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EAN : 9782207505366
205 pages
Denoël (16/03/1993)
3.75/5   78 notes
Résumé :
Il s'appelle Claudi, il a quatre ans.
Dernier survivant de Perdide, comment pourrait-il déjouer seul les dangers d'une planète qui a déjà tué sa famille, reconnaître les fruits empoisonnés, les fleurs vénéneuses et les grottes piégées ? Son dernier lien avec le monde des hommes est un émetteur radio dont les signaux de détresse ont été captés par le Grand Max, bourlingueur au grand cœur qui va par cet intermédiaire veiller de loin au salut de l'orphelin tout ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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L'Orphelin de perdide est un petit bijoux merveilleux , et comme Oms en série fut porté au cinéma ( planète sauvage ) , L'orphelin … le fut également , sous le titre de : Les maitres du temps .
Un conte spatio-temporel pour les adultes comme pour les plus jeunes.
Cet aspect légèrement conte , donne au texte une patine simple ( et non simpliste ) avec des aspects saillants assez surligné je dirais ( intrigue , caractérisation , typologie structurelle de certains personnages ) , mais le texte possède par ailleurs une solide éloquence évocatrice .
Un enfant est abandonné par son père dans une forêt atypique sur un monde étranger et alors en développement colonial .
Le père fait cela de manière assez violente et imprévue en simulant un jeu , pour sauver l'enfant d'insectes très dangereux .
C'est un des quelques passages terriblement éloquents de ce récit .

Dans le même temps , le père sollicite un ami à plusieurs années lumières pour qu'il accompagne l'enfant à distance .
L'ami fera les dernières volontés du père et une expédition est montée pour rejoindre l'enfant .
Seulement , c'est sans compter avec les paradoxes temporels ….

Bon voilà , sans rien dévoiler du texte … : Que dire ? : Un texte bien écrit et assez court , avec un rien de naïveté superficielle et une intrigue piège à tiroir bien faite et suffisamment désordonnées pour surprendre .
Du mouvement , des surprises et une trame narrative haute en couleur .

Stéphane Wul est un immense auteur de SF française , beaucoup de ses oeuvres sont splendides pour ce qui est de l'imaginaire qui est déployé dans des fictions qui sont souvent de redoutables édifices situés dans des univers alternatifs à la présence formidable .
Des univers créés par une langue bien tournée et belle , aux accents très classiques et économiquement grandioses .

Regardez les couvertures récentes des rééditions des textes de l'auteur , et alors vous entendrez sans problème les musiques et les mélodies particulières de ces mondes étrangers et alternatifs . Des mondes créés par un auteur talentueux et quelquefois aussi ( malheureusement ) paresseux , avouons-le.

Si vous êtes enseignant découvrez Stéphane Wul … ou bien …. mourrez idiots ( sourires ) …
Un excellent texte de science-fiction et classique français du genre .
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Parfois je suis bien embêté pour parler d’un livre (ou plutôt de cette novella) : c’est le cas ici avec cet "Orphelin de Perdide"… Difficile de passer derrière le gros coup de cœur du camarade Pavlik dans lequel je me reconnais volontiers mine de rien. De toutes les manières, on est bien chez Stefan Wul : imagination, aventure, humanisme, poétisme et romance cul-cul la praline… blink

Le héros Max est supracool, surtout quand on sait qu’il a été créé en 1958 !
- il est à la fois super relax et super sérieux, et dans les deux cas il y a la super classe : il a bond fond et grand cœur, tout le monde le connaît lui et ses exploits, il a des amis et des ennemis partout dans le galaxie… En tout cela, il rappelle le "Cobra" de Buichi Terasawa ! (Planète Manga forever)
- mieux, il a un grand projet : les fruits de tous ses exploits, parfois légendaires, ont tous été réinvestis dans un seul but. Et quel est ce but ? Faire de la planète Devil-Ball le refuge de tous les déshérités de la galaxie… En tout cela, il rappelle le "Harlock" / "Albator" de Leiji Matusmoto ! (Planète Manga forever)

Il y a un côté planet opera absurde, du Serge Brussolo avant l’heure pourrait-on dire, avec cette exo-planète appelée Perdide qui possède une faune et à une flore hyper dangereuses par intermittence… Dans la relation entre le pur et naïf Claudie et Max et Silbad / Sylvain Bader les vieux baroudeurs de l’espace, on peut voir un hommage au "Petit Prince" d’Antoine de Saint-Exupéry.
Il y a un côté space opera classique et classieux : sur Gamma 10, entre le héros à la Han Solo, le monstre à la Rancor et tutti quanti, on ne s’étonnerait même pas de voir débouler Luke Skywalker et son sabre laser… ^^ Tout le passage sur la planète des flibustiers intersidéraux et ses rebondissement pulpiens sent bon la SF vintage à Edmond Hamilton et Leigh Brackett (pape et papesse du genre à la ville et époux à le campagne ^^)
Mais c’est pitié que j’ai trouvé que ces deux aspects ne se mariaient pas trop bien. Pire le dénouement se perd en explication pseudo scientifiques pour finir en eau de boudin… VDM


