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Critique de bdelhausse
Ce recueil présente deux courtes pièces de Nadia Xerri-L, liées par le film Rio Bravo avec John Wayne et Dean Martin.
La première pièce met aux prises cinq commerciaux, 4 hommes et une femme, qui fêtent la fin de quelques jours de team building à Belfort. Ils vont faire la tournée des grands ducs. Et à mesure que l'alcool coule, ils se lâchent. D'abord, ils vont jouer plusieurs scènes de Rio Bravo. Ensuite, ils vont érotiser leurs rapports, tout en laissant l'ombre du burn-out et des pressions d'entreprise prendre le pas sur leur amitié. Revenus dans la chambre d'hôtel, entre les mignonettes du mini-bar et les rails de coke, ils vont complètement oublier leur savoir-vivre et le pire se produira.
La seconde pièce illustre la rencontrer entre Calamity Jane et Feathers, la fille de saloon de Rio Bravo. Calamity se balade au volant d'une bagnole et prend Feathers en stop. Celle-ci idolâtre Calamity Jane et se rendait à Deadwoood pour la rencontrer. Entre "role model" et crise d'adolescence, Feathers va prendre peu à peu la place de Calamity Jane.
Les deux pièces ne sont pas dépourvues d'intérêt. Elles illustrent le mal de vivre et la quête de sens des protagonistes. Mais elles sont bancales... je ne trouve pas d'autre mot. Les transitions entre scènes sont inexistantes. Cela coince à plusieurs reprises. Les dialogues ne tombent pas toujours justes. Car Nadia Xerri-L aime visiblement le cinéma. Elle scénarise ses pièces, les met en scène de manière fort visuelle, avec des effets, des changements de décors... à tel point qu'on a davantage l'impression de lire un synopsis de court métrage qu'une pièce de théâtre.
La première pièce met aux prises cinq commerciaux, 4 hommes et une femme, qui fêtent la fin de quelques jours de team building à Belfort. Ils vont faire la tournée des grands ducs. Et à mesure que l'alcool coule, ils se lâchent. D'abord, ils vont jouer plusieurs scènes de Rio Bravo. Ensuite, ils vont érotiser leurs rapports, tout en laissant l'ombre du burn-out et des pressions d'entreprise prendre le pas sur leur amitié. Revenus dans la chambre d'hôtel, entre les mignonettes du mini-bar et les rails de coke, ils vont complètement oublier leur savoir-vivre et le pire se produira.
La seconde pièce illustre la rencontrer entre Calamity Jane et Feathers, la fille de saloon de Rio Bravo. Calamity se balade au volant d'une bagnole et prend Feathers en stop. Celle-ci idolâtre Calamity Jane et se rendait à Deadwoood pour la rencontrer. Entre "role model" et crise d'adolescence, Feathers va prendre peu à peu la place de Calamity Jane.
Les deux pièces ne sont pas dépourvues d'intérêt. Elles illustrent le mal de vivre et la quête de sens des protagonistes. Mais elles sont bancales... je ne trouve pas d'autre mot. Les transitions entre scènes sont inexistantes. Cela coince à plusieurs reprises. Les dialogues ne tombent pas toujours justes. Car Nadia Xerri-L aime visiblement le cinéma. Elle scénarise ses pièces, les met en scène de manière fort visuelle, avec des effets, des changements de décors... à tel point qu'on a davantage l'impression de lire un synopsis de court métrage qu'une pièce de théâtre.
