'en fout, faute d'avoir un bout de bribe d'embryon de début d'amorce des tenants et aboutissants de ses actes, un petit quelque chose qui donnerait du grain à moudre à notre imagination. La meule tourne à vide et puis s'arrête au bout d'un moment.


Avec cette galerie en dents de scie, le roman ne pouvait que suivre le même chemin.
La forteresse noire tient son pari pendant sa première moitié. À la page près. L'édition Fleuve affiche 350 pages au compteur, l'histoire part en vrille à la cent soixante-quinzième. Pile au milieu.
Le château perdu en Transylvanie fonctionne comme décor fantastique. Bon cadre, classique, mais bien troussé. Des éléments d'informations distillés au compte-gouttes par un Wilson en grande forme pour n'en dévoiler ni trop ni trop peu. Ambiance oppressante autour de ces morts successives et inexpliquées, que l'auteur réussit à étirer sur la moitié de l'ouvrage sans donner l'impression de répétition ni d'ennui, alors que le schéma reste le même (donc bien joué). Des hypothèses qui laissent la porte ouverte à toutes les explications. Des partisans pourraient être derrière ces attaques. Ou un type tout seul planqué dans le castel, un Philippe Noiret roumain rejouant le vieux fusil. Ou, moins rationnel, un vampire, parce que dans la région qui a vu naître Dracula, pourquoi pas ? Ou… autre chose.
Et patatras. J'avais senti le vent tourner à un tiers du bouquin, quand Wilson balance une flopée une flopée de titres fictifs : le de Vermis Mysteriis, le Culte des Goules, les Manuscrits Pnakotiques, le Livre d'Eibon, Les Sept Livres Cryptiques de Hsan, les Unaussprechlichen Kulten et bien sûr al Azif (aka le Necronomicon). C'est trop ! “Merlin, il met pas tout à chaque fois”, comme dirait Perceval. Ce foisonnement pour rattacher à la dédicace de l'ouvrage à Clark Ashton Smith, Robert E. Howard et bien sûr Lovecraft. Sauf qu'il ne rime à rien. Artificiel au possible. Les Allemands tombent “par hasard” (aka grosse ficelle scénaristique) sur cette intégrale du démonologiste dont on se demande ce qu'elle fiche là. Rien, mais alors rien DU TOUT, ne justifie la présence cette bibliothèque de l'enfer dans la forteresse. Les bouquins seraient largués en parachute au milieu de la cour que le résultat ne semblerait pas plus artificiel. L'art de torpiller une excellente mise en place avec le détail de trop.
L'histoire se tient encore sur la cinquantaine de pages suivant cette découverte abracadabrante et puis la créature est révélée et elle est nase de chez nase.
Pire que les quelques imprécisions contextuelles (la Garde de Fer en avril 1941 alors qu'elle est dissoute depuis janvier de la même année, bravo…) et les lourdes erreurs de casting (Glenn et Magda), Wilson a commis une faute majeure, rédhibitoire pour un ouvrage fantastique : il a foiré son monstre. Et là-dessus, il en rate la révélation. Double combo.
À partir de là, sprotch, le roman s'effondre d'un coup sans jamais parvenir à redresser la barre, pour se gaufrer dans un final foireux d'affrontement manichéen et millénaire, genre de bagarre à la Caïn et Abel en tout pourri, loin de la menace indicible qui planait dans les premières pages. La forteresse noire aurait pu atteindre le niveau des Montagnes hallucinées, au final elle ne se hisse pas plus haut qu'un pâté de sable hallucinant par ses faiblesses d'écriture.


Un démarrage du tonnerre, une première moitié réussie, toute d'ambiance oppressante, une créature en carton, une deuxième moitié oscillant entre fulgurances géniales (le pouvoir de la croix, la réflexion sur le Mal) et balourdises teintées, une fin expédiée pour ne pas dire torchée à l'arrache. Cette lecture, c'était le voyage du Titanic : fier départ cheveux aux vents et paf, le naufrage.


(Chronique plus complète sur le blog, où je reviens davantage sur la seconde partie que je n'ai pas voulu spoiler ici.)
Lien : https://unkapart.fr/la-forte..
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Avant toute chose, il s'agit d'une relecture.

Francis-Paul Wilson, Docteur de profession, est bien plus accoutumé des récits de médecine. « La forteresse noire » (parut initialement sous le nom « Le donjon ») est l'un de ses très rares écrits en fantastique, mais aussi l'un des infimes textes à avoir été traduit chez nous. Son cycle « Jack Repairman », par exemple, comporte 29 textes (nouvelles et romans), ainsi que 6 spin-off, seulement deux romans se sont échoués sur l'hexagone.