L’adaptation animée de René Laloux, intitulée "Les Maîtres du temps", est très intéressante autant pour ses qualités que pour ses défauts : elle offre un dénouement autrement plus crédible que celui du livre, un charadesign tip-top pour l’époque, elle remplace les contrebandiers de Gamma 10 par un Pur Esprit plus stalinien tu meurs, le lâche et méprisable prince Bôz devient le courageux et nihiliste prince Maton, mais du coup on gomme l’aspect space opera assez cool du récit originel… Tant mieux, tant pis ???
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Vu qu'en ce moment je lis un peu tout ce qui me tombe sous la main, j'ai emprunté celui-ci à mon mari qui adore l'auteur. N'étant moi-même pas une très grande fan de science-fiction, ce sont les conseils avisés de mon mari qui m'ont poussé à commencer par ce-dernier et j'ai vraiment très bien fait de l'écouter.
Cet ouvrage est composé d'un roman "L'orphelin de perdide" et de trois très courtes nouvelles se passant toutes dans un futur indéterminé.

En ce qui concerne "L'orphelin de perdide", il s'agit de l'histoire d'un petit garçon de quatre ans qui se retrouve orphelin à l'âge de quatre ans. L'histoire se déroule sur la planète imaginaire de Perdide d'où le père de ce petit Claude (surnommé Claudi) envoie un message désespéré juste avant de mourir à l'un de ses amis, Max, qui se trouve actuellement dans l'espace.
Max arrivera-t-il à temps sur cette planète pour sauver ce petit garçon ? Avec l'aide de deux passagers qu'il a eu l'amabilité de recueillir sur sa navette, Martin et son épouse Belle, Max va d'abord se rendre sur la planète de Devil-Ball afin de demander le secours pour ce sauvetage de l'un de ses plus vieux et fidèles amis, Silbad.
A eux quatre, arriveront-ils à temps pour recueillir et sauver d'une mort certaine ce petit Claudi, voué à une mort certaine, s'il reste seul sur une terre qu'il ne connaît pas (comment le pourrait-il alors qu'il n'est encore qu'un jeune gamin insouciant ?) et, qui plus est, est loin d'être dépourvue de dangers ?

Un ouvrage qui se lit très vite, très bien écrit, je dois le reconnaître - même si je n'ai pas tout compris (surtout dans ce qui se passe dans les trois dernières nouvelles) - et que j'ai trouvé très émouvant. A découvrir !
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Pour commencer, levons un à priori qui pourrait nuire à la compréhension de ce livre : l'Orphelin de Perdide n'est pas un roman de science-fiction. Si vous tenez absolument à y accoler une étiquette préférez plutôt celle d' "aventure". Personnellement j'opte sans sourciller pour le qualificatif de chef-d'oeuvre, rien de moins. Certes, la barre est haute. Mais je crois, de manière un peu prétentieuse et risquée, moi qui n'est lu que trois roman de l'auteur, que l'Orphelin de Perdide présente la quintessence de ce qu'est l'art de Stefan Wul : poésie, sens de l'aventure, exotisme, émotion.

L'histoire présente, de base, un fort potentielle émotionnelle. Claudi, petit enfant de 4 ans, se retrouve seul sur la planète Perdide, suite au décès de son père. Celui-ci nous est narré dans le premier chapitre, séquence brève mais qui, déjà, prend à la gorge. le problème sur Perdide sont les frelons, qui infestent cette planète éloignée de tout. Durant la moitié de l'année, ils dévastent tout sur leur passage, gros comme la main et capables de percer le métal. de plus, il s'avère que ces charmantes bestioles sont friandes de cervelle. Juste avant de mourir, son père envoie Claudi dans les bois, sur les collines, seul endroit de la planète épargné par les insectes tueurs, à cause des gaz sécrétés par les arbres. Il lui confie également un micro, avec lequel il a désespérément tenter de joindre le Grand Max, forban de l'espace, mais néanmoins ami et homme de parole. Ce dernier finit par recevoir le message de feu son ami et comprend l'effroyable danger qui guette l'enfant. Dès lors, s'engage une course contre le temps pour rejoindre Perdide, à plusieurs mois de voyage, seulement relié à l'enfant par les ondes sub-spaciennes du micro.

