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Critique de Bouvy
Claire profite qu'Ophélie soit occupée à combattre une exaltée très puissante pour prendre la fuite et aussi sauver son ami Raki. Pour protéger ce dernier de la cruelle Claymore, Claire l'oblige à se séparer d'elle. Pourtant si chaste, comme semblent l'être toutes les femmes soldates, elle lui offre un baiser passionné en lui promettant de rester en vie et de le retrouver où qu'il aille. Dès leur séparation, son instinct lui apprend qu'Ophélie est déjà victorieuse de son combat et que sans perdre de temps, elle se met en chasse De Claire. La confrontation est inéluctable et les chances de vaincre Ophélie sont minces. le combat est vraiment inégal et si Claire s'en sort de justesse, c'est gravement blessée et invalide qu'elle échappe à sa cruelle consoeur, aidée et recueillie par une autre Claymore, ancienne numéro deux qui a déserté l'organisation, Irène. Après avoir soigné Claire, Irène lui enseigne une nouvelle technique de combat. Pendant ce temps, Ophélie s'exalte. Elle ignore son état mais n'a pas perdu l'ambition d'éliminer Claire…
Enfin, le tome 7 vient de paraître en numérique. J'ai été à deux doigt de passer à côté. Il est sur Kindle mais pas sur IZNEO. La numérisation en format Kindle est de bonne qualité. C'est déjà sous ce langage que j'avais lu les 6 épisodes précédents.
En dehors de ces considérations techniques, les dessins de cette série, depuis le premier opus, sont en augmentation de qualité constante. le trait est de plus en plus affiné, les expressions des personnages de plus en plus dans l'émotion. Les monstres exaltés représentent à eux seuls un exploit technique. L'auteur arrive à fusionner l'horreur et le charme en un seul personnage, leur offrant à la fois toute l'horreur et la cruauté qu'ils symbolisent ainsi que toute la féminité qui est en eux. le scénario n'est pas en reste. le sujet est de plus en plus glauque. Il vous touche en plein coeur. Ici aussi l'auteur joue sûre les contrastes. Il vous emmène jusqu'au désespoir et fait rebondir l'action quand on pense que tout est perdu. Nous en apprenons aussi d'avantage sur Claire. Ce n'est pas une Claymore comme les autres. Elle n'est qu'un quarteron, soit un quart démon alors que les autres sont Fifty Fifty. Cette fois, l'action entamée dans l'épisode six ne s'achève pas encore dans le sept. Il faut attendre le prochain pour que la confrontation De Claire et d'Ophélie s'achève. le huitième opus vient également de paraître en numérique donc je me jète dessus sans attendre.
Enfin, le tome 7 vient de paraître en numérique. J'ai été à deux doigt de passer à côté. Il est sur Kindle mais pas sur IZNEO. La numérisation en format Kindle est de bonne qualité. C'est déjà sous ce langage que j'avais lu les 6 épisodes précédents.
En dehors de ces considérations techniques, les dessins de cette série, depuis le premier opus, sont en augmentation de qualité constante. le trait est de plus en plus affiné, les expressions des personnages de plus en plus dans l'émotion. Les monstres exaltés représentent à eux seuls un exploit technique. L'auteur arrive à fusionner l'horreur et le charme en un seul personnage, leur offrant à la fois toute l'horreur et la cruauté qu'ils symbolisent ainsi que toute la féminité qui est en eux. le scénario n'est pas en reste. le sujet est de plus en plus glauque. Il vous touche en plein coeur. Ici aussi l'auteur joue sûre les contrastes. Il vous emmène jusqu'au désespoir et fait rebondir l'action quand on pense que tout est perdu. Nous en apprenons aussi d'avantage sur Claire. Ce n'est pas une Claymore comme les autres. Elle n'est qu'un quarteron, soit un quart démon alors que les autres sont Fifty Fifty. Cette fois, l'action entamée dans l'épisode six ne s'achève pas encore dans le sept. Il faut attendre le prochain pour que la confrontation De Claire et d'Ophélie s'achève. le huitième opus vient également de paraître en numérique donc je me jète dessus sans attendre.