Le récit se passe durant la Seconde-Guerre Mondiale en Roumanie. Nous voici plongé au coeur de l'horreur avec des nazis antisémites affirmés. J'ai bien aimé la confrontation entre les deux officiers l'un est un militaire de carrière ayant connu la Première Guerre Mondiale et le second partisan du régime hitlérien. Tous les oppose et pourtant ils sont obligés de cohabiter dans ce château lugubre, dénommé donjon, puisque trop petit pour prétendre porter ce nom. Un endroit malsain que les habitants évitent d'approcher, un peu comme le tank du roman « Le jour j du jugement » de Graham Masterton. Dès le début, l'auteur nous dresse une atmosphère réussite.

Plusieurs choses m'ont un peu gêné. L'introduction du rouquin. Il part comme ça, vers une quête, comme si rien qu'au flair, il aurait senti en lever son pif. le personnage de Glenn en lui même m'a un peu dérouté. Puis, vint l'éternelle romance qu'aurait pu nous pondre Dean Koontz. Enfin, la véritable identité des deux protagonistes.

En soi, cela ne m'a pas tellement gâché la lecture, puisque je trouve le récit globalement réussi. Quel est donc cet être démoniaque ? Un vampire, un Moroï (mauvaise traduction, le terme plus approprié serait Strigoï), ou bien un autre. Personnellement, j'aurais bien aimé qu'il exploite davantage cette atmosphère angoissante que l'on peut ressentir au début du livre, mais aussi la créature. Quand je vois comment Francis-Paul Wilson traite le fantastique, je trouve dommage qu'il n'ait pas plus écrit dans ce genre.
Je n'ai pas vu la libre adaptation du roman en film.
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Un très bon moment de lecture avec une aventure qui se passe en Roumanie pendant la seconde guerre mondiale, avec du fantastique, et des héros, des vrais qui ont même un glaive qui leur redonne vie. Personnellement je me suis bien divertie. Pas de surprise mais cela correspondait exactement à ce que j'attendais de ce livre, une escapade agréable.
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Chouette un roman fantastique pendant la seconde guerre mondiale. J'espère qu'il est aussi bien que « L'heure du Loup » de Robert McCammon. Voyons un peu ce que donne « La forteresse noire » parut en 1981 sous le titre original de The keep. Roman parut également sous le synonyme, en France, de « Le donjon ».

En 1941, l'Europe sombre dans l'horreur de la seconde guerre mondiale où l'Allemagne nazis sème la terreur. La Roumanie n'est pas en guerre, elle n'est pas sous l'occupation, mais est un pays allier de l'Allemagne nazis. Les peuples juifs et Tsiganes peuvent vivre relativement paisiblement leur vie. Cependant, les nazis ont un projet pour éliminé ces gens. Un donjon fut bâti sur région stratégique et les nazis s'y sont installés confortablement. Cependant depuis l'arrivée du Major et son unité, chaque nuit un de ses hommes se fait tué.

Dès les premières pages, je n'ai eu qu'un mot à la bouche : « Wouah » (rien à voir avec un aboiement de chien). La lecture est prenante, le décor est planté et l'histoire est intéressante. Puis, au bout d'un moment, je dirais vers la moitié, plus rien. Une petite déception vint prendre la place du plaisir. Et puis, cette fin, je l'ai trouvé complètement décevante avec une explication tiré par les cheveux. Dommage, parce que la première moitié était vraiment très bien. J'ai toute fois un petit regret sur cette partie. L'action se déroule quasiment autour du donjon, normal, mais j'aurai aimé que l'auteur décrive un peu plus la traversé de Glenn dans cette Europe meurtri. Au final, je dirai que c'est un bon livre, malgré cette fin, où j'ai passé un bon moment.
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Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
Ils passèrent la journée sur ce lit étroit, à rire et à bavarder, à se murmurer des choses sans importance et à se découvrir mutuellement. Glenn savait tant de choses qu’il lui révélait les secrets de sa propre chair. Il était doux, patient, tendre, et son corps la fascinait. Le corps de l’homme était pour elle une chose nouvelle, et elle se demanda si tous les hommes étaient aussi musclés que lui.
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Ce sont les rêves, monsieur. De mauvais rêves, toujours les mêmes, à ce que je crois... On est prisonnier d’une pièce minuscule sans porte, sans fenêtre, sans lumière... c’est le noir le plus total, et il fait froid... très froid... et puis, il y a quelque chose dans le noir avec vous... quelque chose qui est encore plus froid... quelque chose qui a faim.
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Dans tous les contes populaires, dans tous les romans, même dans les films qui en ont été tirés, cette notion nous paraissait toute évidente : le vampire a peur de la croix. Lequel de nous a jamais songé à ce que cela impliquait ? Le vampire craint la croix. Pourquoi ? Parce qu’elle est le symbole du salut humain.
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Aujourd'hui, il comprenait que les atrocités conséquentes aux combats n'étaient pas des aberrations momentanées. Il avait trop longtemps refusé de voir la vérité en face et d'admettre que la guerre, toute la guerre était une horreur.
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Le mot « extermine » impliquait une volonté toute humaine. Pourquoi l’avait-il donc fait précéder de « quelque chose » ? Une chose – un animal, un poison, un cataclysme – peut tuer mais elle ne peut pas « exterminer ».
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