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4,16

sur 858 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Encore une fois je me suis laissée entrainer par l'engouement général autour d'un livre et encore une fois, je le regrette.
Tout d'abord, j'ai trouvé l'écriture lourde et brouillonne. On s'emmêle, on disgresse, on ne sait pas trop où on va et finalement, je me suis perdue.
Mais tout compte fait, l'écriture n'est que le reflet du récit qui est lui même très noir et embrouillé. Et pourquoi cet acharnement sur Jude ?
Bref, je n'ai ressenti aucune empathie et je me suis même ennuyée. Il faut dire que le nombre de pages y contribue largement...
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Par respect pour les auteurs, je m'efforce toujours de terminer un roman, même lorsque je m'aperçois que ce dernier ne correspond pas du tout à mes goûts. Néanmoins, il y a des livres dont la lecture se révèle finalement impossible, quand bien même on y met sa meilleure volonté. C'est hélas le cas de "La vie comme les autres", qui aura eu raison de moi au bout de 200 pages à peine. Même si ce roman a de quoi impressionner avec ses 800 pages à l'écriture dense, ce n'est pas ce qui m'a découragée lors de ma lecture. C'est tout simplement l'écriture et l'histoire qui sont venus à bout de ma patience.

J'ai trouvé la prose de l'auteure particulièrement difficile à suivre. La lecture de chaque chapitre s'est avérée être pour moi une épreuve tant le contenu est dense et confus, chargé de digressions diverses et variées. Les phrases m'ont souvent parues inutilement longues et manquant de légèreté. Peut-être la traduction est-elle ici à blâmer, mais quoi qu'il en soit, mon ressenti final a été très négatif. Je suis restée complètement imperméable au style de l'auteure.

Si l'histoire m'avait captivée, cela m'aurait peut-être permis de faire abstraction de l'écriture. Malheureusement, je n'ai pas du tout adhéré aux personnages et encore moins à l'univers branché auxquels ils appartiennent. Ce roman est indéniablement très "américain" et je crois que c'est pour cela que je ne suis pas parvenue à m'y plonger. L'auteure parle d'un mode de vie qui m'est totalement étranger, de personnages surfaits dont les trajectoires ne m'intéressent guère. Peut-être mon incompréhension révèle-t-elle une fracture entre les États-Unis et l'Europe ? Je pense que ce roman s'adresse avant tout à un public américain, un public fréquentant les milieux dits "artistiques" et intéressé par des trajectoires de vie un peu hors norme.

Grâce à Babelio et aux éditions Buchet/Chastel, j'ai eu l'opportunité de sortir de ma "zone de confort" en découvrant le roman "Une vie comme les autres". Trop complexe et dense à mon goût, le sens de ce livre m'a cependant complètement échappé. Je pense que les "grands romans américains" ne sont tout simplement pas ma tasse de thé, mais au moins, j'aurais essayé... Je ne doute pas que ce roman saura trouver son public parmi des lecteurs plus sensibles à la culture américaine.
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Jamais un roman ne m'a plongé dans une telle colère. le style est magnifique, j'en conviens, mais que doit-on comprendre du message de l'autrice, qui inflige à son personnage principal les pires sévices ? , le tout décrit avec une minutie & une précision chirurgicale.

En refermant le livre, je n'étais pas effondrée, ni particulièrement triste, mais atterrée : pourquoi infliger, sur 1 000 pages, un parcours de vie aussi glauque ? Est-ce par plaisir sadique qu'elle s'est affairée à décrire minutieusement les séances d'automutilation du personnages principal, en mentionnant la peau cloquée et boursouflée de déchirures ? Honnêtement, j'aimerais bien comprendre.

C'est extrêmement rare, mais j'ai regretté d'avoir pris le temps de lire ce livre, et de me soumettre aux fantasmes morbides de l'autrice.
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Bonjour les lecteurs ……….

90% de critiques dithyrambiques.

Présenté comme "LE" roman le plus poignant de LA DECENNIE ( ????????)

