C'est l'histoire d'une mère qui se sacrifie pour ses enfants et où l'image du père n'est essentielle que par son absence.
Dans ce conte, ni lyrisme, ni réalisme. Les images et les comparaisons pullulent, mais me semblent très souvent décalées, maladroites, redondantes ; est-ce l'effet de la traduction ? Plus d'une fois, j'ai été obligé de relire certaines phrases car l'antécédent était absent !
Je n'ai éprouvé aucune émotion à cette lecture, tout m'a paru fabriqué (avec maladresse), artificiel.
Après avoir apprécié "
Les jours, les mois, les années", j'ai été très déçu !