JK Haru continue de prouver ses qualités. Jamais racoleuse inutilement, brusque et même touchante dans la mise en scène de rapports charnels, cette suite poursuit un travail d'écriture bien pensé, qui trouvera certes ses limites selon le profil de lecteur, mais qui reste ponctué d'une volonté de bien faire. On en a la confirmation : Le manga n'est pas à ranger dans la catégorie des titres érotiques à sensation et grotesques, mais dans celles des œuvres sulfureuses qui nourrissent de vraies idées.
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