Un bref résumé ...
4 hommes.
Un peintre, un avocat, un architecte et un acteur
Ces 4 hommes, issus de milieux différents, de couleurs différentes, aux idées différentes forment un quatuor indestructible que le lecteur va suivre pendant 30 ans.
parmi ces 4 lascars .. il y a Jude.
Jude est sont passé..Jude et son enfance brisée.

Et bien moi, je suis passée à côté.
Je n'ai ressenti aucune empathie pour les 4 protagonistes.
Je n'ai pas eu les larmes aux yeux à la lecture.
Mes sentiments ne se sont pas retrouvés chamboulés, bouleversés.
Moi, je suis restée de glace

La lecture est dense, il y a des digressions, des répétitions encore et encore..bref.. je me suis ennuyée.
Je peux comprendre l'engouement de certains lecteurs fascinés par le NY branché. Ce milieu est loin de celui dans lequel je gravite et ne m'intéresse guère

Je me suis forcée à lire 300 p ( sur 800) espérant un déclic tardif .. et bien que nenni … je jette l'éponge sans aucun regrets et ce livre partira en livre voyageur .. il fera le bonheur d'autres lecteurs.
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Bonsoir,

J'en suis à la lecture de l'extrait qu'il nous est offert de lire.

Très honnêtement, comme d'autres ouvrages anglosaxons du même type, j'ai du mal à l'aimer. Pour porter une appréciation définitive, j'attendrai d'avoir parcouru plus que les 40 pages actuellement lues.

Comme pour d'autres ouvrages écrits en anglais ou en américain, le 1er problème, c'est la traduction ! le recours systématique aux parenthèses montre que le traducteur ne connaît pas le bon usage de la ponctuation. Cela casse la rythmique, la sonorité de la phrase. L'articulation des descriptions et des dialogues est mal construite, avec des détails qui prennent une dimension démesurée dans l'histoire et nuisent à la réception de celle-ci. Il n'y a aucun effort de reconstruction des phrases "à la française" pour restituer la fluidité au texte, comme si la traduction avait été confiée à un logiciel !! UN MASSACRE.

Pour un début, c'est très mal parti, j'attends de lire un peu la suite, nous allons voir.

J'aimerais que d'autres me disent ce qu'ils en pensent sincèrement.

Cordialement,

Christian.
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Mais quels sont les motifs qui m'ont fait choisir ce livre parmi tous ceux à lire dans ma bibliothèque ?

Sûrement pas son titre ! "Une vie comme les autres" n'a rien d'attirant pour qui, dans la lecture, cherche à rêver...
Sûrement pas sa couverture ! Un mec qui hésite entre rire et pleurer... Encore que...
Sûrement pas son poids ! 800 pages, c'est lourd à trimballer dans le métro, même si je ne lis que des e-book et que j'habite au soleil d'une île grecque sans métro...
Pas plus le nom de l'auteur ! Yanagihara sonne nippon, et je suis allergique à la littérature asiatique...

Alors peut-être la situation de l'intrigue à New-York, que promet le synopsis de quatrième de couverture ? J'adore Manhattan...
Peut-être aussi l'espoir de quelques relations homosexuelles entre ces quatre étudiants que ne laisse pourtant pas prévoir le synopsis de la quatrième de couverture...

Et me voilà parti pour la longue épopée, enthousiasmé par les effluves de Manhattan, ravi par la beauté de Willem, excité par l'homosexualité de JB, attendri par le handicap de Jude et... sans émotion pour l'insipide Malcom !

Mais voilà, vers la centième page, mon esprit s'évadait, et je ne savais plus lequel des quatre garçons était concerné par ma lecture. Sans doute la faute au style (volontairement ?) sans émotion qui pourtant, au début, m'avait séduit...
Alors j'ai abandonné Willem, JB, Jude et Malcolm à leur triste sort, avant qu'ils ne sombrent dans la détresse d'une vie (pourtant) comme les autres...

Une chose m'a surpris : les nombreuses notes excellentes, alors que les commentaires sont dans l'ensemble plutôt négatifs ! de là à en déduire que le livre a été offert gratuitement par l'éditeur aux lecteurs de Babelio...
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Cet énorme pavé me faisait assez peur. Il fait plus de 1000 pages et ce n'est pas dans mes habitudes de lecture. Mais je l'ai vu absolument PARTOUT sur les réseaux, surtout anglophones, et il a fini par me faire envie.

