Quatre scènes se passant à Rome, deux dans un marché, une au Vatican, et une dans une église proche d'un hôpital. L'auteur décrit ce qui se passe, les gens qui passent, les gestes, les attitudes, les paroles, les interactions entre les personnes. Il y a côté l'oeil de la caméra, ou de l'appareil photo.
L'écriture est dépouillée, l'auteur adopte une sorte de ton impersonnel, clinique en quelque sorte.
J'avoue ne pas avoir adhéré à ces tableaux, cette façon de mettre à distance la vie, d'en faire quelque chose de mort, ou plutôt de non vivant, m'a semblé morbide, voire malsaine.
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