Vous l'avez deviné je me suis régalé à la lecture de ce court roman, d'une centaine de page à peine. Comme évoqué précédemment je n'y vois pas nécessairement une histoire de science-fiction. Certes, on y voyage à la vitesse de la lumière, de planète en planète, à bord de vaisseaux spatiaux. Mais (et ce n'est là qu'un avis personnel), je n'y trouve pas, ce qui pour moi est un aspect nécessaire du genre "science-fiction", à savoir une visée prospective, quant au futur de l'humanité, au service d'une certaine critique du présent. Ainsi, si vous remplacez les vaisseaux spatiaux par des navires, les planètes exotiques par des îles des mers du sud et les pirates de l'espace par des pirates tout court, on est plus proche, à mon avis, d'un roman de piraterie, sauf que notre magnifique héros ne court pas après un trésor, mais un enfant.

C'est donc cet immense détail qui confère une forte charge émotionnelle à cette histoire, magnifiée par la poésie que Wul insuffle à son style, particulièrement présente dans les descriptions. Il a, en effet, l'art de rendre charnel le vide sidéral de l'espace et de brosser, en quelques phrases, des mondes à l'exotisme sans pareil. de plus, il nous propose également des personnages forts, extrêmement bien caractérisés, particulièrement le Grand Max, magnifique et charismatique forban de l'espace. Les métaphores et expressions maritimes sont d'ailleurs nombreuses, ce qui renforce encore l'exotisme et le parfum d'aventure qui accompagne notre lecture. Enfin, l'écriture est fluide, dynamique et l'ensemble se lit d'une traite.

Pour conclure, l'Orphelin de Perdide est un petit bijou de poésie et d'aventure et l'on comprend aisément ce qui motiva René Laloux et Moebius à l'adapter en dessin-animé (les Maîtres du Temps). Celui-ci est d'ailleurs un souvenir fort de mon enfance (en fait, j'étais déjà fan de Wul depuis 25 ans mais sans le savoir).

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En mal de lecture ces derniers temps, j'ai décidé de me pencher sur un petit livre. « L'orphelin de Perdide » est écrit par Stefan Wul que Alfaric affectionne tant.

Je suis tombé de haut après une introduction plutôt prometteuse avec un père et son fils qui fuit dans un monde extraterrestre. le marmot se retrouve seul pour affronter les dangers. La suite m'a laissé un étrange goût. Il faut savoir que l'enfant n'a que 4 ans. Il a pour ange gardien un explorateur de l'espace avec qui, il communique par une boîte magique.

J'ai trouvé les personnages manichéens. Max étant trop cool est loin d'être un pirate de l'espace, d'autant plus qu'il use d'un langage soutenu. À bord de son vaisseau, on trouve une femme très frêle et trop émotive qui la rend potache. Son conjoint joue le rôle du méchant sans cervelle. Quant à l'enfant, c'est assez difficile à dire. Il quatre ans et je doute qu'à cet âge-là il soit capable de vivre une situation pareil. Reste le dernier personnage (Silbad), un vieil homme qui rend le récit – à mon sens – plus intéressant.
Loin de créer un univers aussi réaliste et détaillé que Jack Vance, Stefan Wul arrive toutefois à inventer une planète hostile appréciable. Toutefois il est dommage qu'il n'ait pas été jusqu'au bout en y important une faune et une flore typiquement extraterrestres. J'ai eu l'impression de voir une biomasse hypertrophiée terrienne voire gonflée aux testostérones. Les terreurs locales étant des frelons monstrueux qui sèment le chaos durant six mois dans l'année, soit la durée de leur période nuptiale.

Le tout donne un final plein de paradoxes. Loin des merveilles de la Science-Fiction, Stephen Wul ne joue pas dans la même cour. Il n'a clairement pas le même niveau que les auteurs outre-Atlantique. Toutefois il faut voir ce titre comme un divertissement. Court, il permet d'être lu rapidement et de passer un bon moment de lecture, c'est d'ailleurs ce qui s'est passé. J'ai apprécié, même si je suis un peu déçu de ne pas avoir eu un vrai bon roman de Science-Fiction.