Bon, j'ai trouvé les 200 premières pages lentes. On va suivre 4 personnages principaux et heureusement que la 4ème de couverture les décrit parce que j'ai eu du mal à savoir qui était qui. On suit parfois l'un, parfois l'autre, sans ordre chronologique particulier et ça demande une certaine exigence et et une certaine concentration.

Puis d'un coup, sans prévenir, on te traumatise. Allez hop, des scènes bien décrites, bien difficiles à lire et très sombres. Je n'ai pas pour habitude d'être particulièrement sensible mais là ! C'est quelque chose…

On m'a également fait part, pendant que je lisais ce livre, que l'autrice tient des propos un peu limites. Elle est contre la thérapie et pense que si l'on se sent mal et bien, on se sent mal, ça ne sert à rien d'aller consulter un spécialiste de la santé mentale. Elle pense aussi que parfois le suicide est la meilleure option. de plus elle n'a fait aucune recherche sur aucun des sujets qu'elle aborde. Je ne suis évidemment pas du tout d'accord avec ces propos et j'ai eu l'impression que ça se reflétait dans son livre.

Cette lecture semble être juste une succession de drames et on assiste à la chute profonde et définitive d'un des personnages. Bof envie de continuer ce que je lisais alors que je n'aimais pas les 10% lus. J'ai un peu l'impression qu'avec ce roman ça passe ou ça casse, il n'y a pas de demi mesure.

En bref, c'est sans regret que je vais me séparer de ce livre et ne jamais le finir. D'autres belles lectures m'attendent !
Lien : https://madamepointvirgule.f..
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Quel livre, quel choc, quel pavé !
Le poids d'abord, poids d'une vie, 2 kg, peut être le poids de Jude à la naissance, ce bébé abandonné à la naissance et sauvé !!! par des moines ! Pourquoi l'ont ils sauvé.. là est la question !! Peut être auraient ils du le laisser là près de la poubelle ou dans la poubelle plutôt que de le prendre avec eux. Et rien ne serait arrivé ! Rien de tout ce qu'on lit ou ne lit pas.
Je vais avouer, je n'ai pas fini ce livre. Comme «  fugitive » je l'ai posé, repris, reposé rerepris puis définitivement posé, fatiguée de porter ce poids, le poids de ce jeune homme abîmé dans son enfance, torturé physiquement et psychologiquement avec des séquelles irréversibles et des souffrances insoutenables.
Pourtant ce qui m'avait retenue était justement la retenue avec laquelle il parlait ou plutôt ne parlait pas de sa vie d'avant, d'avant ses amis de fac qui faisaient tous de leur mieux pour le préserver. C'est un beau livre sur l'amitié , sur l'empathie nécessaire pour sauver un être car « qui sauve un homme sauve le monde », n'est ce pas !!
Ce qui m'a fait quitter est l'idée que cela ne finirait jamais, la douleur et le livre que j'ai trouvé trop trop trop long. Bien sur, la longueur allait de pair avec la durée de la souffrance , c'est clair, mais non, il faut savoir dire non !!
Je dis non, malgré la qualité de la structure du livre, très ambitieuse, malgré le choix des mots, les mots non dits.
Je dis non malgré l'excellente analyse du tréfonds de l'âme de ce jeune homme .
Je dis non car il me fait penser à certains ados qui tournent et retournent en boucle leur douleur et se mutilent jusqu'au moment où ils pensent avoir le droit de pauser, de poser leur vie d'avant pour commencer leur vraie vie !
Je dis non, je ne le reprendrai pas.
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Trop long. J'abandonne après 400 pages.
L'histoire ou les personnages ne se développent pas au fil des pages.
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A la page 280 j'ai décidé d'arrêter la lecture de ce livre. J'avais essayé de persévérer jusque là, mais ce livre est décidément trop ennuyant. le style est quelconque, parfois même lourd avec les parenthèses à rallonge qui font perdre le fil. le contenu quant à lui est creux.
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