Bien
Une assez belle histoire avec beaucoup de violence et d'érotisme, mais certains passages ne sont pas cohérant et se contredises. Je le conseil pour des lecteurs qui aiment ce genre de lecture
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Une très belle histoire qui aurait méritée d'être plus développée car beaucoup trop courte Une belle écritureet un bon scénario
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Manifestement, d'après la couverture, cette accorte cavalière sait faire la bombe !
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Une histoire agréable mais trop superficiel elle aurait du être plus développée
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J’ai entendu la porte se refermer. Tandis que j’étais penchée en train de retirer mes bottes, j’ai senti un objet froid me caresser le dos. Je me suis retournée brusquement, effrayée : Serge me brandissait devant le nez une clé qui devait être celle des vestiaires. Il avait fait semblant de sortir pour mieux me surprendre. Maintenant, nous étions enfermés tous les deux. D’une voix douce, pour ne pas m’effaroucher, il m’a proposé de m’aider à enlever mes bottes. J’étais torse nu, une légère rougeur couvrait le haut de mes seins. Malgré ma gêne, je lui ai tendu une jambe, puis l’autre. — Ce genre de pantalon est difficile à ôter. Attends, je vais t’aider. Disant cela, il l’a baissé en même temps que mon slip minuscule et les a roulés à mi-cuisses découvrant ma toison bouclée où ma fente se devinait. — Assieds-toi sur le banc, que je te le retire. J’ai obéi. Il a glissé le pantalon le long de mes jambes qu’il écartait bien pour mieux contempler l’objet de sa convoitise. Mes lèvres se sont ouvertes, laissant apparaître mon clitoris rose et humide.
2 Les deux autres garçons avaient déjà commencé à s’habiller. Dans sa précipitation, Xavier a omis d’enfiler son slip. Il s’est coincé les poils avec la fermeture, lâchant un cri de douleur. Les autres lui ont fait signe de se taire. Dans la panique, nous confondions nos vêtements, d’autant plus que nous avions éteint pour que la lumière ne filtre pas sous la porte. Retenant notre souffle nous avons entendu la porte du garage se refermer bruyamment. Les parents de Sophie sont passés devant la porte, sans s’arrêter. Nous avons poussé un soupir de soulagement. Xavier a ouvert la porte et nous sommes sortis.