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Citations sur La 5e vague, tome 3 : La dernière étoile (149)

— Qu’est-ce qui se passe avec Nugget ?
— Sam. Son prénom, c’est Sam. Si tu l’appelles encore comme ça, je te fous un coup de genou dans ta petite paire de nuggets.
Il sourit. Puis, soit il fit semblant de ne comprendre qu’avec un temps de retard, soit il avait pigé instantanément, mais en tout cas, son sourire se transforma en une grimace de fierté blessée.
— Elles sont légèrement plus grosses que des nuggets. Légèrement.
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— Qu’est-ce que tu ferais si tu n’avais pas eu de corps pendant dix mille ans, et que tu en avais soudainement un ? demandai-je.
Il pencha la tête et retint un sourire.
— J’irais sûrement aux toilettes.
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La douleur est nécessaire. La douleur, c’est la vie. Sans douleur, il n’y a pas de joie. C’est ce que m’a enseigné Cassie Sullivan.
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Ses yeux, son visage, son corps entier s'embrasent d'un sentiment impossible à conquérir, impossible à vaincre, immortel. La racine de son courage. La fondation de toute vie.
La joie.
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Des années plus tard, quand sa fille serait encore très jeune, elle courrait à lui, vacillant sur ses jambes potelées, ses petits bras levés en l’air, les yeux brillant de joie, et elle crierait : Papa, papa, tendant vers lui, vers le ciel, ses minuscules mains. Alors elle s’élancerait dans l’espace sans aucune peur parce qu’il n’était pas juste son père – il était papa. Il l’attraperait ; jamais il ne la laisserait tomber. Et elle crierait : Fais-moi voler, papa, fais-moi voler ! Et il la ferait voler dans l’immensité de ce ciel sans limites, la fillette qui tournoie les bras grands ouverts pour embrasser l’infini, la tête renversée en arrière, entraînée vers ce lieu où la peur et l’émerveillement se croisent, ses cris résumant son plaisir d’être libre et aussi légère que l’air, d’être en sécurité dans ses bras, d’être vivante.
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Je ne suis pas OK à 100 %, mais je dirais à 86,5 %, donc c’est bon. La douleur me vrille le flanc quand j’attrape mon sac à dos sur l’étagère du placard. OK, retirez 1,5 %, ce qui nous donne 85 %. Et alors ? On est toujours plus près de 100 que de 20, non ? De toute façon, qui est encore efficace à 100 % à ce moment de la partie ? Même le gentil méchant alien s’est cassé la cheville.
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Ça a toujours été comme ça. Voilà ce que j’ai envie de lui dire. Nous supportons l’insupportable. Nous endurons ce qui ne peut être enduré. Nous faisons ce que nous devons faire, jusqu’à ce que nous ne soyons plus.
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Ces deux possibilités étaient indolores, nous avons opté pour la douleur.
La douleur est nécessaire. La douleur, c'est la vie. Sans douleur, il n'y a pas de joie.
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Les villes sont plus que la somme de leurs infrastructures. Cela va au-delà des briques et du mortier, du béton et de l’acier. Elles sont les vaisseaux qui contiennent les connaissances humaines. Les détruire, c’est comme ramener l’horloge de l’humanité à la période néolithique.
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"Autant ne pas se souvenir. Autant ne pas savoir. On ne peut regretter ce que l'on n'a jamais eu."
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