So British! Adolescence bourgeoise, manipulation, jolies personnalités narcissiques (Eden, et pourquoi pas un peu de son père aussi) diffusées tout au long du roman, aventure qui embarque le groupe de copains dans le génie ou peut être est ce plutôt un précipice vers la folie.
Toute la question abordée est là, bien ficelée, entrainante. Où se trouve la limite?
La lecture m'a souvent fait penser à
La boite de Pandore de
Werber, dont j'avais retenu une belle vulgarisation de l'hypnose. C'est à dire que le sujet de fond m'a donné un goût de presque déjà vu mais
le complexe d'Eden Bellwether est tourné dans une atmosphère très anglaise, en huis-clos qui m'a emmenée tout le long de la lecture.
C'est la fin qui pour moi a pris trop de temps, qui affadirait presque l'ensemble.
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