En avalant quasiment coup sur coup deux de ses oeuvres les plus connues j'ai enfin abordé
Stefan Wul que je connaissais pourtant de réputation depuis une quarantaine d'années.
"
Niourk" suscite chez moi le même sentiment que "
Oms en série".
Des idées sans doutes novatrices pour l'époque desservies par un traitement un peu rapide voire frénétique vers la fin.
Comme je l'ai déjà envisagé à propos de "
Oms en série" l'auteur était possiblement entravé par de drastiques contraintes éditoriales.
Reste un texte polymorphe qui démarre dans un esprit
Edgar Rice Burroughs ou J.-H. Rosny aîné pour se transformer peu à peu en SF post-apo et se terminer sous la forme d'un conte mystico-humaniste qui paraîtra sans doute passablement naïf au lecteur de 2020.
Je n'ai néanmoins pas perdu mon temps,
Stefan Wul mérite le détour pour qui s'intéresse à la SF.
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