« L'orphelin de Perdide » est accompagné de trois très courts récits. « Droit de réponses » est un texte abscons. le suivant se nomme « Jeux de vestales » qui a l'avantage de proposer quelque chose de plus croustillant, notamment la description d'une étrange planète.
Heureusement ce livre se termine par une excellente note grâce au dernier récit qui est juste magnifique. « Gwendoline » est une planète où la face cachée est un endroit interdit… enfin interdit d'y revenir. Plein de mystère, l'envie de savoir ce qu'il s'y cache est bien présent. le jeu entre les trois personnages est bien écrit. La finalité achève avec brio ce texte.
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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
Ses lèvres tremblantes n’avaient plus de force de retenir sa salive. Un fil de bave reliait sa tête au sol de la prairie. Des larmes de rage impuissante traçaient des sillons dans la poussière de ses joues. Il fit un effort terrible pour relever la tête. Elle lui parut peser des tonnes. Le regard trouble, il vit l’enfant revenir sur ses pas.
« Non, non…, gémit-il. Va-t’en, fils !
L’enfant riait, croyant toujours à un jeu. L’énergie fouettée par le danger, son père se redressa, à gestes lents et pénibles. Il fut debout, les jambes écartées dans l’herbe, maintenant son équilibre à grand-peine. Il avait l’air d’un ivrogne ou d’un épouvantail. Il tourna la tête vers le grand soleil rouge qui mourait au bord du monde. Son visage hirsute se colora de la lumière du couchant. Cette lumière sanglante accusa les détails de ses traits, sculpta les méplats de ses joues barbues, fit miroiter une salive fiévreuse sur ses dents découvertes. Il cligna ses yeux cernés de mauve, tendit l’oreille…
Un bourdonnement sinistre paraissait naître de l’horizon même.
« Ils arrivent, murmura l’homme sur un ton désespéré.
— Joue encore, papa », dit l’enfant en s’agrippant à sa jambe de pantalon déchirée.
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« … Plus nous allons vite, plus le temps passe lentement. À la vitesse de la lumière, le temps cesse d’exister ; le moment « maintenant « dure éternellement. »
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Le grand Max dormait dans sa cabine. Nu, son corps musclé s'affalait en travers de la couchette [...] C'était un assez beau forban, contrebandier à ses heures et grand coureur de mondes. Il appartenait un peu au folklore de la Lyre, comme un dieu de l'espace [...] Il allait de-ci de-là, disparaissait pendant des années, réapparaissait vieilli de quelques mois, toujours jeune, conservé par la vitesse de ses courses. Il riait au nez des officiels, châtiait un traître, séduisait une fille de roi, doublait ou triplait son capital par une combinaison sensationnelle et inattaquable...abandonnait secrètement la moitié de ses bénéfices à un pauvre bougre dont le visage lui plaisait. Bref, auréolé de légende, c'était un peu le brigand bien-aimé.
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Pour donner plus de relief au panorama, Max éteignit les lumières. Seules clignotaient quelques minuscules ampoules sur le tableau. Au-dessus, l'énorme écran circulaire montrait l'espace noire, splendide, insondable, comme un gigantesque aquarium portant en suspension des bulles de couleurs rouges, bleues, jaunes, argent. Des bulles qui étaient des soleils et des mondes. C'étaient Véga, la belle, et Cappa de la Lyre. C'était Béta l'étrange, avec sa nébuleuse et ses mondes déserts. Les deux Deltas, Mu l'isolée, Epsilon 1 et 2. Plus loin, tout au fond, brillaient les lourds amas du Dragon et les fastes de l'Ourse. Et si proche qu'on aurait cru pouvoir les prendre à la main, les rondes bariolées gravitant autour de Lambda, qu'on appelait aussi la Sauvage.
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- C'est vous qui commandez ! hurla le rouquin en voltant sur lui-même. Espèce de grand prétentieux qui... qui se balade en slip pour faire des effets de muscles ! C'est vous qui commandez, espèce de pirate à tête bleue. On sait ce que vous êtes, allez, un sale contrebandier prétentieux qui...
- Martin ! reprocha Belle.
- Toi, tais-toi ! Je sais ce que j'ai à lui dire, à ce gangster qui nous a extorqué une somme folle pour nous prendre à bord.
Petit coq au visage déformé par la rage, Martin marchait sur Max. Pâle, les lèvres serrées, celui-ci restait impassible. Une flamme ironique brillait dans son regard.
Martin fut tout près de son adversaire, il leva le poing, mais ce poing n'atteignit jamais son but. Il fut ramené dans le dos de son propriétaire en deux gestes rapides du mulâtre.
Le rouquin poussa un gémissement. Il était immobilisé par une poigne de fer, coincé contre le tableau de bord. Il haleta :
- Lâchez-moi.
- Pas avant de vous avoir dit ceci, déclara Max. Primo, je me promène en slip parce que ça me plaît. Et le type qui m'empêchera de m'habiller à ma guise n'est pas encore né. Secundo, la somme « astronomique » que vous m'avez donnée couvre à peine la moitié des frais dus au poids supplémentaire de vos bagages. Je n'avais pas l'intention de vous l'avouer, mais vous m'avez assez irrité pour me faire changer d'avis. Je voulais même ne rien vous demander du tout, mais j'ai craint de vous vexer. Vous aviez l'air si sûr du pouvoir de votre argent.
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