Un roman offert par ma belle mère qui savait que j'appréciais l'humour très british qu'on retrouve dans certains grands classiques. Je n'ai malheureusement pas aimé ce roman, l'humour et les jeux d'esprits étaient certes succulents, mais j'avais un mal fou à suivre l'action et à comprendre qui étaient les personnages. Il fallait peut être commencer par les premiers tomes de cette série pour réussir à l'apprécier. J'ai la sensation de passer à côté d'un ouvrage intéressant et d'en effleurer seulement la surface... Ne dites pas à belle maman que je n'ai pas aimé son cadeau.
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Très british. Un des très nombreux Jeeves écrit par l'auteur. Jeeves est un majordome anglais fin, cultivé et surtout très conservateur et plus snob que son maître Bertie qui se met toujours dans des situations impossibles dont il tente au départ de se sortir seul sans succès. Heureusement Jeeves est là. On passe un bon moment de détente.
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Un autre opus jeevesque. toujours aussi bien !
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C'était quand même bizarre , quand on y pensait, qu'après avoir représenté quatre ans son université et six ans son pays sur les terrains de rugby, il continuait avec les Harlequins dès qu'il avait un samedi après-midi de libre (...).
Je l'ai vu dans l'arène une fois ou deux, et j'ai été profondément impressionné par sa virtuosité. Le rugby est plus ou moins un livre scellé pour moi, mais je voyais quand même qu'il était bon. (...)
Comme la police montée canadienne, il attrapait toujours son homme, et quand il l'avait, l'air vibrait des cris excités des croque-morts, qui, dans le public, mettaient déjà le cadavre aux enchères.
Il était fiancé à Stiffy Byng , et ses longues années de rugby étaient une excellente préparation pour se mettre en ménage avec elle.
Bande annonce de la série Blandings, adaptation des romans de PG Wodehouse