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3,82

sur 528 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Je n'ai pas pu le finir. Arrivée à la page 150 et quelques, j'ai dit stop. Ce n'est vraiment pas pour moi. Mais je vais expliquer pourquoi.

La 4ème de couverture m'a attirée. Une femme quittée par son mari va finir par vouloir se venger en piégeant son psy. C'est tordu mais ça me plaît. J'adore. Mais je m'attendais à rentrer dans l'intrigue beaucoup plus rapidement. Ça traîne en longueur sur les lamentations du mari envers le psy et de la femme envers ses amies.

Les personnages, quant à eux, sont tous plus arrogants les uns que les autres. Ce sont des caricatures de la vie. le mari, heureux d'avoir eu le courage de quitter sa femme, sa femme, pleins de haine, en train d'expliquer à ses amies, très naïves soit dit en passant, son plan pour se venger. Les psy, quant à eux, très nombreux dans le bouquin, ils ont tout compris à la vie. Ils font même des commissions pour évoquer la stratégie psychologique à mettre en place. Ils parlent même des relations sexuelles entre patients et psy. On a un préface très intéressante à ce sujet, préface qui ne m'a pas encouragé à continuer...

L'auteur est lui même psychologue à la base et a a priori écrit plusieurs romans. Je pense que le soucis est là. Je pense qu'il a voulu nous faire découvrir son « monde » et a traîné en longueur sur les différents facettes de son métier et la manière de l'aborder.

Je suis peut être passée à côté de quelque chose mais je ne regrette pas de l'avoir arrêtée... Sauf pour le challenge pavé.. il fait 616 pages....^^
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Je ne l'ai pas terminé car je n'ai pas aimé. Enthousiasmée par "le problème Spinoza" du même auteur, j'ai poussé la lecture jusqu'à la moitié du livre en espérant que...
Mais non, rien. Rien que des "chamailleries" entre confrères psychanalystes sur le respect de l'éthique et de la déontologie dans la relation avec le patient (argent, séduction).
Ernest Lash, psychanalyste, tente pour la première fois une méthode thérapeutique peu recommandée par ses confrères : ne pas avoir de réserve quant à sa propre vie privée, exprimer ses sentiments au patient, voire même, si nécessaire, avoir un échange physique (ex: le prendre dans ses bras)...avec toutes les dérives que ce principe peut engendrer (et qu'il faudrait pouvoir gérer).
C'est ce principe même de transparence envers son patient qui m'intéressait et avait éveillé ma curiosité envers ce livre. Mais ça met beaucoup de temps à démarrer : à la moitié du livre (qui ne fait pas moins de 576 pages en édition de poche), Ernest Lash a à peine débuté cette méthode avec une toute nouvelle patiente, qui, justement, sans qu'il le sache, a déjà un passif lourd avec les psychanalystes car avait été abusée sexuellement. Carole, avocate, n'est là en fait que pour se venger de son mari qui vient de la quitter... le sujets abordés entretemps comme l'attrait de l'argent, le désir de séduction, le pouvoir...l'esprit de vengeance pure... très peu pour moi.
Bref, je me suis terriblement ennuyée et c'est sans regret que j'ai arrêté sa lecture.
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Une amie m'avait fortement recommandé La méthode Schopenhauer du même auteur, mais comme il n'était pas à la librairie, j'ai emprunté celui-là. Je l'ai lu jusqu'à la moitié avant de laisser tomber. Les premières pages sont intéressantes, mais je suis tombée ensuite dans un ennui profond devant tous ces psys qui se regardent le nombril (et parfois plus bas).
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Je n'ai même pas réussi à le finir, vers la page 200 j'ai laissé tomber.... Pourtant, c'est très rare que je ne finisse pas une lecture, mais je me suis terriblement ennuyée ! L'intrigue traîne en longueur, les personnages sont inintéressants et fades ! Pourtant, le résumé m'avait attirée, mais l'histoire de Carol met beaucoup de temps à se mettre en place, et on lit beaucoup de grands discours, sur l'éthique, la déontologie... Des psychiatres antipathiques qui pensent tous avoir raison ! Cela m'a paru très ennuyeux ! C'est le premier roman de Yalom que je lis, et je ne pense pas en lire d'autres. Bref, ce n'est pas pour moi.
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Les nombreux rebondissements et les nombreuses anecdotes de ce livre font qu'il se lit plutôt bien.
Toutefois, je n'apprécie pas du tout ce livre : sous prétexte de réfléchir aux limites des règles psychanalytiques et à la liberté du thérapeute, il est totalement sexiste!

Les neuf dixième du livre sont consacrés à des psychanalystes mâles (seules deux psychanalystes femelles sont esquissées dans ce livre au détour d'une réunion et deux lignes du roman leur sont consacrées) qui luttent vaillamment contre des patientes voulant absolument coucher avec eux bien qu'ils soient décris comme laids et vieux. Et elles insistent tant et si bien que l'un d'entre eux finit par céder : Seymour. le pauvre! Comme ça a dû être difficile pour lui! Son cas est abordé au tout début du livre et n'est jamais réellement remis en cause par Ernest qui se demandera pendant tout le livre jusqu'à quel point celui-ci avait raison. de mon point de vue, c'est d'ailleurs pénible de lire à longueur de page comment ce vieux bonhomme ne pouvait pas faire autrement et qu'il s'est sacrifié pour le bien de sa patiente qui passe bien sûr avant son confort judiciaire.
Ces deux hommes sont décris comme complètement perdus dans leur relation d'aide et perdu parce qu'ils donneraient trop à leurs patientes et non parce qu'ils profiteraient d'elles. Ce sont les femmes qui réclament ces séances érotiques parfois genoux.
Mieux! Si ces patientes ont des problèmes avec leurs sexualités et avec les hommes, ce n'est pas parce que les hommes qu'elles ont croisés n'étaient pas bien. Je vous le donne en mille : C'est à cause de sa mère et de sa grand-mère que Carol se complait dans la médiocrité de sa vie! Ben voyons!
Heureusement Ernest, l'homme, est là. Et par son intelligence, sa persévérance et sa bonté, il sauvera Carol des affres de sa vie et lui permettra de retrouver bonheur et amour. Et même, on le devine dans le dernier chapitre, de se lancer elle-même comme psychanalyste. Je remarque d'ailleurs que le premier "client" de Carol : Marshal, ne la supplie pas à genoux de coucher avec elle. Ça, c'est une tare réservée aux femmes!
En tout cas, le moins qu'on puisse dire, c'est que ce livre n'a suscité en moi aucune envie de psychanalyse et si je devais m'y mettre, j'éviterais soigneusement monsieur Irvin D. Yalom.

Pour le reste, je pensais que ce livre, sous couvert d'un roman permettrait d'aborder quelques point de théorie psychanalytiques. Pour cela il trace un peu les frontières entre les Jungiens et les Freudiens, et il cite Mélanie Klein.
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Cela fait un mois que je traîne ce livre... Il va finir par me provoquer une panne de lecture... J'en suis à 67 pages exactement et c'est décidé, je jette l'éponge ! Entre temps j'ai lu 3 ou 4 autres livres... Je vais le donner à une amie qui adore les histoires psychologiques. En espérant qu'elle m'en parle en bien !
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un livre trop , beaucoup trop bavard ou trop de paroles tuent l'intrigue.
à oublier
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Long, trop long. Ennuyeux, très américain, personnages caricaturaux obnubilés par le sexe. Aucun plaisir de lecture.
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