Bien
Une très belle histoire avec beaucoup d'amour et de respect, avec une fin surprenante. Mais hélas beaucoup de fautes de français, de phrases et des mélanges dans les prénoms des personnages même si par la suite on comprend de qui il s'agissait. Une suite serait souhaitable.
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Viviane à trois amies. Celle de toujours : Irène ; la plus superficielle : Delphine ; la plus timide et indécise : Ingrid. Les quarte femmes forment un beau quarté de quadras encore bien conservées. Viviane à un grand adolescent pour fils, ce qu'elle ignore, c'est que ce dernier est initié à l'amour par Irène. Bertrand se la coule douce. Ses amies l'entendent reprocher à son fils de ne rien faire et lui proposent alors de leur rendre de menus services comme tondre la pelouse chez l'une, tailler la haie chez l'autre ou bien encore faire des travaux de bricolage chez la dernière. le jeune homme accepte de prendre des charges en alternant les visites chez les amies de sa mère. Chez Irène, c'est déjà un habitué, cette dernière lui offre généreusement son entrejambe. Sur les conseils de celle-ci, Bertrand entreprend alors de séduire la timide et fidèle Ingrid et c'est de sa bouche qu'il abuse. Enfin, la dernière, les seins siliconés et le corps sculpté au fitness lui offre l'exclusivité de sa porte arrière. le jeune homme alterne donc joyeusement les visites, trempant ainsi son outil une fois dans une chatte humide, le lendemain dans une bouche gourmande et le surlendemain dans un anus lubrifié. Sa mère semble ne se rendre compte de rien mais c'est sans compter sur la manipulatrice et très jolie Julianna qui est la fille d'Ingrid. Elle n'épargne rien à sa fellatrice de mère, se comporte comme un enfant roi et fait avouer à Ingrid les caresses qu'elle prodigue à Bertrand. Julianna se montre beaucoup plus habile que l'adolescent et pour se venger de ce dernier, entreprend de séduire Viviane, la mère du jeune homme…
Tous les ingrédients pour une histoire de sexe torride et originale sont réuni dans ce livre. Hélas, l'auteur n'a pas su en tirer parti. Que c'est mal écrit. Où donc sont passés le style et la manière. Tout y est décrit comme si l'acte sexuel était mécanique. Des descriptions longues et inutile dont le texte casse la sensualité et l'émoi. C'est bourré de fautes, d'inversions et de confusions de nom, de répétitions de mots ou d'expression. Par exemple, chaque femme de ce livre sait vue qualifier de « belle mature » je ne sais combien de fois. Une des scènes qui aurait due être la plus sensuelle de ce court roman est sans doute quand Viviane se laisse séduire par la jeune Julianna mais le manque de style écrase lamentablement l'action. Au troisième chapitre, j'ai presque abandonné la lecture. Je m'ennuyais profondément et ne lisais plus que les fautes. Voulant tout de même savoir comment se terminerait ce vaudeville érotique, je me suis forcé à poursuivre la lecture. C'est vrai que la fin est une belle surprise mais là aussi, elle est tronquée de façon brutale. Quelques pages supplémentaires ne fusse que pour Ingrid, la moins gâtée des trois et aussi pour Julianna auraient peut-être pu sauver ce livre qui est proche du naufrage littéraire. On a vraiment l'impression que ça a été écrit à l'arrache, sans réflexion de la part de l'auteure et publié sans relecture. Je ne vous conseillerai cet ouvrage que si vous voulez découvrir une histoire de c.. qui aurait pu être sympa mais qui s'effondre par manque de talent d'écriture. Pour écrire, il ne faut pas que de bonnes idées, il faut aussi de la culture, de la technique et de l'émotion.
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Une belle histoire qui vous tiens du début a la fin si vous ne tenez pas compte des fautes et le méli mélo des personnages
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Un histoire qui ferait un parfait scénario pour un bon filme X: un jeune homme, des MILF, une jeune femme, des fellations, de la sodomie, de l'amour saphique, il y en a pour tout le monde. Comme en plus c'est plutôt bien raconté, on ne voit pas le temps passé et on passe un bon moment à cette très chaude lecture.
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Attention peu heurter la sensibilité de certaines personnes
Le jeune homme se retourna immédiatement, ayant perçus les mouvements et les sons proférés par Ingrid, mais Delphine accaparée par son plaisir et ses propres cris, resta dans l’ignorance de la présence de l’autre femme dans la pièce. Bertrand réussit à contrôler sa propre surprise, perpétuant les mouvements de ses hanches et pistonnant sans s’arrêter, emporté par son élan et son désir. Il jeta un regard plein de fierté et d’arrogance à Ingrid, comme s’il lui disait : regarde un peu de quoi je suis capable.
Attention peut heurter la sensibilité
Pourtant, Bertrand avait raté son entrée. Dans son empressement hâtif, il avait poussé sur ses reins avant que sa verge ne soit plantée en Irène, et sa queue glissa sur l’extérieur de la fente lisse et huileuse, parcourant la vulve gorgée de sein qui s’écarta de part et d’autre tandis que son membre frottait jusque sur le nombril de son amante.
Attention peu choquer certains lecteurs et certaines lectrices
Excitant par la docilité de son amante et par la venue subreptice d’Ingrid, à l’insu de Delphine, il ne réussit pas à se retenir davantage, et donna libre court à son plaisir. Il éjacula avec force et abondance, à l’instar de cet accouplement sauvage et généreux qui avait eu lieu entre eux, inondant la cavité rectale de Delphine, qui apprécia de pouvoir donner à son amant ce plaisir si intense. Il s’épancha rapidement, tout son foutre aspiré par l’ouverture béante qui semblait boire à la source l’épaisse liqueur blanchâtre à mesure qu’elle sortait de son urètre.
Ce serait avec plaisir, mais j’ai déjà d’autres engagements, refusa fermement le jeune homme. Tu sais, il n’y a pas que ton intérieur à toi qui mérite d’être visité.
Et il laissa son amante du jour ébahie devant son refus, à s’interroger sur quelle réalité pouvait se cacher derrière les paroles de Bertrand.
(citation pornographique)
Pour la deuxième poussée, Irène saisit la verge et s’assura qu’elle entre bien à l’endroit idoine, là où elle le remplissait de bonheur. Elle était subjuguée par la vigueur de Bertrand, la fougue de sa jeunesse, la dureté inaltérable de son pieu avec lequel il la pourfendait sans relâche, la laissant inondée et pantelante de désir.